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16 septembre 2017 6 16 /09 /septembre /2017 09:30

Voilà deux semaines que les media consacrent quotidiennement la moitié du journal télévisé à nous parler du cyclone Irma et de son petit frère José. Certes, les dégats sont considérables dans certaines îles comme Saint Martin et Haïti, mais il y a eu très peu de morts. Pourquoi ne consacre-t-on pas au moins le même temps à la guerre qui continue au Moyen-Orient, avec un nombre de morts bien plus important, notamment des chrétiens ?

Rappelons deux informations : 1) nous sommes effectivement dans un cycle de réchauffement de la planète, mais celui-ci a débuté dans les années 1850, bien avant la pollution due au pétrole ; par conséquent les fameux « gaz à effet de serre » n’en sont pas la cause ; 2) de nombreux cyclones au cours des deux derniers siècles ont causé bien plus de morts. Ainsi, il y a 237 ans, le plus puissant cyclone Atlantique faisait entre 22 et 27 000 morts (Rivarol du 13/09/2017) ; en 1900, l’ouragan qui frappa la ville texane de Galveston tua entre 8 et 12 000 personnes ; et bien d’autres encore, au cours du vingtième siècle, entraînèrent la mort de plusieurs milliers de personnes.

Emmanuel Macron, fidèle serviteur de l’hyper-classe mondialiste, déclarait à Paris, avant l’arrivée d’Irma : « Je peux d’ores et déjà vous dire que ce bilan sera dur et cruel, nous aurons à déplorer des victimes ». Et, vingt-quatre heures plus tard, lors d’un passage à Athènes, il en rajoute : « L’engagement contre le réchauffement climatique nous touche tous et toutes ».

Il s’agit effectivement d’un complot…

Hongbing Song, dans son livre « La guerre des monnaies », relate l’événement suivant. En 1963, quinze éminents chercheurs d’universités américaines se réunissent en secret dans un endroit appelé « La montagne de Fer ». L’un d’entre eux (pseudonyme John Doe) publia en 1967 le résultat de ces études dans un livre intitulé « The report from Iron Mountain ». En voici les idées essentielles : 1) aucun intérêt à discerner le Bien du Mal, à déblatérer sur des concepts vides tels que le Droit et le Pouvoir, le Patriotisme ou la Religion ; 2) « La guerre remplit certaines fonctions essentielles pour la stabilité de notre société. Jusqu’à ce que d’autres moyens de les remplir soient développés, le système de la guerre doit être maintenu et son efficacité améliorée » ; 3) Le peuple, en période de guerre ou s’il existe une menace de guerre, se soumet plus facilement au gouvernement sans se plaindre ; en revanche, en temps de paix, les gens s’opposent instinctivement aux politiques de fiscalité et détestent l’immixtion des politiciens dans leur vie privée. Toutefois la guerre traditionnelle risque d’empêcher la mise en place d’un gouvernement mondial. Les chercheurs ont donc été amenés à rechercher une alternative à la guerre pour les Etats-Unis…

Le groupe de recherche étudia une alternative à la guerre en 5 points : 1) économique : établir un système de « gaspillage » apparent afin d’éviter le fonctionnement normal de l’offre et de la demande ; 2) politique : entretenir une menace extérieure généralisée, de nature et de degré suffisant pour faire accepter l’autorité politique ; 3) sociologique : générer une crainte omniprésente et facilement comprise de destruction personnelle, afin d’assurer l’adhésion aux valeurs sociétales admises ; 4) écologique : le contrôle de la population doit assurer la survie des espèces ; 5) culturel et scientifique : motiver les populations pour la quête de connaissances scientifiques.

Les chercheurs songèrent que la meilleure réponse est la pollution de l’environnement. Avec une propagande adaptée, l’objectif est de provoquer un effet psychologique aussi effroyable que celui de la fin du monde après la guerre nucléaire. C’est la nouvelle religion permettant d’asservir les peuples non plus par la force mais en captant les esprits !

C’est ainsi que fut inventée le combat contre le réchauffement climatique. Le groupe de chercheurs qui, officiellement, cautionne la thèse d’une influence des activités humaines dans le réchauffement climatique est le GIEC. Or il se trouve que nombre d’autres chercheurs, hors du GIEC, contestent le sérieux scientifique de ces pseudo-chercheurs.

En résumé, derrière tout cela se cache un combat à mort contre la seule vraie religion, le christianisme. Pour rétablir le rapport de forces en sa faveur, il nous faut un régime politique chrétien, lequel ne peut être que la royauté car – nous ne cessons de le répéter – le roi est le lieutenant de Dieu sur terre. A ce titre, le cœur de sa mission est d’élever la vertu du peuple et, ainsi, de le ramener à Dieu.

Vive le roi Louis XX

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12 septembre 2017 2 12 /09 /septembre /2017 18:30

Le gouvernement Macron envisage de créer une année préparatoire en Université pour préparer les bacheliers à suivre un cycle de l’enseignement supérieur. On croit rêver : « ma voiture est en panne, alors j’achète une nouvelle voiture ». On en est là. Pourquoi ? Parce que même Macron, qui prétendait conduire une politique de réformes énergique, n’a même pas le courage de reconnaître que c’est tout le système scolaire avant le baccalauréat qu’il faut réformer.

Selon les résultats du classement PISA 2016, la France arrive 26ème sur 70 pays. En 2012, elle avait terminé 25ème. L’enseignement français ne cesse donc de se dégrader. Ainsi 2 500 000 personnes ne savent ni lire, ni écrire, ni compter. Et pourtant l’école est obligatoire. Et si, parmi ceux-ci, il y a des étrangers, comment se fait-il qu’on les accepte en France alors qu’ils ne peuvent occuper aucun poste de travail ?

Revenons aux conditions d’entrée dans l’enseignement supérieur. Macron n’ose pas mettre en place un système de sélection parce que le gouvernement sait qu’il aura toute la France contre lui et qu’il risque même de se faire destituer, tant la colère est grande. Mais pourquoi les parents veulent-ils absolument voir leur enfant suivre un cycle d’enseignement supérieur ? Parce qu’ils pensent que c’est la condition nécessaire pour que leur enfant ne soit pas chômeur…

On tombe là dans une contradiction. Une économie ne peut pas fonctionner avec 90% de cadres et 10% d’employés ! Il y a en France environ 40% de personnes ayant au moins le niveau du baccalauréat. Donc, pour qu’il n’y ait plus de chômage, l’économie française devrait fournir, en gros, 60% d’emplois peu qualifiés et 40% d’emplois qualifiés. Mais il faudrait pour cela : 1) que l’enseignement professionnel soit plus développé qu’il ne l’est ; 2) que la part de l’industrie dans le PIB soit non pas de 10% mais de 30 ou 40%. Il faudrait aussi que les enseignants – dont une large proportion est issue de Mai 68 – ne dénigrent pas l’industrie mais encouragent les jeunes à y travailler.

Sans industrie, pas de réforme possible de l’Enseignement

Mais on ne peut réindustrialiser la France qu’à deux conditions : 1) en allégeant les règlementations qui pèsent sur notre agriculture et notre industrie ; 2) en réinstaurant un certain niveau de protectionnisme.

Cela ne peut se faire dans le cadre de la république parce que celle-ci est dirigée depuis deux cents ans par des francs-maçons qui veulent le développement du mondialisme, ce qui est à l’opposé du principe de subsidiarité.

Seul un roi pourra prendre les mesures nécessaires, car il n’est pas lié par les résultats électoraux.

Vive le roi Louis XX

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4 septembre 2017 1 04 /09 /septembre /2017 06:25

Dans un article récent (Le Monde du 2 août 2017), Audrey Garric nous informe que l’empreinte écologique du monde est de 1,7. Cela signifie que nous absorbons chaque année 1,7 fois les ressources de la planète pour couvrir nos besoins de consommation.

« Nous contractons cette dette car nous coupons des arbres à un rythme supérieur à celui de leur croissance, nous prélevons plus de poissons dans les mers qu'il en naît chaque année, et nous rejetons davantage de carbone dans l'atmosphère que les forêts et les océans peuvent en absorber. Les conséquences de cette surconsommation se font d'ores déjà sentir : déforestation, déclin de la biodiversité, pénuries en eau, acidification des océans, forte érosion des sols, accumulation des déchets ou encore élévation de la concentration de CO2 dans l'atmosphère affectent l'ensemble du globe ». Donc une dégradation dans six domaines différents…

Nous allons droit dans le mur !

A ce rythme, il ne faudra pas s’étonner qu’un jour prochain les habitants de la terre n’aient plus rien à manger.

Pourtant, à Rio de Janeiro, en 1992, les représentants des principaux pays s’étaient réunis et avaient mis en avant le concept de développement durable. Rappelons que cette notion signifie que le développement d’un pays doit être tel qu’il puisse « répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins » (Wikipédia). L’indicateur d’empreinte écologique est donc un bon indicateur pour observer si nous allons ou pas dans le sens du développement durable.

Dans les sociétés sans Dieu dans lesquelles nous vivons, les pouvoirs politiques ont poussé les citoyens à prendre des mesures en faveur du développement durable, mais toujours à une échelle micro-économique, jamais macro-économique. Il en est ainsi de la propagande quotidienne relative à la lutte contre le « réchauffement climatique ». Outre le fait qu’il n’est absolument pas prouvé que celui-ci soit la conséquence de l’activité humaine, il est étrange, à première vue, que l’on se préoccupe uniquement de la production des « gaz à effet de serre » - donc un seul des six domaines de dégradation vus précédemment - en refusant de voir que, pendant que l’on mène cette bataille, l’empreinte écologique continue à croître d’année en année. Par exemple, entre 1961 et 2005, l’empreinte écologique de la France a augmenté de 85 %.

Pourquoi en est-il ainsi ? A titre de conclusion, Audrey Garic cite Pierre Cannet : « On n'a pas de pays qui se présenterait comme un champion de la révolution des modes de production. Le risque est que les pays en développement voient leur empreinte écologique augmenter rapidement et que cette hausse ne soit pas compensée par une baisse suffisante de la pression des pays développés. Il faut parvenir à un équilibre. Pour espérer vivre de nouveau, un jour, dans les limites de notre planète ».

En clair, il faut remettre en question nos modes de production et d’échange. Audrey Garic le confirme en nous faisant remarquer que c’est bien le type de développement des pays « avancés » qui est en cause : « Tous les humains ne sont toutefois pas responsables de cette situation dans les mêmes proportions. Avec le train de vie australien ou américain, il faudrait plus de cinq planètes pour vivre. Les Français, eux, en ont besoin de trois, les Chinois de 2,1, bien au-dessus de la frugalité indienne (0,6 planète). Rapporté aux ressources nationales, le Japon aurait besoin de sept fois son pays pour satisfaire sa consommation actuelle, l'Italie et le Royaume-Uni de quatre fois. Au total, l'empreinte écologique des pays développés est cinq fois supérieure à celle des pays pauvres ».

A titre d’illustration, il est intéressant de se pencher sur le phénomène d’urbanisation galopante que connaissent nos sociétés. Citons ce qu’en dit Wikipédia : « le pourcentage de la population mondiale habitant en ville était de 3,4% en 1800, de 15% en 1900, de 30% en 1950 et de 50% en 2000. Au rythme actuel, 65 % de la population sera urbaine en 2025, et plus de 80 % dans de nombreux pays. Il y a déjà en l'an 2000, 213 villes de plus d'un million d'habitants, et 23 métropoles de plus de 10 millions d'habitants, et selon l’ONU (FNUAP), la population urbaine pourrait encore doubler d'ici 100 ans. 2007 serait aussi l'année où la population urbaine aurait dépassé la population rurale[2]. Entre 1900 et 2000, la population urbaine a été multipliée par 20 alors que la population mondiale se contentait de quadrupler ».

Audrey Garric se pose la question : « Quelle serait la surface de campagne, de lac ou d’océan, nécessaire pour fournir durablement les ressources nécessaires au train de vie actuel d’une ville ? La réponse est surprenante. Pour Londres, par exemple : il faut 125 fois sa surface en territoires adéquats (forêts, terres cultivables, pâturages, etc.) pour subvenir à tous ses besoins durablement ! ».

Certes, la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre est importante, puisqu’elles représentent 60 % de l'empreinte écologique mondiale. Mais pourquoi les institutions internationales ne présentent-elles pas chaque année un tableau de bord qui donne une vue d’ensemble de l’évolution de l’empreinte écologique avec ses différentes composantes ? Tout simplement parce que les puissants de ce monde, c’est-à-dire l’hyper-classe mondialiste, ne veut absolument pas remettre en question nos modes de production et d’échange. Et comme sa philosophie est malthusienne, peu lui importe que les deux tiers de l’humanité meurent de faim. Au contraire, le chaos qui en résulterait la rapprocherait, pense-t-elle, du moment où sera instauré un gouvernement mondial.

On nous endort avec des succès partiels : « Le Global Footprint Network comme le WWF notent des signes encourageants. Ainsi, l'empreinte écologique par habitant des Etats-Unis a diminué de près de 20 % entre 2005 (son point le plus haut) et 2013 (les dernières données disponibles) grâce à la baisse des émissions de carbone, et ce malgré la reprise économique. De même, la Chine, qui affiche la plus grosse empreinte écologique nationale, développe massivement les énergies renouvelables, tandis que sa consommation intérieure de charbon est en baisse – malgré la construction de nouvelles centrales. Dans l'Hexagone, l'expansion des surfaces en agriculture biologique (+ 17 % en 2016) et la hausse de la consommation de produits bio (+ 22 % pour les ménages, à domicile, en un an) " constituent des signaux positifs " pour Arnaud Gauffier, même si ces efforts sont encore trop faibles ». Mais la tendance globale va dans le mauvais sens.

Le Général De Gaulle avait eu au moins le mérite d’instaurer une politique d’aménagement du territoire. Ainsi on aurait pu entrevoir la création en France de zones d’activités – sans doute de l’ordre d’une dizaine – qui aurait été dans le sens d’un rééquilibrage entre le développement de Paris et celui de la province. Mais ce n’est que copier le modèle allemand et est loin d’être suffisant pour inverser la courbe de l’empreinte écologique.

Il est indispensable de développer les circuits courts, ce qui est conforme au principe de subsidiarité. Retenons – sans être exhaustif sur les solutions à adopter – deux objectifs : 1) que chaque pays recherche, autant que possible, l’autonomie alimentaire ; 2) que les importations d’un pays développé ne dépassent jamais 10% du PIB.

Aucune république n’est capable de mettre en œuvre un tel projet, du simple fait que la pression des électeurs – soucieux de résultats à court terme – l’en empêche. Il faut un changement des mentalités, mettant moins l’accent sur le développement matériel et davantage sur le développement culturel et spirituel. Seul un roi, ayant la responsabilité d’élever la vertu du peuple, est en mesure d’aller dans ce sens.

Vive le roi Louis XX

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27 août 2017 7 27 /08 /août /2017 11:26

Un événement satanique s’est produit de l’autre côté de l’Atlantique : le Chili vient de reconnaître la liberté de l’avortement. Rappelons que c’est en contradiction totale avec le Décalogue : « Tu ne tueras point » (Deut. 5, 17). Or l’avortement est bien un meurtre, le meurtre d’un enfant à naître. Les chantres de la liberté de l’avortement avancent comme argument qu’il s’agit de rendre à la femme la liberté de son corps. Mais alors, pourquoi n’aurais-je pas le droit d’assassiner mon voisin, sous prétexte qu’il empiète sur ma liberté ?

Un autre événement, encore plus grave puisqu’il porte non pas sur les dix millions d‘enfants qu’on a empêché de naître, ne serait-ce qu’en France, depuis la loi Weil, mais sur les cinq cents millions d’habitants de l’Europe, menacés du « grand remplacement »…

A peine le pape François avait-il été élu, une de ses premières initiatives fut d’aller visiter l’ïle de Lampédousa, principale destination des migrants en provenance des côtes africaines. C’était déjà pour manifester sa solidarité avec eux, en ignorance totale et consciente des oppositions européennes à cette immense vague migratoire.

Récemment, à l’occasion de la prochaine Journée Mondiale des Migrants, le 14 janvier 2018, le pape François a diffusé le 21 août, un texte daté du 15 août intitulé « Accueillir, protéger , promouvoir et intégrer les Migrants ». Citons Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance Catholique, qui a rapidement réagi : « (la déclaration du pape) – « Le principe de la centralité de la personne humaine nous oblige à toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale » - signe l’acte de décès de toute vie en société organisée et viable. La notion de bien commun - le terme n’est pas mentionné une seule fois dans le document pontifical - s’avère obsolète ».

Jean-Pierre Maugendre complète son analyse : « (Le pape déclare) « Défense des droits et de la dignité des migrants ainsi que des réfugiés indépendamment de leur statut migratoire ». Il était jusqu’ici classique de distinguer, parmi les réfugiés d’une part ceux en situation régulière de ceux en situation irrégulière et d’autre part ceux en provenance de zones en guerre et les réfugiés économiques. Ces distinctions élémentaires sont rayées d’un trait de plume ». Et Jean-Pierre Maugendre ajoute : « (Le pape déclare) « Enrichissement interculturel général du fait de la présence de migrants et réfugiés ». Effectivement il manquait à notre vieille civilisation l’enrichissement de ces pratiques ancestrales que sont, par exemple : l’excision des fillettes, la polygamie, la lapidation pour adultère, etc. Que de richesses ignorées ! ».  

Et Jean-Pierre Maugendre termine par cette remarque : « Nulle part dans ce texte n’est employé le mot islam alors que la majorité des migrants qui arrivent en Europe sont musulmans. Il n’est nulle part fait mention des attentats meurtriers qui ensanglantent notre continent, commis par des islamistes revendiqués qui sont souvent des migrants ou des descendants de migrants ». Autant dire qu’on est loin de l’appel du Christ à évangéliser le monde : « Allez donc, de toutes les nations faites des disciples ». (Matt. 28, 19).

Nous assistons donc à un alignement total et inconditionnel du pape François sur les thèses de l’hyper-classe mondialiste. Ivan Rioufol titre, dans le Figaro du 25/08/2017 : « Le désarmant irréalisme du pape François ». On peut supposer que ce journaliste ne peut pas dire tout ce qu’il pense et se doit d’édulcorer sa pensée s’il ne veut pas se retrouver au chômage.

Mais Jean-Pierre Maugendre n’est pas plus clair, alors que son statut le rend libre d’exprimer sans réserves sa pensée : « Le Saint-Père semble incapable de mener une réflexion civilisationnelle et politique. Il semble se complaire dans une compassion sélective univoque ». Mais peut-être choisit-il de ménager ses lecteurs.

Une prise de position conjoncturelle du pape, sur un événement précis, serait déjà très étonnante. Mais quand il s’agit d’une pensée qui persiste d’une année sur l’autre, il ne s’agit plus d’un accident mais d’une volonté délibérée. Osons le dire : la prédiction de l’Evangile – « Auparavant doit venir l’apostasie et se révéler l’homme impie, l’Etre perdu, l’Adversaire, celui qui s’élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu ou reçoit un culte, allant jusqu’à s’asseoir en personne dans le sanctuaire de Dieu, se produisant lui-mêrme comme Dieu » (2 Tess. 2, 3-4) - est en train de s’accomplir.

Même les catholiques se laissent prendre au discours culpabilsant, basé sur le verset évangélique « j’étais un étranger et vous m’avez accueilli » (Matt. 25, 35). Or ce qui est dit au singulier ne peut pas être transposé quand on parle au pluriel. C’est ce qu’explique l’encyclique du pape Léon XIII, De Rerum Novarum, publiée le 15 mai 1891 : « De tout ce que Nous venons de dire, il résulte que la théorie socialiste de la propriété collective est absolument à répudier comme préjudiciable à ceux-là mêmes qu'on veut secourir, contraire aux droits naturels des individus, comme dénaturant les fonctions de l'Etat et troublant la tranquillité publique. Que ceci soit donc bien établi : le premier principe sur lequel doit se baser le relèvement des classes inférieures est l'inviolabilité de la propriété privée. Qu'on n'oppose pas non plus à la légitimité de la propriété privée le fait que Dieu a donné la terre au genre humain tout entier pour qu'il l'utilise et en jouisse. Si l'on dit que Dieu l'a donnée en commun aux hommes, cela signifie non pas qu'ils doivent la posséder confusément, mais que Dieu n'a assigné de part à aucun homme en particulier. Il a abandonné la délimitation des propriétés à la sagesse des hommes et aux institutions des peuples. Au reste, quoique divisée en propriétés privées, la terre ne laisse pas de servir à la commune utilité de tous, attendu qu'il n'est personne parmi les mortels qui ne se nourrisse du produit des champs ».

D’ailleurs, le dixième commandement du Décalogue condamne, par anticipation, la volonté des migrants de s’approprier la terre d’autrui : « Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni sa maison, ni son champ, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni rien de ce qui est à lui » (Deut. 5, 21).

Ce long développement sert à démontrer une simple vérité : il n’y a pas d’un côté la politique et de l’autre la religion. Les pouvoirs spirituel et temporel doivent être distincts mais non séparés. C’est donc au nom de l’Evangile et de la Tradition de l’Eglise que le roi aura à défendre notre pays, quand il sera remonté sur son trône, en s’opposant à toutes les décisions politiques dont la source est satanique.

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21 août 2017 1 21 /08 /août /2017 21:45

Que ce soit en Espagne, en France, au Royaume Uni, et dans les autres pays européens frappés par un attentat, la population, désarmée physiquement et mentalement, ne sait que dire « Nous n’avons pas peur ». Il y a quelque chose qui cloche…

Imaginez que vous êtes dans un endroit public, un café, un train ou tout simplement dans la rue, et que quelqu’un s’approche de vous et vous frappe violemment. Et vous ne trouvez qu’une chose à répondre : « je n’ai pas peur ». Que va penser l’adversaire ? Qu’il a en face de lui une personne qui, en réalité, est très effrayée, tétanisée. Et que, par conséquent, il n’a pas à se gêner pour continuer son attaque. Voilà ce que vivent les peuples européens aujourd’hui. C’est catastrophique.

Rappelez-vous, au contraire, l’invasion de l’armée allemande en 1940. Les Français n’ont pas crié « nous n’avons pas peur », mais ont tout de suite pensé qu’iil fallait résister à tout prix et, dès que possible, contre-attaquer et chasser l’adversaire. Certes, la résistance n’a pas suffi à bouter l’ennemi hors de France, et il a fallu, comme on le sait, l’intervention de forces extérieures, mais l’adhésion à Pétain pour les uns, au général De Gaulle pour d’autres, traduisait un état d’esprit hostile à l’occupant.

Comment expliquer la différence d’attitude ? On peut trouver deux explications. La première est que, dans la tête des gens, il ne s’agit pas d’une guerre offensive mais d’actes isolés. La deuxième – qui est la vraie raison – est que les media et le pouvoir en place ne veulent surtout pas que le peuple comprenne que nous sommes en guerre car, s’il en venait à cette constatation, il chercherait l’ennemi et se mobiliserait contre lui.

Quel est donc cet ennemi ? En première analyse, on peut penser que c’est – comme on nous le répète sans cesse – Daesh ou Al Qaïda, bref, les islamistes. A ne pas confondre, nous dit-on, avec les braves musulmans qui habitent nos contrées, alors que ceux-ci risquent fort de se retrouver, contraints et forcés, dans le camp islamiste, comme on l’a vu pendant la guerre d’Algérie : « tu vas faire tel acte terroriste, sinon nous tuons toute ta famille ».

L’hyper-classe mondialiste est habile car, devant cette dualité, les esprits sont tétanisés et ne savent que « s’unir dans la douleur », comme on l’entend après chaque attentat. Il faut donc dénoncer le véritable ennemi, celui qui finance tous ces islamistes : les Etats-Unis. Ainsi il a financé Oussama Ben Laden, qui a construit Al-Qaïda, et il a aussi financé la naissance de l’Etat Islamique, par l’intermédiaire du Qatar et de l’Arabie Saoudite.

C’est en effet cet Etat qui ne cesse d’appeler à la guerre et qui a obligé la France, pour ne parler que des événements les plus récents, à attaquer la Libye pour assassiner Kadhafi. C’est aussi ce pays qui ne parle que d’attaquer l’Iran, en dénonçant le traité de paix signé avec ce pays.

Il a ainsi, en son temps, empêché PSA de signer avec l’Iran un contrat annuel de ventes de 500 000 automobiles, ce qui aurait été bien utile pour l’économie française. C’est encore lui qui a interdit à la France de livrer à la Russie les deux navires Mistral qu’elle avait commandés, ce qui a abouti à l’annulation, par la Russie, des commandes de livraison de produits agricoles à nos paysans qui, pourtant,en avaient bien besoin.

En réalité, les Etats-Unis sont en guerre contre l’Europe car ils ne veulent surtout pas d’un concurrent puissant et d’Etats souverains qui refuseraient de cautionner sa politique agressive au Moyen-Orient, celle que lui demande de mettre en œuvre Israël dans son propre intérêt. C’est, pour employer un anglicisme, une « soft war », une guerre « dans la douceur », sans employer de violence physique, si ce n’est marginalement, comme dans le cas des attentats. Ainsi la guerre que les Etats-Unis ont menée contre l’Irak de Saddam Hussein a fait bien peu de morts, comparé au million d’enfants morts de malnutrition, du fait des sanctions économiques exercées contre ce pays.

Ce n’est donc pas « Nous n’avons pas peur » qu’il faut crier après un attentat, mais « à bas l’impérialisme américain ». Mais il ne faut pas compter sur nos dirigeants républicains pour prendre la tête de la résistance. Ils ont trop peur pour cela. Seul un roi aura le courage d’une telle action.

Vive le roi Louis XX

Vive le roi Louis XX

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15 août 2017 2 15 /08 /août /2017 16:29

On entend souvent dire : « vous voulez un roi ? C’est dépassé ; la république, c’est un progrès par rapport à la royauté… ». Est-ce si vrai que cela ? En vérité, le régime républicain représente un recul par rapport à ce que connaissaient les contemporains des rois. En voici trois exemples.

Tout d’abord la protection sociale. C’est Bismarck, président du Conseil de Prusse sous Guillaume 1er, devenu chancelier de l’empire allemand en 1871, qui a inventé la sécurité sociale et non, comme on le prétend, la gauche française. Quant à la France, le système de protection sociale était basé sur les corporations, qui ont été abolies en 1791 par les révolutionnaires et il a fallu attendre près d’un siècle pour que les associations de défense des salariés soient autorisées.

Les corporations avaient trois objectifs : mettre sur le marché des prestations au juste prix, garantir au client la qualité du travail effectué et assurer la protection sociale et morale de ses membres. Or aujourd’hui, seules les grandes structures publiques et privées bénéficient d’une présence syndicale mais, de plus, l’ « uberisation » qui ne cesse de progresser et de toucher de nouveaux secteurs d’activité, laisse les individus et les petits patrons (dans le domaine de l’hôtellerie par exemple) sans aucune garantie de revenu.

Prenons l’exemple de l’hôtellerie. Des multinationales comme Booking ou Trivago disposent de moyens financiers suffisants pour apparaître en tête de liste sur Google ou un autre moteur de recherche, ce qui fait que le client potentiel trouve tout naturel de réserver sa chambre d’hôtel en passant par eux. Notamment du fait que ces groupes proposent une comparaison des prix. Le client choisit donc, imaginons, l’hôtel « L’auberge fleurie ». Le groupe se tourne alors vers l’hôtel en question et lui dit : « c’est moi qui vous ai trouvé le client, donc je prends 30% de commission » (nous ne connaissons pas le montant exact, mais c’est sans doute cet ordre de grandeur). Donc, si le client était passé directement par le site de « L’auberge fleurie », il aurait payé 100 euros, et l’hôtel aurait touché 100 euros, tandis que s’il passe par l’un de ces groupes, il paie toujours 100 euros, mais l’hôtel ne touche que 70 euros. C’est un véritable racket.

Dans notre hypothèse – ce qui suppose le retour du roi, car lui seul a l’autorité suffisante pour que le peuple ne soit pas soumis au marché – une loi imposerait que toute la chaîne de valeur allant de la production à la vente soit sous le contrôle de la production : c’est la logique des corporations. Traduction : les groupes tels que Booking ou Trivago seraient intégrés à l’hôtellerie, peut être sous forme d’une copérative ou sous toute autre forme juridique à définir.

Deuxième exemple de la supériorité de la royauté sur la république : la souveraineté nationale. Même les Etats-Unis ne bénéficient pas de la souveraineté nationale, puisque, pour leur politique extérieure, ils sont soumis à Israël. De Gaulle avait tenté de l’assurer, mais l’hyper-classe mondialiste l’a éjecté de son siège, notamment en provoquant les événements de mai 68. De même les rois avaient l’engagement moral de conserver intact le territoire national, voire de l’augmenter. Au contraire, l’immonde Michel Rocard a manigancé un traité qui pousse la Nouvelle-Calédonie à se séparer de la France. Il était convenu qu’un référendum d’autodétermination soit organisé en 1998 mais, depuis, les gouvernements successifs repoussent l’échéance en attendant que les caldoches soient plus nombreux que les Français de métropole, de manière à assurer qu’une majorité votera l’indépendance. Rappelons que la Nouvelle Calédonie est le premier producteur de nickel au monde.

Troisième exemple : la vertu du peuple. Louis de Bonald disait : « L'Etat fera peu pour les plaisirs des hommes, assez pour leurs besoins, tout pour leurs vertus ». En effet les rois avaient pour mission d’élever la vertu du peuple. Au contraire, l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen adoptée en 1789 déclare : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être fixées que par la Loi ».

 

Ainsi il est permis d’organiser des orgies avec ses voisins, du moment que personne d’autre n’est dérangé. Il est permis d’assassiner chaque année 250 000 enfants à naître, du moment que cela ne dérange personne. Il est permis de pratiquer l’abattage halal en contradiction avec les normes internationales qui interdisent de faire souffrir des animaux. Il est permis à tout un chacun de s’abstenir de règles élémentaires de politesse, du moment que personne ne l’encourage à aimer son prochain. Etc. effectivement, la royauté, c’est la restauration d’un certain ordre moral, n’en déplaise à ceux qui ont donné leur âme au Diable.

Voici donc trois différences majeures entre la royauté et la république : la protection sociale, la souveraineté nationale et l’encouragement à la vertu du peuple.

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29 août 2015 6 29 /08 /août /2015 19:35

La nouvelle adresse de notre site est :

www.pour-un-roi-tres-chretien.net

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 06:12

Notre site www.pour-un-roi-tres-chretien.org étant provisoirement en panne, nous utilisons ce blog pour diffuser notre point de vue sur les événements.

Comme le raconte le Figaro du 22 août, « Un bain de sang a été évité par miracle dans le Thalys 9364 transportant vendredi après-midi 554 voyageurs entre Amsterdam et Paris. Seul un incroyable concours de circonstance a permis à deux militaires américains de neutraliser un terroriste présumé avant que ce dernier ne sème la mort parmi les passagers ».

Et le Figaro précise « Seul l'Eurostar fait figure d'exception. Gare du Nord, la sortie de l'espace Schengen s'effectue selon les règles de sécurité aéroportuaires : douanes, contrôle des bagages à rayon X et portiques de sécurité ».

Nous y voilà : l'accord de Schengen du 14 juin 1985 permet « une libre circulation de tous dans les territoires de 26 États. L'espace Schengen fonctionne comme un espace unique en matière de voyages internationaux et de contrôles frontaliers pour les voyages sans contrôle des frontières internes. Il englobe actuellement plus de 400 millions d'habitants sur une superficie de 4 312 099 km2 » (Wikipédia).

La contrepartie, en termes de sécurité, devrait être l’existence d’une surveillance renforcée aux frontières de ce vaste espace. Nous savons qu’il n’en est rien et que l’espace Schengen est une vraie passoire. Il suffit de voir à quelle vitesse l’Europe est envahie par des hordes de migrants. Or la France, faisant partie de l’OTAN, est considérée par l’Etat Islamique et autres islamistes comme un ennemi. Les attentats terroristes vont donc continuer. De plus, la logique terroriste elle-même veut que, pour être efficace, les attentats doivent être de plus en plus nombreux et spectaculaires. Cela risque donc d’aller en s’amplifiant.

D’un point de vue purement technique, il est clair que la surveillance du territoire français serait beaucoup plus efficace si elle avait pour objectif de supprimer toute circulation d’armes en France. Il faudrait pour cela : 1) contrôler nos propres frontières, ce qui veut dire sortir de l’espace Schengen et donc de l’Union Européenne ; 2) mener des opérations armées radicales, comme l’armée française le fit naguère lors de la bataille d’Alger, pour détruire tous les stocks d’armes existant dans les 150 ou 200 « zones de non-droit ».

Déjà de telles mesures sont inenvisageables en régime républicain, car les responsabilités sont trop diffuses. Mais toutes ces mesures, même si elles étaient appliquées, ne suffiraient pas quand on nous annonce officiellement qu’il y a 5000 terroristes en puissance qui circulent librement en France. C’est un vaste combat idéologique qu’il faudrait mener en complément. Face à l’islam, seul le christianisme dispose des argumentaires permettant de contrer le discours islamiste.

Seul un roi serait en mesure de déclencher une vaste campagne d’évangélisation des Français qui permettrait de répondre à la hauteur de la menace islamiste. Bien sûr, cela ne se ferait pas en un jour. Il a fallu plus d’un millénaire pour que la France devienne chrétienne. En deux cents ans, depuis la révolution française, beaucoup a été détruit, mais il reste un fond chrétien sur lequel s’appuyer. Il manque la volonté politique.

Agissons pour le retour du roi

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13 juillet 2015 1 13 /07 /juillet /2015 21:37

Le groupe politique "POUR UN ROI TRES CHRETIEN" prend le relais des activités du GRIPP (Groupe Royaliste d'Initiative et de Proposition Politique).

Vous pourrez donc continuer à lire les articles hebdomadaires du GRIPP sur le site :

"www.pour-un-roi-tres-chretien.org"

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13 juillet 2015 1 13 /07 /juillet /2015 15:00

La triade BCE-FMI-UE envisage de voler à la Grèce des actifs industriels d’un montant de 45 milliards d’euros. Il s’agit en fait d’un racket qui ne dit pas son nom. C’est l’une des trois méthodes qu’utilise le cartel des grandes banques internationales, qui est le véritable décideur, pour s’enrichir : organiser une guerre, une crise économique ou faire croître la dette publique. Nous sommes en présence du troisième cas de figure. Leur objectif n’est pas d’aider la Grèce, mais de « tondre le mouton ».

Or tous les Etats occidentaux, les Etats-Unis y compris, sont dans la même situation : une dette publique énorme, qui s’accroît d’année en année. Considérons le cas de la France. Nous en sommes à payer 45 milliards d’euros chaque année, seulement au titre des intérêts de la dette. Et cette somme augmente chaque année. De plus, la loi perfide de Pompidou de 1973 interdit à la Banque de France de créer de la monnaie ex nihilo, ce qui est pourtant sa fonction en vertu du pouvoir régalien de battre monnaie. Donc nous nous endettons chaque année davantage.

Il viendra fatalement un moment où la France se trouvera dans la même situation que la Grèce aujourd’hui, c’est-à-dire dans l’incapacité de rembourser les créanciers. Et le même scénario se mettra en marche : l’accaparement de nos actifs par les banquiers.

Une seule solution : sortir au plus vite de l’UE et de l’euro

Le malheur des Grecs est que la majorité de la population continue à croire que « hors de l’Union Européenne, point de salut », pour paraphraser une expression célèbre. Ils se sont laissés entraîner dans une économie de consommation, en oubliant que seule une économie de production peut enrichir un pays et lui assurer son indépendance.

En France, note situation n’est guère meilleure : malgré la richesse de notre sol, nous avons perdu notre autonomie alimentaire et notre industrie ne représente que 10% du PIB. A supposer que la France retrouve la croissance – rappelons que, pour créer des emplois, celle-ci doit être supérieure à l’amélioration annuelle de la productivité, qui est de 1,6% par an – il n’y aurait pas de résorption du chômage car des emplois ne seront créés que pour des postes à très haute qualification ou pour des services aux particuliers.

La seule solution est que l’Etat français retrouve son pouvoir régalien de battre monnaie. Sans le concours des banques. Mais pour réaliser cela, il faut un pouvoir fort. Seul un roi ayant la confiance de la population pourra le réaliser.

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  • : Le blog du groupe POUR UN ROI TRES CHRETIEN
  • : Le groupe POUR UN ROI TRES CHRETIEN est un mouvement royaliste. Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la royauté. Tout en reconnaissant la validité des Lois fondamentales du royaume, il considère que le futur roi n'est pas identifié à ce jour. Ou bien il émergera du combat antimondialiste, et ce sera le début d'une nouvelle dynastie, ou bien ce sera le descendant du jeune roi Louis XVII qui, comme on le sait aujourd'hui, a été "exfiltré" de la prison du Temple.
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