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10 février 2018 6 10 /02 /février /2018 10:31

En avril 2017, les parlementaires de la majorité en Belgique sont tombés d’accord pour interdire l’abattage des animaux de boucherie sans étourdissement à partir de 2019 sur tout le territoire. C’est-à-dire, en réalité, la fin des pratiques communautaires alimentaires d’importation, étrangères aux traditions européennes, l’abattage rituel halal et casher ! (www.jeune-nation.com/actualite/actu-internationale)

Non seulement c’est contraire aux traditions européennes mais, de plus, c’est contraire aux normes internationales de protection des animaux. Voici en effet ce que dit la norme OIE sur l’abattage des animaux (§ 1.7.5) :

« Les présentes recommandations visent à répondre aux impératifs de bien-être des animaux élevés pour la production alimentaire, pendant les opérations de pré-abattage et d’abattage jusqu’à ce que leur mort intervienne.

Elles s’appliquent à l’abattage pratiqué dans des abattoirs des animaux domestiques suivants : bovins, buffles, bisons, ovins, caprins, camélidés, cervidés, équidés, porcs, ratites, lapins et volailles. Les autres animaux, quel que soit leur lieu d’élevage, ainsi que tous les animaux abattus hors des abattoirs, doivent être pris en charge en veillant à ce que les opérations de transport, de stabulation, d’immobilisation et d’abattage soient conduites sans causer un stress inutile aux animaux ; les principes retenus pour l’élaboration des présentes recommandations s’appliquent également à cette catégorie d’animaux ».

Egorgé à vif, l’animal peut souffrir jusqu’à 14 minutes !

Ce n’est pas digne d’une société civilisée comme la nôtre de tolérer de tels actes de barbarie, et il est heureux qu’il y ait au moins un pays européen qui commence à réagir.

Comment se fait-il que de telles pratiques subsistent ? Il y a deux raisons à cela. En ce qui concerne l’abattage casher, sans doute faut-il voir là un exemple de plus de la soumission de nos dirigeants à Israël. Quant à l’abattage hallal, une taxe est prélevée qui rapporte soixante millions d’euros à la communauté musulmane chaque année !

Dieu a confié à l’homme la gestion de la nature, à condition que cela soit fait dans le respect de la loi naturelle. Même un non-croyant peut comprendre cela : c’est un acte de sauvagerie que de faire souffrir des animaux. C’est là qu’on voit la lâcheté de nos dirigeants. En effet, s’ils prenaient la même décision que vient de mettre en œuvre le gouvernement belge, ils savent bien que ce serait l’insurrection conduite par les deux à trois millions de musulmans vivant en France et sympathisants de Daesh.

Nous voyons donc que nous sommes dans une situation analogue à celle qu’a vécu Louis XIII à son époque : celle d’être confronté à un « Etat dans l’Etat ». Mais la situation est bien pire, pour deux raisons : 1) les musulmans bénéficient de toute une sympathie populaire ; 2) ils peuvent compter sur un soutien international fort.

Louis XIII a conforté son pouvoir par les armes. Si le gouvernement français veut réellement asseoir son pouvoir sur toute la France, y compris dans les zones de non droit, il ne dispose que d’un seul moyen : envoyer l’armée pour désarmer ces zones, à l’instar de ce qui a été fait lors de la bataille d’Alger en 1957.

Ainsi, toutes les mesures du style Vigipirate, ainsi que les dernières décisions relatives à une « police de quartier » prises par notre ministre de l’intérieur, sont un leurre qui cache la réalité : ce sont les islamistes qui sont en train de prendre le pouvoir, et nous les finançons, notamment en leur versant 60 millions d’euros par an.

Seul un roi aurait le courage d’entreprendre cette guerre.

Vive le roi Louis XX

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2 février 2018 5 02 /02 /février /2018 13:07

Un sondage récent demandait aux chefs d’entreprise quelle était la nature des principaux faits religieux dont ils ont eu connaissance (Le Figaro du 2/02/2018). Arrivent en tête des demandes de congés liés à une fête religieuse qui n’est pas un jour férié, donc musulmane (53%), puis des lieux de prière (48%). A noter aussi des aménagements du temps de travail (25%) le refus par un musulman de serrer la main d’une personne de l’autre sexe (24%) et le refus d’effectuer une tâche pour des raisons religieuses (20%). Un exemple de ce dernier point est le manutentionnaire d’une entreprise de distribution qui ne voulait plus toucher de l’alcool ou du porc.

Il est clair que c’est toute l’organisation de l’entreprise qui est bouleversée. Et nous savons que le même phénomène se produit dans les hôpitaux, notamment lorsqu’un musulman exige un médecin de sexe féminin pour ausculter sa femme. Avançons un chiffre : c’est probablement au moins 10% de la productivité de l’entreprise qui est perdue. Comme le phénomène n’est pas encore général (mais la situation ne fait qu’empirer), c’est peut-être 1 ou 2% de notre PIB qui est perdu, soit au moins deux cent milliards d’euros. Bien des administrations françaises seraient heureuses de disposer de cet argent pour améiorer le service public !

C’est l’économie de la France qui va à sa perte si l’on continue sur cette voie

Nous voyons là les effets de la politique mondialiste qui oblige les Etats européens à accepter des vagues sans fin d’immigrés. Le prétexte avancé étant que la natalité n’est pas assez forte alors qu’on fait une propagande généreuse en faveur de l’avortement, ce qui représente, depuis que la loi Veil existe, environ dix millions de Français assassinés avant la naissance. Et justement le nombre de musulmans en France est de l’ordre de dix millions. Mais la vraie raison est la suivante : affaiblir l’Europe, le but final étant de remplacer la culture européenne bimillénaire par la barbarie. C’est ce qu’on appelle le « grand remplacement ».

Halte au « grand remplacement » !

C’est pourquoi deux mesures de sauvegarde doivent être adoptées d’urgence. La première est la mise en place de centres de détention pour tous les immigrés en situation irrégulière. C’était dans le programme de François Fillon, qui n’a rien d’un fasciste. Cela découragerait bon nombre de candidats à l’immigration.

La deuxième mesure consisterait à supprimer la nationalité française à tous les étrangers vivant en France depuis moins de dix ans. Cela devrait permettre aux chefs d’entreprise d’embaucher prioritairement des Français.

Cependant, autant la première de ces mesures que nous proposons pourrait être mise en œuvre dans le cadre de la république, autant la seconde nécessite une réécriture complète du traité de Lisbonne, en y incluant la référence chrétienne et le principe de subsidiarité, seule garantie d’une autonomie de la France dans ses choix politiques.

Introduisons la référence chrétienne et le principe de subsidiarité

dans le traité de Lisbonne !

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27 janvier 2018 6 27 /01 /janvier /2018 15:58

La France est envahie par des immigrés qui arrivent de toutes parts. La « jungle » de Calais a été détruite et des immigrés arrivent de nouveau et harcèlent les camions qui vont vers l’Angleterre, cherchent à monter à bord et mènent une véritable guérilla. Dans les prisons, les gardiens sont débordés, agressés régulièrement par des djihadistes, parfois à l’arme blanche.

Deux questions se posent : comment gérer l’arrivée massive d’immigrés ? Et comment répondre aux revendications légitimes des gardiens de prison qui ne veulent plus se faire agresser ?

En ce qui concerne la première question – qui inclut d’ailleurs le problème de Calais – François Fillon, qui ne peut être qualifié de fasciste, avait donné la réponse : établir des centres de détention, ce qui est la moindre des choses quand on entre en France d’une manière illégale. Ainsi toute vélléité d’immigration serait stoppée, les candidats à l’immigration sachant qu’ils seront enfermés dès qu’ils auront franchi les frontières de la France.

La secte satanique qui anime l’esprit de l’hyper-classe mondialiste développe au contraire une propagande accusant de fasciste toute personne favorable à ce type de solution, car elle ne cherche pas à régler les problèmes mais à dresser les races les unes contre les autres.

Venons-en à la deuxième question, celle qui préoccupe les gardiens de prison. C’est un fait reconnu par tous les observateurs que la promiscuité engendrée par l’emprisonnement favorise le prosélytisme islamiste. Ainsi de jeunes musulmans sont enrôlés dans la mouvance djihadiste par manque de discernement. C’est normal : quand on est jeune, on aspire à un idéal et on est prêt à croire la première personne qui vous présente une vision du monde qui, à première vue, semble attrayante et qui, de plus, vous invite à devenir membre d’une grande famille.

Les personnes connaissant bien l’univers carcéral ne savent pas s’il faut construire des prisons spéciales pour ces djihadistes ou établir des espaces spécifiques à l’intérieur des prisons existantes. Il parait que, même quand les djihadistes sont soumis à l’isolement intégral, ils arrivent à communiquer. Bref, personne ne trouve la solution. On a aussi essayé les stages de « désintoxication » : échec total.

La seule solution efficace – que nos responsables politiques s’interdisent en référence au principe de laïcité – serait de mener le combat idéologique de manière à ridiculiser toute l’idéologie islamiste. Mais cela ne peut être fait qu’en se situant à un niveau spirituel, donc en prenant la référence d’une autre religion. Or la seule qui soit dans la vérité est le christianisme, pas seulement parce que le Christ l’a dit (« Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par moi », Jean 14, 6) mais aussi et surtout parce que c’est la seule religion qui ait une vision globale de l’homme, non discriminante.

Un régime politique chrétien, donc la royauté, organiserait une propagande quotidienne dans les prisons, sous forme d’une explication théologique dans un langage accessible à tous. Ceci est conforme à un principe essentiel : le roi, en tant que lieutenant de Dieu sur terre, a pour mission d’élever la vertu du peuple, alors que la république n’a pour souci que de l’abaisser. Cela ne date pas d’hier puisque l’une des premières mesures adoptées par le gouvernement révolutionnaire en 1789 fut de transformer le Palais Royal en lupanar. De même, après la révolution bolchévique en Russie en 1917, l’encouragement au vagabondage sexuel entraîna la multiplication d’orphelins jetés à la rue dont personne ne voulait. Le résultat, après deux siècles d’une telle politique souterraine, est l’immoralité qui règne dans nos sociétés occidentales. L’adoption du mariage pour tous en est une illustration.

Les djihadistes ont donc beau jeu d’expliquer aux jeunes que l’islam est la seule alternative à cette société dépravée qu’ils ont raison de mépriser. Nous ne devons nous en prendre qu’à nous-mêmes d’avoir permis que se développe une société sans Dieu. A contrario, quand, lors de rares exemples, des chrétiens témoignent de leur foi d’une façon authentique, les musulmans qui les voient vivre n’ont que respect pour eux.

En conclusion, il n’y a pas de solution cohérente tant que nous resterons dans le cadre du régime républicain. Seul le retour à la royauté peut nous sortir à la fois de ce double envahissement : celui de la pénétration diffuse dans les esprits d’une immoralité à multiples facettes et celui, très visible, des vagues d’immigrants instrumentalisées pour détruire la civilisation européenne.

Vive le roi Louis XX

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 09:55

Une des premières règles en politique est de savoir qui sont nos amis et qui sont nos ennemis. En ce qui concerne ces derniers, nous ne cessons de répéter dans la plupart de nos articles que c’est l’hyper classe mondialiste, avec ses trois composantes, économique, politique et idéologique. Mais il y a des ennemis cachés, que l’on ne voit pas au premier coup d’œil. Le Pape François est de ceux-là. Son élection est malheureusement la confirmation de ce qu’annonçait la seconde lettre aux Thessalonissiens : « Auparavant doit venir l’Apostasie et se révéler l’Homme impie, l’Etre perdu, l’Adversaire, celui qui s’élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu ou reçoit un culte, allant jusqu’à s’asseoir en personne dans le sanctuaire de Dieu, se produisant lui-même comme Dieu » (2 Thess.2, 3-4).

Une illustration en est donnée par cette lettre ouverte au Pape François, qui circule actuellement sur la toile pour qu’un maximum de personnes la signent. Nous avons choisi de la publier dans son intégralité.

« Des ex-musulmans devenus catholiques, et leurs amis, Sa Sainteté le pape François, au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam.

 Très Saint Père,

Plusieurs d’entre nous, à maintes reprises, et depuis plusieurs années, avons cherché à vous contacter, et nous n’avons jamais reçu le moindre accusé de réception de nos lettres ou demandes de rencontre. Vous n’aimez pas les mondanités, et nous non plus, aussi permettez-nous de vous dire très franchement que nous ne comprenons pas votre enseignement au sujet de l’islam, tel que nous le lisons par exemple dans les paragraphes 252 et 253 de Evangelii gaudium, parce qu’il ne rend pas compte du fait que l’islam venant APRÈS le Christ, est, et ne peut être qu’un Antichrist (Cf. 1 Jn 2.22), et l’un des plus dangereux qui soient du fait qu’il se présente comme l’accomplissement de la Révélation (dont Jésus n’aurait été qu’un prophète). Si l’islam est en lui-même une bonne religion, comme vous semblez l’enseigner, pourquoi sommes-nous devenus catholiques ? Vos propos ne remettent-ils pas en cause le bienfondé du choix que nous avons fait… au péril de notre vie ? L’islam prescrit le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.7-11), l’ignorez-vous ? Comment est-il possible de comparer la violence islamique et la prétendue violence chrétienne ?! « Quel rapport entre le Christ et Satan ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? (2 Co 6.14-17) » Conformément à Son enseignement (Lc 14.26), nous L’avons préféré, Lui, le Christ, à notre propre vie. Ne sommes-nous pas bien placés pour vous parler de l’islam ?

En réalité, du moment que l’islam veut que nous soyons son ennemi, nous le sommes, et toutes nos protestations d’amitié n’y pourront rien changer. En bon Antichrist, l’islam n’existe qu’en étant l’ennemi de tous : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) ». Pour le Coran, les chrétiens « ne sont qu’impureté (Coran 9.28) », « les pires de la Création (Coran 98.6) », tous condamnés à l’Enfer (Coran 4.48), aussi Allah doit-il les exterminer (Coran 9.30). Il ne faut pas se laisser abuser par les versets coraniques réputés tolérants, car ils ont tous été abrogés par le verset du Sabre (Coran 9.5). Alors que l’Évangile annonce la bonne nouvelle de Jésus mort et ressuscité pour le salut de tous, accomplissement de l’Alliance initiée dans le peuple hébreu, Allah n’a rien d’autre à proposer que la guerre et le meurtre des « infidèles » en échange de son paradis : « Ils combattent dans le chemin d’Allah, ils tuent et se font tuer. (Coran 9.111) ». Nous ne faisons pas d’amalgame entre islam et musulmans, mais si pour vous le « dialogue » est la voie de la paix, pour l’islam il est une autre façon de faire la guerre. Aussi, comme il l’a été face au nazisme et au communisme, l’angélisme face à l’islam est suicidaire et très dangereux. Comment parler de paix et cautionner l’islam, ainsi que vous semblez le faire : « Arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies (…) Que ceux qui sont chrétiens le fassent avec la Bible et que ceux qui sont musulmans le fassent avec le Coran. (Rome, 20 janvier 2014) » ? Que le Pape semble proposer le Coran comme voie de salut, n’est-ce pas inquiétant ? Devrions-nous retourner à l’islam ?

Nous vous supplions de ne pas chercher en l’islam un allié dans le combat que vous menez contre les puissances qui veulent dominer et asservir le monde, car ils sont tous en réalité dans une même logique totalitaire, fondée sur le rejet de la royauté du Christ (Lc 4.7). Nous savons que la Bête de l’Apocalypse cherchant à dévorer la Femme et son Enfant, a plusieurs têtes… Allah défend d’ailleurs de telles alliances (Coran 5.51) ! Et surtout, les prophètes ont toujours reproché à Israël sa volonté d’alliance avec les puissances étrangères, au détriment de la confiance absolue qu’il faut avoir en Dieu. Certes, la tentation est forte de penser que tenir un discours islamophile épargnera un surcroît de souffrances aux chrétiens en pays devenus musulmans, mais outre que Jésus ne nous a jamais indiqué d’autre chemin que celui de la Croix, en sorte que nous devons y trouver notre joie, et non la fuir avec tous les damnés, nous ne doutons pas que seule la proclamation de la Vérité apporte avec le salut, la liberté (Jn 8.32). Notre devoir est de rendre témoignage à la vérité « à temps et à contretemps (2 Tm 4.2) », et notre gloire est de pouvoir dire avec saint Paul : « Je n’ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. (1 Co 2.2) ».

Corrélativement au discours de Votre Sainteté sur l’islam, et alors même que le Président Erdogan, entre autres, demande à ses compatriotes de ne pas s’intégrer dans leurs pays hôtes, que l’Arabie Saoudite et toutes les pétromonarchies n’accueillent aucun réfugié, expressions parmi d’autres du projet de conquête et d’islamisation de l’Europe, officiellement proclamé par l’OCI et d’autres organisations islamiques depuis des décennies, Très saint Père, vous prêchez l’accueil des migrants sans tenir compte du fait qu’ils sont musulmans, alors que le commandement apostolique l’interdit : « Si quelqu’un vient à vous en refusant l’Évangile, ne le recevez pas chez vous. Quiconque le salue participe à ses œuvres mauvaises. (2 Jn 10-11) » ; « Si quelqu’un vous annonce un évangile différent, qu’il soit maudit ! (Ga 1.8-9) ».

De même que « J’ai eu faim et vous ne M’avez pas donné à manger. (Mt 25.42) » ne peut pas signifier que Jésus aurait aimé avoir été un parasite, de même « J’étais un étranger et vous M’avez accueilli. » ne peut pas signifier « J’étais un envahisseur et vous M’avez accueilli. », mais « J’ai eu besoin de votre hospitalité, pour un temps, et vous Me l’avez accordée ». Le mot ξένος (Xénos) dans le Nouveau Testament ne renvoie pas seulement au sens d’étranger mais à celui d’hôte (Rm 16.23 ; 1 Co 16.5-6 ; Col 4.10 ; 3 Jn 1.5). Et lorsque YHWH dans l’Ancien Testament commande de bien traiter les étrangers parce que les Hébreux ont eux-mêmes été étrangers en Égypte, c’est à la condition que l’étranger s’assimile si bien au peuple élu qu’il en prenne la religion et en pratique le culte… Jamais il n’est question d’accueillir un étranger qui garderait sa religion et ses coutumes ! Aussi, nous ne comprenons pas que vous plaidiez pour que les musulmans pratiquent leur culte en Europe. Le sens de l’Écriture ne doit pas être donné par les tenants du mondialisme, mais dans la fidélité à la Tradition. Le Bon Berger chasse le loup, il ne le fait pas entrer dans la bergerie.

Le discours pro-islam de Votre Sainteté nous conduit à déplorer que les musulmans ne soient pas invités à quitter l’islam, que nombre d’ex-musulmans, tel Magdi Allam, quittent l’Église, écœurés par sa lâcheté, blessés par des gestes équivoques, confondus du manque d’évangélisation, scandalisés par l’éloge fait à l’islam… Ainsi les âmes ignorantes sont-elles égarées, et les chrétiens ne se préparent pas à la confrontation avec l’islam, à laquelle les a appelés saint Jean Paul II (Ecclesia in Europa, n°57). N’avez-vous jamais entendu votre confrère Mgr Emile Nona, archevêque catholique chaldéen, exilé, de Mossoul, nous crier : « Nos souffrances actuelles sont le prélude de celles que vous, Européens et chrétiens occidentaux, allez souffrir dans un proche avenir. J’ai perdu mon diocèse. Le siège de mon archevêché et de mon apostolat a été occupé par des islamistes radicaux qui veulent que nous nous convertissions ou que nous mourrions. (…) Vous accueillez dans votre pays un nombre toujours croissant de musulmans. Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions fortes et courageuses (…). Vous pensez que tous les hommes sont égaux, mais l’Islam ne dit pas que tous les hommes sont égaux. (…) Si vous ne comprenez pas ceci très vite, vous allez devenir les victimes de l’ennemi que vous avez accueilli chez vous. (9 août 2014) ». C’est une question de vie ou de mort, et toute complaisance face à l’islam est une trahison. Nous ne voulons pas que l’Occident continue à s’islamiser, ni que votre action y contribue. Où irions-nous à nouveau chercher refuge ?

Permettez-nous de demander à Votre Sainteté de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam. Que reste-t-il en effet de l’Église là où l’islam s’est installé ? Si elle y a encore droit de cité, c’est en dhimmitude, à condition qu’elle n’évangélise pas, qu’elle doive donc se renier elle-même… Dans un souci de justice et de vérité, l’Église doit montrer au grand jour pourquoi les arguments avancés par l’islam pour blasphémer la foi chrétienne sont faux. Si l’Église a le courage de faire cela, nous ne doutons pas que par millions, des musulmans, et d’autres hommes et femmes cherchant le vrai Dieu, se convertiront. Comme vous l’avez rappelé : « Celui qui ne prie pas le Christ, prie le Diable. (14.03.13) ». Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leur vie au Christ (Cf. Coran 3.55).

Avec le plus profond amour pour le Christ qui, par vous, conduit Son Église, nous, chrétiens venus de l’islam, soutenus par nombre de nos frères dans la foi, notamment les chrétiens d’Orient, et par nos amis, nous demandons à Votre Sainteté de confirmer notre conversion à Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, seul Sauveur, par un discours franc et droit sur l’islam, et, Vous assurant de nos prières dans le cœur de l’Immaculée, nous sollicitons votre bénédiction apostolique ».

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13 janvier 2018 6 13 /01 /janvier /2018 08:18

Tel est le titre d’un article paru en première page du Figaro du 12 janvier. Mao avait coutume de dire « un se divise toujours en deux ». Ce païen rejoignait ainsi, sans le savoir, cette parole du Christ : « Que votre langage soit : Oui ? oui, Non ? non. Ce qu’on dit de plus vient du Mauvais » (Matt. 5, 37).

Nous sommes là dans une opposition radicale au relativisme du politiquement correct. Oui, le monde est binaire, tout est polarisé – comme la lumière après réflexion sur un miroir – en options conformes à l’Evangile et en options qui lui sont opposées. Il n’y a pas de juste milieu. Ceci contredit totalement l’opinion « bien pensante » qui dit qu’il faut rejeter les extrêmes. Jésus, par ces paroles et son enseignement, est un extrêmiste, au sens noble du terme.

Revenons à l’Europe. Oui, la construction de l’Europe répond, par certains aspects, à une nécessité : face aux géants économiques que sont les Etats-Unis et la Chine, seul un bloc fort peut disposer des ressources lui permettant de jouer d’égal à égal dans cette partie de cartes planétaires. Mais encore faut-il que cette Europe se construire dans le sens du Bien commun. Or ce n’est pas le cas.

C’est justement en cela que les pays de l’Est, ainsi que l’Autriche, s’opposent à la commission de Bruxelles et au projet commun à Emmanuel Macron et à Angela Merkel de fonder une Europe supranationale, en faisant disparaître les identités nationales. On doit leur donner raison car ces pays défendent un point de vue conforme à la doctrine sociale de l’Eglise : la mise en œuvre du principe de subsidiarité.

Comment aider ce front des pays de l’Est ? En nous battant pour une France libre, souveraine et indépendante. Ceci passe impérativement par deux exigences : le retour au Franc et la sortie de l’OTAN. Le retour au Franc fait peur, alors que la monnaie unique enferme tous les pays dans le même moule, ce qui bloque les initiatives que pourrait prendre la France en faveur de son développement. Même Emmanuel Macron s’est senti obligé de négocier avec la Chine des échanges plus équitables. Mais lui-même est enfermé dans le carcan que lui impose l’hyper classe mondialiste. Donc il ne peut pas faire grand-chose.

On nous dit que l’abandon de l’euro par la France plongerait notre pays dans une effroyable crise économique. Mais rappelons-nous que « la France est la fille aînée de l’Eglise ». Cela signfie que Dieu a choisi la France pour rayonner sa gloire dans le reste du monde. Si donc la France choisissait demain de quitter l’euro, tout ce château de cartes s’écroulerait et l’Europe repartirait sur un nouveau pied. Ce serait retrouver une nouvelle croissance et non pas la crise dont on nous menace.

Quant à la sortie de l’OTAN, c’est la seule voie qui permettrait à la France de retrouver sa puissance militaire, alors que l’état matériel de notre armée est lamentable. Les Etats-Unis, qui sont le véritable patron de l’OTAN, veulent à tout prix maintenir cette organisation car elle leur assure la soumission des Etats européens. Ainsi certains politiicens prônent une armée européenne. Ce ne serait que renforcer l’OTAN et la domination des américains. Au contraire, l’accroissement du budget de la défense nationale, qui dot passer à 3% du PIB, permettrait à la France de retrouver le respect qu’on lui doit sur la scène internationale et, ainsi, de mieux défendre notre patrie.

Mais tout cela ne peut tenir sur le long terme que si la France est dotée d’un pouvoir fort, avec le soutien de Dieu. Ce pouvoir fort, c’est en fait un nouveau régime politique, la royauté, dont le chef est « le lieutenant de Dieu sur terre ».

Vive le roi Louis XX

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6 janvier 2018 6 06 /01 /janvier /2018 07:42

Ayant été parmi les destinataires du courriel que le Général Antoine-Roch Albaladéjo, de la Légion Etrangère, a fait circuler, nous avons choisi d’en faire la diffusion, tant ce qu’il dit nous semble important. Voici donc la copie de ce courriel.

« Il  faut parfois écouter les militaires...Surtout quand ils parlent en connaissance de cause : ils savent mieux que les journalistes ce qu'est la guerre et QUI est l'ennemi... et ils n'ont pas d'électorat à séduire, eux...

Alors, au lieu de les prendre pour des ringards, écoutons ce qu'ils ont à dire...dans leur domaine de compétence, et tâchons d'en tenir compte.  Même de hauts gradés commencent à en parler... 

Quelques éléments de réflexion sur l'affrontement avec les islamistes :

1° Ouvrir les yeux et admettre une bonne fois pour toutes que les islamistes ont déclaré la guerre à l'occident, avec la France en première ligne. Se persuader que cette guerre ne se fera pas sans mort, sans prise d'otages, d’autres attentats, qu'elle se fera aussi chez nous et donc qu'il faudra nous montrer plus vigilant et moins vulnérable y compris émotionnellement.

Savoir que notre ennemi trouvera parmi nous des sympathisants et des complices dans tous les milieux et en plus grand nombre que ce ne fut le cas pour le FLN.

2° Cesser de reculer devant les exigences toujours plus grandes de ces extrémistes et de leurs complices, qui, en affaiblissant notre culture et en imposant la leur, cherchent surtout à tester et à saper notre esprit de résistance.

3° Agir en portant le fer là où apparaît un furoncle :

- Une immigration débridée qui rend insolubles les problèmes du logement, du chômage, de la dépense publique, ça se contrôle. 

- des barbus, des imams ou des rappeurs qui appellent à la guerre sainte, à la haine et au crime, ça se sanctionne,

- des quartiers qui caillassent les représentants de l'État, qui  rackettent les artisans, ça se neutralise,

- de discrètes écoles coraniques qui forment les djihadistes de demain, ça se ferme,

- des clandestins, ça s'expulse, surtout les délinquants,

- des subventions à toutes ces associations qui font leur beurre dans l'anti-France, ça se supprime, et on revoit nos programmes d'histoire, on jette la repentance aux orties, on laisse la transparence aux vitriers etc.etc. ..... 

 Et ne me dites pas qu'il s'agit là de racisme, de fascisme ou d'extrême droite !

Il s'agit de légitime défense et de résistance dans le respect de la loi, ni plus, ni moins !

Vous pensez sans doute que ce n'est pas demain la veille ?...... Je crois néanmoins que, sans un sursaut, le pays de la douceur de vivre, le plus beau pays du monde, risque fort de disparaître dans d'atroces soubresauts ou dans une coupable et morne résignation, pour être remplacé par une autre que certains, et pas des moindres, semblent appeler de leurs vœux, on se demande pourquoi, et qui commence à faire peur.. 

Mais je me trompe peut-être... J'aimerais tellement avoir tort... Enfin, réfléchissez, ne soyez ni sourds, ni aveugles, ni muets ».

Général Antoine-Roch Albaladéjo / Légion Etrangère

Nous partageons complètement ce point de vue. Cela étant dit, que faire ? Il n’y a rien à attendre des divers gouvernements qui se succèdent, tous étant inféodés à l’hyper-classe mondialiste. Il faut donc organiser la résistance autrement. Nous pensons qu’il faut commencer par destituer les partis politiques, vecteurs de ce mondialisme qui instrumentalise l’islam.

88% des Français rejettent les partis politiques

Il est temps de définir des institutions qui représentent les forces vives du pays, alors que les partis politiques ne défendent que les intérêts de l’hyper-classe mondialiste.

Il faut mettre en place au niveau de chaque circonscription électorale quatre collèges électoraux : un collège pour les salariés, un collège pour les familles, un collège pour les cadres et les entrepreneurs et un collège pour les agriculteurs. Chaque collège élit un conseiller qui siègera au Conseil Départemental (soit un Conseil de 20 membres en moyenne). Chaque Conseil Départemental élit en son sein un député, soit environ 100 députés à l’Assemblée Nationale.

Il faut aussi que les « pays » soient représentés. Un « pays » est une zone homogène du point de vue géographique, social et culturel (voir la loi Pasqua de 1995). Il correspond à environ un quart de département. Chaque « pays » élit un sénateur. Un système de représentation à définir permettra aussi aux  métropoles d’élire leur(s) sénateur(s). Ainsi le nouveau Sénat sera constitué d’environ 450 à 500 sénateurs.

Une nouvelle constitution définira les compétences spécifiques de l’Assemblée Nationale, du Sénat et des conseils départementaux (suppression de la « navette » entre Assemblée Nationale et Sénat).

Certes, ceci n’est qu’une étape vers la retour à la monarchie, le seul régime qui puisse donner  à la France un pouvoir fort capable de s’opposer à toutes les agressions que nous subissons chaque jour.

Vive le roi Louis XX

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23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 19:36

Simone Wapler, directrice de la rédaction de la tribune financière « AGORA » nous explique ce qui pourrait se produire le samedi 30 mars 2019 : « Vous recevez votre bulletin de paye et, stupéfaction, votre salaire est amputé de 7%. Ce doit être une erreur... La direction administrative et financière de votre entreprise est injoignable. Vous vous connectez sur votre compte en banque pour vérifier le montant viré. Le serveur est très lent. Un message de votre banque s'affiche, comme quoi le nombre important de connexions empêche momentanément le service de consultation de fonctionner normalement. Finalement, vous découvrez tard dans la soirée que non seulement votre salaire est bien amputé mais que votre solde créditeur a été lui aussi réduit de 8% ! Le relevé comporte une mention mystérieuse : "participation à l'effort exceptionnel de solidarité nationale". »

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ceci n’est pas nouveau. « Les titulaires de comptes de la plus grande banque de Chypre, la Bank of Cyprus vont perdre autour de 60% de leur épargne au-dessus de 100.000 euros, a confirmé samedi la banque centrale du pays, durcissant les conditions du sauvetage qui a évité à l'île la faillite » (La Tribune, 30 mars 2013). « Les banques ont rouvert jeudi à Chypre, sans que cela donne lieu à une ruée, après une fermeture de près de deux semaines. Dans une interview que publie samedi le journal Bild, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, assure que "Chypre est et restera un cas exceptionnel". ».

En fait, La France doit financer son déficit budgétaire qui devrait atteindre 85,8 Mds€ en 2018 selon la dernière version du projet de loi de finance. Mais elle doit aussi financer le remboursement de 116,6 Mds€ de dettes à moyen et long terme arrivant à échéance en mars 2018. Soit un total d’environ 200 milliards d’euros, alors que les recettes publiques étaient de 240 milliards d’euros en 2016 !

A cela s’ajoute le déficit de la Sécurité Sociale de 15 milliards d’euros, un déficit commercial  de l’ordre de 50 milliards et le service de la dette qui est de l’ordre de 45 milliards par an. Soit un montant total de plus de 300 milliards pour un niveau de recettes de l’ordre de 240 milliards. Imaginez que vous ayez à rembourser dans l’année plus que votre salaire annuel !

Les lois françaises sont déjà en place pour autoriser l’Etat à effectuer une ponction sur les comptes bancaires des ménages. La tentation est forte, d’autant que l’Etat ne peut pas augmenter indéfiniment la dette publique. Voilà où en est la France. C’est à partir de cette analyse que Simone Wapler annonce : « La dette publique conduira à la fin de la propriété privée en 2019 ».

Si tous les comptes bancaires étaient prélevés, cela équivaudrait à une réduction des revenus de l’ordre de 15%. Sans compter l’effet négatif sur l’économie qui conduirait très probablement à de nombreuses faillites.

Les causes principales sont au nombre de deux : d’une part, comment l’avait prévu l’économiste français Maurice Allais, prix Nobel d’économie, la monnaie unique plombe notre économie, et ce depuis des années. Il avait calculé que, avec un développement normal, le revenu national devrait être aujourd’hui supérieur d’au moins 50%. D’autre part, il y a le fonctionnement même de la république, dans laquelle personne ne se sent vraiment responsable, mais où tous les gouvernements ont fait preuve de démagogie en n’osant pas annoncer aux Français la mauvaise situation de l’économie de notre pays, préférant l’endetter plutôt que de reconnaître l'état désastreux des finances publiques.

Que faire dans une telle situation ? Il ne faut pas attendre les prochaines élections – dans quatre ans ! – pour agir. Il faut que des volontaires mettent en place dans chaque département un comité de sauvegarde pour construire une économie locale en cas de faillite nationale. Il suffit qu’une dizaine de personnes se réunisse et commence par créer une monnaie locale (à Montreuil, près de Paris, elle s’appelle « pêche »). Ensuite elles contacteront les entreprises du secteur pour qu’une partie du salaire – par exemple 5 ou 10% - soit versée sous forme de « pêches » afin d’ « amorcer la pompe ». Pour commencer, les paysans accepteraient d’être payés en pêches (échangeables contre des euros à tout moment). Ensuite les artisans et les commerçants. Ce système de monnaie locale a été mis en place pour la première fois à Woergl, en Autriche, dans les années 30, en pleine crise économique mondiale. En un an, le chômage, qui était de 60%, a disparu !

Bien entendu, à l’époque, les banques et l’Etat ont rapidement éteint l’incendie en interdisant cette pratique. Mais si, demain, le gouvernement est dans l’incapacité de sortir de la crise, il sera bien obligé de laisser la population s’organiser localement pour survivre.

Nous serons alors à la veille d’un changement radical de pouvoir. L’alternative ne peut être que l’instauration d’un pouvoir fort. Ce sera la royauté ou la dictature.

Vive le roi Louis XX

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17 décembre 2017 7 17 /12 /décembre /2017 19:44

Combattez les infidèles jusqu’à leur soumission et que l’islam seul règne (Sourate 02, 193).

Combattez ceux qui s’opposent à vous jusqu’à l’élimination de toute subversion et jusqu’à ce que le culte soit rendu à Allah (Sourate 02, 196).

L’islam doit prévaloir sur toutes les autres religions (Sourate 03, 85).

Les incroyants sont les ennemis avérés des musulmans (Sourate 04, 101).

S’ils apostasient, appréhendez-les et tuez-les où que vous les trouviez (Sourate 04, 89).

Ceux qui disent « Dieu est le Messie, fils de Marie », sont des impies (Sourate 05, 72).

Allah va terroriser les infidèles, frappez-les au cou, coupez-leur le bout des doigts (Sourate 08, 12).

Quand les musulmans tuent les infidèles, c’est Allah qui les tue en réalité (Sourate 08, 17).

Ceux qui rejettent Allah sont les pires des bêtes (Sourate 08, 55).

Ordre est donné au prophète de la part d’Allah d’exhorter les musulmans au combat contre l’infidèle (Sourate 08, 65).

O vous qui croyez (les musulmans), tuez les « infidèles » de votre entourage ; et qu’ils trouvent de la dureté en vous (Sourate 09, 123).

Tuez les « gens du Livre » (les chrétiens), car ils sont « infidèles » et ne croient pas en Allah (Sourate 09, 29).

Les chrétiens ont dit « Le Messie est Fils de Dieu ». Que Dieu les anéantisse : il n’y a pas d’autre Dieu qu’Allah (Sourate 09, 30).

Si vous ne partez pas en campagne militaire, Allah vous infligera un châtiment douloureux (Sourate 09, 33).

Tuez-les tous, partout où vous les trouverez (Sourate 09, 5).

Egorgez les non musulmans où vous les trouverez, attrapez-les, assiégez-les et tendez-leur des pièges (Sourate 09, 5).

Tuez les païens partout où vous les trouverez, attrapez-les, assiégez-les et tendez-leur des pièges (Sourate 09, 5).

Ceux qui renient leur foi (musulmane) sont des orgueilleux ; ils sont maudits ! Fais-leur la chasse et, où qu’ils se trouvent, ils seront capturés et tués impitoyablement, car la loi d’Allah est irrémissible (Sourate 33, 60-62).

Ceux qui refusent de croire (à l’islam) sont des « impies » ; que de générations avant eux avons-nous fait périr, lesquelles ont crié quand il n’était plus temps d’échapper (Sourate 38, 2).

Les « gens du Livre » (les chrétiens) qui sont incrédules, en enfer ! Pour y demeurer éternellement. Ce sont les pires êtres de la création (Sourate 98, 6).

Voilà où nous conduit le culte de la laïcité

Revenons à la France chrétienne de notre histoire

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11 décembre 2017 1 11 /12 /décembre /2017 17:48

En 1963, quinze éminents chercheurs d’universités américaines se réunissent en secret dans un endroit appelé « La montagne de Fer ». L’un d’entre eux (pseudonyme John Doe) publia en 1967 le résultat de ces études dans un livre intitulé « The report from Iron Mountain ». En voici les idées essentielles : 1) Aucun intérêt à discerner le Bien du Mal, à déblatérer sur des concepts vides tels que le Droit et le Pouvoir, le Patriotisme ou la Religion ; 2) « La guerre remplit certaines fonctions essentielles pour la stabilité de notre société. Jusqu’à ce que d’autres moyens de les remplir soient développés, le système de la guerre doit être maintenu et son efficacité améliorée » ; 3) Le peuple, en période de guerre ou s’il existe une menace de guerre, se soumet plus facilement au gouvernement sans se plaindre ; en revanche, en temps de paix, les gens s’opposent instinctivement aux politiques de fiscalité et détestent l’immixtion des politiciens dans leur vie privée.

Toutefois la guerre traditionnelle risque d’empêcher la mise en place d’un gouvernement mondial. Les chercheurs ont donc été amenés à imaginer une alternative à la guerre pour les Etats-Unis. La solution qu’ils ont trouvée est le mythe du réchauffement climatique.

Seuls deux dirigeants politiques n’y croient pas et osent le dire : Donald Trump et Wladimir Poutine. Cela montre la puissance des media qui intoxiquent quotidiennement les esprits avec les idées du mondialisme. Voyons de plus près ce bourrage de crânes.

Tout d’abord la caution des soi-disant scientifiques : le GIEC est composé de personnes n’ayant aucune compétence en climatologie ; et quand bien même il y aurait parmi eux des scientifiques, il faut savoir que, dans l’histoire, les académies des sciences n’ont accepté certaines vérités qu’en moyenne avec un siècle de retard. Il en fut ainsi pour Galilée, Newton, Darwin, Pasteur et bien d’autres. C’est tellement plus confortable d’être en accord avec l’esprit du temps…

Pour rester sur le plan scientifique, il est intéressant de se reporter à la période des dynosaures : la nature était surabondante et il y avait quatre fois plus de CO2 qu’aujourd’hui. Et si l’on utilise les logiciels de simulation du GIEC, on arrive à une température de 100 °C ! Ce qui démontre que ces logiciels ne modélisent pas correctement la réalité.

On nous parle de la hausse probable du niveau de la mer. Or celui-ci s’élève de 2 à 3 millimètres par an, soit 20 à 30 centimètres sur un siècle. On est très loin des discours qui nous annoncent une hausse de plusieurs mètres qui conduirait à déplacer des millions de personnes.

La soi-disant disparition des ours blancs : en réalité, sur les cinquante dernières années, leur nombre est passé de 8000 à 24000, soit une multiplication par trois. Ils ne sont pas du tout en voie de disparition.

Venons-en à la question des politiques énergétiques. Le discours occidental s’articule en deux volets, l’un quantitatif, l’autre qualitatif. En ce qui concerne le premier aspect, les occidentaux, qui consomment dix fois plus d’énergie que les pays en voie de développement, voudraient contraindre ces derniers à faire des économies d’énergie. Alors que c’est essentiellement le budget énergétique qui leur permet de sortir du sous-développement. On comprend que le thème du réchauffement climatique et les injonctions des COP21, COP22, COP23, etc, passent très mal auprès de ces populations.

Quant à l’aspect qualitatif, les décisions prises par les Etats européens sont tout simplement aberrants. Il faut savoir que, vers 2050, seuls 5% des besoins énergétiques pourront être satisfaits par les énergies renouvelables. Les éoliennes construites sur terre produisent une énergie trois fois plus chère que celle des centrales nucléaires, et le prix est multiplié par cinq pour les éoliennes construites sur mer. De plus, l’installation d’éoliennes doit s’accompagner de la construction de centrales thermiques puisque celles-ci ne produisent que pendant 20% du temps. L’industrie des éoliennes fait travailler des milliers de personnes, ce qui constitue un énorme gaspillage. En France, on construit et on implante des éoliennes alors que la production d’électricité nucléaire est supérieure à nos besoins.

Quant à la voiture électrique, d’une part son coût de production est largement supérieur à celui d’une voiture à essence ; d’autre part, la conception même est antiéconomique. Ainsi la voiture Tesla qui, selon les dires de son constructeur, aurait 400 kilomètres d’autonomie, a une batterie qui pèse 800 kg ! En comparaison, le réservoir d’essence d’une voiture classique est de 50 litres, soit environ 40 kg, vingt fois moins ! Et que va-t-on faire des batteries usagées ?

La royauté est basée sur la vertu, le roi ayant pour mission d’élever les vertus du peuple. Au contraire, la république passe son temps à manipuler les populations, au bénéfice de l’oligarchie mondialiste.

Vive le roi Louis XX !

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2 décembre 2017 6 02 /12 /décembre /2017 12:50

L’ex-haut responsable des forces croates de Bosnie, Slobodan Praljak, « est mort dans un hôpital de La Haye après avoir bu du poison » dans la salle d’audience du tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) à La Haye, a annoncé l’agence officielle croate Hina

Il s’est empoisonné en pleine audience au moment du verdict le condamnant à vingt ans de prison, le tribunal ayant jugé que sa participation à la guerre en ex-Yougoslavie en 1993 avait conduit à un génocide. Le Premier ministre croate Andrej Plenkovic a aussitôt déclaré que ce jugement illustrait une  « profonde injustice morale ». De même, Kolinda Grabar-Kitarovic, la présidente de la République de Croatie a ajouté que, en tant qu'Etat, « la Croatie n'était pas un agresseur », et elle « n'a attaqué personne » lors de la guerre de Bosnie (1992-95).

Kolinda Grabar-Kitarovic a critiqué le TPIY, considérant que cette institution a agi « en arbitre politique et pas en corps judiciaire, essayant d'établir un équilibre des culpabilités » dans les guerres qui ont ensanglanté l'ex-Yougoslavie dans les années 1990.

Une décision similaire a été prise contre le serbe Ratko Mladić, condamné à quarante ans de prison. Dans les deux cas, ce sont des musulmans qui sont considérés comme les victimes.

Ainsi que l’écrit un rédacteur de Boulevard Voltaire, « Ratko Mladić est-il coupable ? Bien sûr. Coupable d’avoir fait la guerre. Coupable des massacres de Srebrenica ? Sans nul doute. Mais pas plus coupable que ceux s’étant rendus coupables d’autres massacres tout aussi terribles. Relativisme ? Certes, mais en la matière, tout est relatif : les balles fauchent ceux qui s’agenouillent aussi durement que ceux qui se prosternent. Les Croates et les Serbes ne se battaient pas à coups de chapelets, pas plus que les Bosniaques ne montaient au combat en brandissant des tapis de prière. Si l’on punit l’un, il faut aussi que tous les autres soient condamnés. La justice se rend d’un bloc et non point en pièces détachées ».

En résumé, des chefs de guerre sont condamnés pour avoir mené la guerre. Mais pas n’importe quels chefs de guerre : des citoyens de la Croatie catholique et de la Serbie orthodoxe. Mais pas ceux de la Bosnie musulmane.

Supposons maintenant que le TPIY n’ait pas pratiqué la politique de « deux poids, deux mesures » et ait aussi condamné quelques chefs de guerre bosniaques. Est-ce imaginable ? Certes non. C’est comme si, à l’issue de la première guerre mondiale, on avait condamné tous les belligérants. On voit à quel point on tombe dans l’absurde : il ne peut pas exister de justice internationale indépendante, se permettant de juger qui a conduit la guerre d’une manière humanitaire et qui ne l’a pas fait. Ou bien, nous nous trouverions déjà – ce que certains souhaitent – dans le contexte d’un gouvernement mondial s’étant attribué un pouvoir judiciaire supranational.

Le TPIY ne peut donc exercer qu’une justice partisane. C’est ce qu’il fait. Et les victimes sont Slobodan Praljak, Ratko Mladić et bien d’autres. Ils sont les victimes du pouvoir mondialiste dont nos dirigeants politiques, Emmanuel Macron notamment, sont les serviteurs.

Nous savons que le pouvoir exécutif de l’hyper-classe mondialiste est entre les mains des Etats-Unis. Sa volonté de détruire le christianisme n’est pas nouvelle. Déjà en 1823, le président américain James Monroe énonçait, dans ce qu’on a appelé depuis la « déclaration de Monroe », qu’aucun régime monarchique n’est autorisé à s’établir en Amérique du Sud ! Qui dit régime monarchique dit pouvoir de droit divin, donc chrétien. C’est cela que la déclaration de Monroe voulait interdire.

Voilà pourquoi nous, royalistes, nous ne cessons d’expliquer que la justice républicaine est forcément une justice partisane. C’est seulement dans le cadre d’une royauté qu’une justice peut être indépendante, car le juge doit rendre des comptes à Dieu.

Vive le roi Louis XX

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  • : Le groupe POUR UN ROI TRES CHRETIEN est un mouvement royaliste. Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la royauté. Tout en reconnaissant la validité des Lois fondamentales du royaume, il considère que le futur roi n'est pas identifié à ce jour. Ou bien il émergera du combat antimondialiste, et ce sera le début d'une nouvelle dynastie, ou bien ce sera le descendant du jeune roi Louis XVII qui, comme on le sait aujourd'hui, a été "exfiltré" de la prison du Temple.
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