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28 juin 2015 7 28 /06 /juin /2015 10:59

L’attentat contre Charlie Hebdo, en janvier, puis, le lendemain, contre un magasin Casher, aurait pu nous donner à penser que nous avions eu notre dose d’attentats, si l’on peut dire ainsi, pour au moins quelque temps. Et voici qu’un nouvel attentat se produit, plus terrible que les précédents si l’on ne regarde pas le nombre de victimes mais la forme horrible de l’assassinat d’un seul homme. Et l’on nous dit officiellement qu’il y aurait en France plus de trois mille djihadistes en puissance, prêts à commettre d’autres attentats, peut-être encore plus meurtriers.

C’est là que nous devons nous interroger : ces attentats sont-ils commandités, ou l’œuvre non préméditée de djihadistes isolés ? En ce qui concerne les deux premiers cités, nous savons qu’ils sont le résultat d’un plan bien préparé. Voyons le problème de plus haut, en dépassant le cadre de la France. L’Etat Islamique développe maintenant des attentats non seulement en Tunisie et en Libye mais également au centre même de l’Afrique. Nous avons bien affaire à un plan organisé. Le tout est de savoir par qui.

La stratégie du chaos est à l’œuvre

Il y a quelque chose de bizarre : si les Etats-Unis, qui se disent déterminés à éliminer l’Etat Islamique, voulaient y mettre les forces nécessaires, comme ils l’ont fait dans le passé en Irak, il y a longtemps que celui-ci serait écrasé. Or il prospère et, en plus, il utilise des armes américaines dans son combat. Tout se passe comme si une volonté extérieure voulait entretenir la guerre. Nous sommes, de fait, en présence d’une volonté politique qui pratique la stratégie du chaos.

Nous savons que, derrière ces événements, c’est l’axe USA-Israël qui tire les ficelles. Son objectif est la mise en place d’un gouvernement mondial et, à cette fin, la destruction de tous les Etats existants. De plus, puisque, comme chacun sait, l’argent est le nerf de la guerre, il lui faut se procurer toujours plus d’argent. Or rien de tel qu’une guerre pour mettre les gouvernements en émoi et obtenir d’eux tout ce qu’on veut…

Et l’économie, dans tout cela ?

Apparemment, les questions économiques et celles liées aux nombreuses guerres dans le monde sont distinctes. Voyons donc où en est l’Union Européenne sur le plan économique. Il est de plus en plus probable que la Grèce sorte de l’euro. Et les spécialistes disent que, dans ce cas, le Portugal et l’Italie seront tentés d’en faire autant. Ce sera le début de la dislocation de l’Union Européenne. Est-ce un bien ou un mal ? Pour répondre à cette question, il faut revenir, une fois de plus, à la question de la mondialisation.

Un reportage récent sur une chaîne de télévision montrait que l’Angleterre avait choisi, à la veille de la deuxième guerre mondiale, de spécialiser son agriculture dans l’élevage au détriment de la production de céréales, qu’elle importait. Or il faut sept fois plus de terres pour produire de la viande qu’il n’en faut pour produire des céréales. L’Angleterre découvrait d’un seul coup qu’elle était incapable de nourrir sa population. Voilà à quoi conduit la mondialisation.

La France a fait les mêmes mauvais choix : sous prétexte de calcul économique, nous avons sacrifié notre industrie pour ne garder que les services. Or c’est principalement l’industrie qui crée des emplois. Pas étonnant que nous ayons tant de chômage. Mais le cartel des grandes banques internationales nous entretient dans cette erreur funeste en nous poussant à augmenter chaque année notre dette publique. Vous connaissez l’histoire du joueur de poker que des esprits malins encouragent à continuer à jouer, en lui prêtant l’argent dont il a besoin. On sait comment cela se termine : par un suicide ou un meurtre.

Il en est de même au niveau des Etats. La France pratique une politique suicidaire, encouragée par les puissances financières. Supposons maintenant qu’un chef d’Etat courageux décide de réagir. Il faudrait pour cela faire comme la Grèce – refuser de rembourser la dette, ou tout au moins établir un moratoire – et relancer notre développement économique en créant notre propre monnaie, sans faire appel aux banques. Lincoln, en son temps, l’a fait, et c’est ce qui lui a permis de financer la guerre de sécession. Curieusement, dès que la guerre fut terminée, il fut assassiné…

Les risques de guerre civile

Si donc un chef d’Etat courageux décide de redresser la situation économique de la France, il subira – ou fera subir à la France – de sérieuses représailles. Deux scénarios viennent à l’esprit. Ils peuvent d’ailleurs être concomitants. Le premier est le pendant de ce qui s’est passé en Ukraine et, précédemment, en Syrie : envoi de mercenaires qui amorcent une situation insurrectionnelle, présentée ultérieurement par les médias comme une guerre civile entre partisans et opposants à la démocratie. La France se réveillerait ainsi un beau matin en pleine guerre civile. Le deuxième scénario nous ramène à ce que nous disions au début de ce texte : un réveil des 3000 djihadistes dormants, qui organisent des attentats sur des points sensibles aux quatre coins de la France.

Le simple fait que soient présents en France près de dix millions de musulmans est déjà une menace pour la paix. Il suffit en effet que des agitateurs déclenchent une soi-disant attaque contre des droits jugés légitimes par cette communauté pour que celle-ci s’enflamme. Et, dans ce cas, bon nombre de Français, sous l’influence des partis de gauche, prendront position en leur faveur. Les germes de la guerre civile sont peut-être là.

En conclusion, que pouvons-nous faire ? Tout d’abord exiger du gouvernement qu’il augmente le budget de la Défense Nationale et le porte à 3% du PIB, au lieu de 1,5% aujourd’hui. D’autre part, qu’il rétablisse le service militaire obligatoire, afin que tous les Français connaissent le maniement des armes. Enfin, qu’une réelle politique de développement de la Francophonie soit mise en œuvre pour proposer une alternative aux jeunes en voie de désespérance et dont certains croient voir dans la djihad un idéal de vie.

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20 juin 2015 6 20 /06 /juin /2015 16:05

C’est une véritable invasion à laquelle nous assistons, de migrants qui débarquent en Europe chaque jour par milliers. Tout le monde le sait mais personne ne fait rien. Les dirigeants de l’Union Européenne – commission et gouvernements réunis – sont incapables de se mettre d’accord sur une solution. Que faut-il donc faire ?

La première chose est de comprendre comment on en est arrivé là. François Falcon, dans un article du Boulevard Voltaire de ce jour (20/06/2015), analyse de façon fort pertinente que la France est passée par quatre vagues : celle des années 50 et 60, lorsque le flux d’immigrés nord-africains s’est mis en place ; celle des années 70 et 80, lorsque les bien-pensants ont commencé à expliquer au petit peuple que, finalement, les immigrés maghrébins allaient rester en France et y faire venir leur femme et leurs enfants, mais qu’ils allaient se fondre dans la population de souche et en adopter les mœurs et les valeurs ; celle des années 90, lorsque les journalistes, politiques, syndicalistes et lobbyistes du MEDEF – logés à la même enseigne puisqu’enseignés aux mêmes loges franc-maçonnes – ont fait savoir que les immigrés africains allaient désormais pouvoir faire venir leurs frères et leurs cousins, qu’il n’était plus question de leur demander de s’assimiler, qu’ils allaient conserver leurs coutumes mais que c’était là une source d’enrichissement culturel et enfin celle du début des années 2010, avec un discours officiel reconnaissant que les immigrés arrivent de façon massive et du monde entier, qu’ils franchissent souvent les frontières de façon illégale tout en nous assurant que l’on ne peut rien y faire.

« On laisse entendre à demi-mot qu’en raison de leur nombre, ils vont nous imposer leur religion et leur mode de vie mais qu’après tout, la charia c’est aussi respectable que la philosophie des Lumières et bien plus respectable que le christianisme, quoi qu’en pensent ces Français de vieille souche rance et nauséabonde. Sauf que, là, ça commence à faire beaucoup ! ».

Ce n’est donc pas le fruit du hasard mais un plan préparé de longue date

Encore un exemple qui prouve un calcul politique : le bombardement de la Libye par les Français et les Anglais qui a conduit à l’assassinat de Kadhafi. Que sommes-nous aller faire dans cette galère ? C’était bien évidemment une action militaire commanditée par l’axe USA-Israël, dont nous n’étions que les exécutants, le but poursuivi étant, non pas de chasser un dictateur mais de franchir une nouvelle étape dans le développement de la politique du chaos, qui est sa véritable politique. Rappelons que Kadhafi empêchait militairement les immigrés de traverser la Méditerranée. Tout ce qui peut conduire à affaiblir et désorganiser l’Europe fait partie des objectifs de cet axe USA-Israël.

La seule solution est de relancer notre industrie, en définissant un nouveau paradigme de développement profitant à la fois à notre pays et à la Francophonie, de manière à ce que ces populations retournent dans leurs pays en y trouvant la paix et non la guerre. Deux conditions sont nécessaires pour cela : que la France retrouve sa souveraineté – c’est-à-dire qu’elle développe sa propre politique étrangère sans être soumise aux Etats-Unis – et que le budget de la Défense Nationale remonte à 3% du PIB, afin de mettre en place dans les pays de la Francophonie les forces militaires permettant de garantir que le développement se fasse en toute sécurité.

Une telle politique est conforme à la Doctrine sociale de l’Eglise, car c’est tout simplement l’application du principe de subsidiarité. Et c’est pour cette raison qu’aucun régime républicain ne la mettra en pratique. C’est donc seulement par le retour du roi que cette politique de développement pourra être mise en œuvre.

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14 juin 2015 7 14 /06 /juin /2015 18:08

40% des enfants ont de graves difficultés en lecture ou en écriture à la fin du primaire, soit deux enfants sur cinq. Et au lieu de s’occuper de cette question prioritaire, notre ministre de l’Education Nationale, annonce que, dans le collège de 2016, on devra « mieux enseigner les savoirs fondamentaux, former à d'autres compétences et avoir un fonctionnement quotidien assoupli pour s’adapter à la diversité des besoins des élèves ». Au nom de la « priorité centrale donnée à la maîtrise des savoirs fondamentaux », la réforme du collège concerne simultanément les programmes, les pratiques d'enseignement et l’organisation pédagogique.

On bouleverse tous les programmes en même temps, à tel point que les éditeurs ne savent plus où donner de la tête ! En réalité, la réforme est purement idéologique. Le gouvernement n’a qu’un seul objectif – réduire les inégalités sociales – et pour cela aligner tous les élèves au niveau le plus bas. Ainsi, par exemple, les textes étudiés en classe sont de plus en plus vides, ce qui explique l’ennui dont parle notre ministre. Alors que l’école devrait répondre aux besoins d’un bon fonctionnement de la société, le gouvernement veut utiliser l’école pour transformer la société.

C’est mettre la charrue avant les bœufs !

C’est le moment de nous interroger sur les principes sur lesquels un gouvernement responsable devrait s’appuyer pour construire l’école. Il y en a cinq.

Premier principe : alors qu’on ne parle que de moyens, il faut commencer par définir la finalité recherchée. Selon nous, ainsi que le propose Anne Coffinier, présidente de la Fondation pour l’école, elle devrait être « former des hommes libres, qui aiment et qui servent la vérité ».

Deuxième principe : l’école doit prendre en compte les aptitudes et les aspirations des enfants. Cela implique une école diversifiée et non un monopole étatique. Dans le système scolaire actuel, d’une part, l’enseignement professionnel est sacrifié et, d’autre part, les parents compensent les lacunes de l’enseignement en s’impliquant davantage, ce qui aboutit à l’opposé de ce que recherche le gouvernement : des professions qui se reproduisent de père en fils ou de mère en fille.

Troisième principe : l’Etat doit reprendre sa juste place, non pas de prestataire de l’enseignement mais de garant de celui-ci, selon des règles définies en fonction du bien commun.

Quatrième principe : l’école doit être administrée selon le principe de subsidiarité. Chaque école doit être indépendante et définir librement son fonctionnement et sa pédagogie. L’Etat ne doit intervenir qu’en cas de dysfonctionnement.

Cinquième principe : Alors que les professeurs sont engagés sur le plan des méthodes mais non sur celui des résultats, il faut inverser le système actuel et exiger des enseignants un engagement de résultat. Ceci signifie que les résultats obtenus dans chaque classe et dans chaque discipline doivent être publiés, ce qui est la seule façon d’en corriger les défauts et par conséquent d’entrer dans une boucle d’amélioration permanente.

Nos propositions

Les parents doivent recevoir de l’Etat un « chèque scolaire » qui leur permette d’inscrire leurs enfants dans l’école de leur choix. Ils pourront choisir entre deux types d’école : des écoles entièrement privées, comme celles qui existent aujourd’hui et des écoles que l’on pourrait appeler « académiques »,dont nous détaillons le fonctionnement ci-après.

Ces écoles académiques disposent d’un conseil d’administration dont les membres sont élus par l’assemblée générale des parents d’élèves, selon le fonctionnement habituel des associations / loi 1901. Ce conseil d’administration nomme le directeur de l’établissement. Celui-ci est maître du recrutement, qu’il effectue en faisant appel soit aux professeurs certifiés de l’Education Nationale, soit à des enseignants indépendants. Un système de compensation doit être inventé pour que la répartition et le montant des chèques scolaires établisse un équilibre entre les écoles académiques et les écoles privées. En cas de dysfonctionnement ou de mauvais résultats, l’Etat impose la dissolution du conseil d’administration et une nouvelle élection, comme cela se pratique au niveau des communes.

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6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 09:19

Les écologistes allemands se battent depuis longtemps contre le nucléaire. A force de pressions et de manifestations, ils ont obtenu du gouvernement allemand – il y a quelques années déjà – la décision officielle de ne plus construire de centrales nucléaires et de développer les énergies renouvelables. C’est ainsi que la mer du Nord s’est progressivement couverte d’éoliennes flottantes.

A première vue, les partisans d’alternatives aux énergies polluantes ne peuvent que se réjouir, et ils ne s’en privent pas. Notre ministre de l’écologie Ségolène Royal soutient fermement le développement des éoliennes. Elle est d’ailleurs soutenue par la Commission européenne qui, par une décision du 27 mars 2014, a en effet validé le dispositif en concluant que « [le] régime français octroyant un soutien à la production d’électricité à partir d’éoliennes terrestres était compatible avec les règles de l’UE en matière d’aides d’État ».

« Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes », apparemment… Or il se trouve que l’installation d’éoliennes en pleine mer – ce que pratique à grande échelle l’Allemagne, pas encore la France – nécessite la mise en place d’ « anodes sacrificielles », un système qui protège lesdites éoliennes de l’oxydation. Il a ainsi été calculé que « les 6500 turbines prévues d’ici 2020 dans la mer du Nord y déverseront quelques 13000 tonnes de particules d’aluminium par an » (Rivarol du 26/03/2015).

Nul doute que les pauvres poissons de la mer du Nord n’en ingurgitent des quantités. On ne sait s’ils tomberont malades mais il est hautement probable que ces particules d’aluminium se retrouveront dans les assiettes des mangeurs de ces poissons. En quoi est-ce nocif ? Pourrions-nous nous demander. C’est là qu’il est utile de se souvenir que nos sociétés sont atteintes de manière croissante par des maladies que tout le monde craint : la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson. En ce qui concerne la première, même si on ne maîtrise pas totalement les causes de son apparition, on sait qu’elle est d’origine sociétale puisqu’actuellement 850 000 personnes en sont atteintes, et que le nombre de personnes touchées augmente de 150 000 par an, soit près de 20% de croissance annuelle ! On sait aussi qu’il est un facteur qui agit sur le développement de cette maladie : l’aluminium. La boucle est bouclée : attendons-nous à une accélération du développement de cette maladie dans notre pays.

En France, le projet global est de construire en 5 ans (de 2015 à 2020) 1 200 éoliennes offshore assurant 6 000 MW en 2020. Que font les écologistes ? Ils continuent à soutenir le développement des éoliennes. Personne ne dénonce le désastre écologique que cela représente. C’est, en fait, un véritable crime contre l’humanité. Bien entendu, d’énormes intérêts économiques sont en jeu, mais aussi des intérêts politiques : si les partis écologistes reconnaissaient cette réalité, ils se déconsidéreraient.

Encore une fois, voilà où conduit la logique électorale : privilégier les éventuelles voix gagnées au détriment du bien commun. Mais la république sans ce système électoral ne serait plus la république. C’est pourquoi le souci du bien commun conduit à abolir la république.

Pour le maintien du nucléaire français, mieux maîtrisé que les éoliennes

Pour la sortie de la France de l’Union Européenne, qui veut nous imposer les éoliennes

Pour le retour du roi

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 05:23

Une secte satanique dirige le monde. Elle a compris que, pour dominer un peuple, il faut se rendre maître de la monnaie. Aussi a-t-elle mis la main sur la Banque d’Angleterre dans un premier temps, sur la Réserve Fédérale américaine dans un deuxième temps (la FED), laquelle n’est pas la banque centrale des Etats-Unis comme on pourrait le croire, mais un cartel des grandes banques internationales. Ce plan a été achevé en 1913, année à partir de laquelle ce clan a les moyens de faire la pluie et le beau temps dans le monde.

Au fil du temps, ce clan renforce son pouvoir en accumulant toujours plus d’argent. Or les deux moyens les plus efficaces pour gagner de l’argent sont la guerre et la crise économique. Pendant la guerre en effet, les Etats ont besoin de se procurer toutes sortes de denrées, dont de l’armement, et la pénurie les oblige à les acquérir à prix fort. Quant à la crise économique, le mécanisme est simple : les banques facilitent le crédit accordé aux entreprises, celles-ci s’endettent pour mieux répondre au marché, puis, dans une deuxième étape, les banques assèchent le crédit, ce qui pousse les entreprises à la ruine, que le clan rachète à bas prix. C’est ainsi qu’ont été sciemment provoquées, entre autres, les deux premières guerres mondiales et la grande crise économique de 1929.

Cette secte satanique s’appuie sur quatre leviers pour asseoir son pouvoir : 1) la franc-maçonnerie ; 2) les Etats-Unis et Israël, dont elle manipule les dirigeants ; 3) les clubs de pensée, dont les principaux sont le CFR, Bilderberg et la Trilatérale ; 4) la plupart des médias, qui sont sous son contrôle. Bien entendu, tous les dirigeants des pays occidentaux et de l’Union Européenne en particulier lui sont soumis. Quand on a des moyens financiers astronomiques, il est facile de corrompre les hommes politiques.

C’est pourquoi la victoire électorale d’un parti politique qui serait réellement en opposition à ce pouvoir est tout-à-fait impossible. A supposer même que, par suite d’une vaste mobilisation populaire, un tel parti prenne le pouvoir, voici le scénario le plus probable des événements qui se dérouleraient :

• Envoi de mercenaires en France pour y déclencher une guerre civile, comme cela s’est fait récemment en Syrie et en Ukraine, et campagne de presse associée pour expliquer la « dérive » de la France, dans laquelle « le peuple » demande le retour à une démocratie confisquée, etc.

• Attaque par drones d’une série de centrales nucléaires ; les drones qui les ont récemment survolées étaient en effet équipés d’une caméra infra-rouge pour détecter le transformateur qui distribue le courant électrique dans le réseau, d’un enregistreur des coordonnées GPS et d’une forte charge explosive. Le transformateur est le point fragile : s’il est détruit, il faut six mois à un an pour le remplacer, ou davantage s’il y a un blocus sur Alstom, qui est devenu américain et qui est le seul industriel à pouvoir fournir un transformateur de remplacement.

La France se retrouve alors 1) en guerre civile 2 ) dans le noir, sans électricité pour de longs mois.

Voilà ce qui nous attend !

La France est donc aujourd’hui occupée, comme elle le fut par les Anglais du temps de Jeanne d’Arc. Et seule une nouvelle Jeanne d’Arc pourra nous sortir de cette occupation. Cela ne veut pas dire qu’il faut attendre qu’un dirigeant charismatique, homme ou femme, apparaisse et prenne la tête de la rébellion.

Ce dirigeant émergera si nous organisons le combat. Mais l’adversaire est tellement puissant qu’on ne pourra le renverser qu’avec l’aide de Dieu. Ce combat ne peut donc avoir qu’un objectif : remettre Louis XX, le descendant des Bourbons, sur le trône, car le roi est le lieutenant de Dieu sur Terre. C’est aujourd’hui un homme de 41 ans, marié et père de deux enfants. La royauté représente en effet la seule alternative radicale par rapport à la république, puisqu’il s’agit d’abolir son principe fondateur, la souveraineté du peuple, pour revenir à un régime politique basé sur la souveraineté de Dieu.

A bas le pouvoir du cartel des banques internationales

Vive le roi Louis XX

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 14:35

Philippe Franceschi, dans un article publié le 25 mai dans Boulevard Voltaire, écrivait : « Merci à Xavier Raufer de nous avoir informé dans ces colonnes le 23 mai des 56 « Quartiers sensibles de non-droit » référencés par le ministère de l’Intérieur. Et maintenant que vais-je faire pour ceux qui vivent dans ces quartiers? devrait se demander chaque citoyen. Nonobstant les mesures d’insertion sociale que l’on pourra prendre, la reconquête du terrain par la puissance publique est une nécessité absolue. Il n’y a pas d’autre solution que de mettre hors d’état de nuire ces bandes de délinquants qui ont bénéficié de trop de bienveillance jusqu’à présent. Les Français y seront très favorables dans leur très grande majorité. C’est un vaste chantier qui demandera la réalisation de prérequis, un plan et des modes d’action précis ainsi que des mesures d’exception s’apparentant à un état d’urgence ».

En effet, Xavier Raufer, Docteur en géopolitique et criminologue, avait fait paraître en exclusivité pour Boulevard Voltaire, la liste des 56 « Quartiers sensibles de non-droit » (QSN, dénomination officielle) qui se trouvent dans 23 départements de la France métropolitaine.

Et Philippe Franceschi de proposer des mesures à prendre, très pertinentes, pour combattre ce fléau « Premier prérequis : redonner du muscle aux forces de l’ordre. Il sera nécessaire de reconstituer les forces décimées depuis quelques années quand il a été décidé de procéder à une réduction très significative des effectifs de la gendarmerie mobile et des CRS. Ainsi par exemple, depuis 2009, la gendarmerie mobile a vu quinze de ses escadrons dissous sur une centaine opérationnels, alors qu’elle a vocation, de par sa nature militaire et ses moyens, à aller au-devant des situations les plus complexes de rétablissement de l’ordre. Les effectifs en intervention de chaque escadron a été lui-aussi réduit à 50 au lieu de 75 auparavant. Les moyens spéciaux comme les véhicules blindés de maintien de l’ordre ont été réduits en nombre alors qu’ils sont d’une grande importance dans certaines situations très dégradées. Enfin, le budget consacré à la formation et à l’entraînement a diminué de moitié en 15 ans ».

Le malheur est que, dans le régime actuel, aucune mesure ne sera prise. Les chiffres de réduction des moyens présentés par Philippe Franceschi sont terrifiants : on a vraiment le sentiment que le gouvernement Hollande veut mettre de l’huile sur le feu.

D’ailleurs Xavier Raufer nous avertit : « Le désastre est à venir… Ainsi, parions que la situation se dégradera encore dans les « quartiers sensibles de non-droit ». Et là, prévenons nos gouvernants : plus de chaos encore dans ces cités et alentours compromettra forcément, à terme, la stabilité sociale du pays entier. Car il se sait de longue date (…) que la survie autonome de tout organisme vivant, individu ou corps social, tient à un ordre interne stable et constant. Dès le XIXe siècle, le professeur Claude Bernard résumait d’une fulgurante formule cette obligation : « La fixité du milieu intérieur est la condition de la vie libre ». (…) Si l’ordre n’y est pas rétabli sans tarder, s’ils s’enkystent et métastasent encore, de graves périls nous attendent, en matière de crime organisé ou d’islamisme armé ».

En conséquence, que faire ? Tout d’abord, comprendre que les politiciens qui nous dirigent, qu’ils soient de droite ou de gauche, sont les esclaves des mondialistes, ceux qui veulent mettre en place un nouvel ordre mondial. Deux exemples récents : 1) la vente avortée des bateaux Mistral à la Russie, sur l’ordre des Etats-Unis ; 2) la commande par l’Iran de 500 000 voitures Peugeot par an, annulée par les mêmes.

Ensuite, mener le combat pour que la France retrouve sa souveraineté. Il faudrait déjà pour cela que la majorité de Français qui sont encore attachés à l’idée d’une monnaie unique comprenne que c’est ce qui coule l’économie française. Sur le plan politique, il faut sortir de l’Union Européenne pour construire une autre Europe, une Europe des patries faisant référence à nos racines chrétiennes communes. Enfin, il nous faut sortir complètement de l’OTAN, une alliance sous contrôle américain.

La France hors de l’euro, hors de l’UE, hors de l’OTAN !

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16 mai 2015 6 16 /05 /mai /2015 17:26

L’immigration non officiellement voulue prend de telles proportions – jusqu’à 6000 arrivées par jour – que les gouvernements européens sont obligés de s’en préoccuper. Mais non pour se donner les moyens de l’arrêter, seulement de donner l’illusion à leurs électeurs que des mesure sont prises. D’ailleurs, on parle en ce moment de quotas permettant de répartir les immigrés en Europe, pas de les arrêter.

Pour les arrêter, c’est simple. Il faudrait commencer par rendre la France moins attractive. Nous sommes les champions du monde en matière d’aide sociale et médicale à tous les immigrés qui franchissent nos frontières. Cela nous coûte quelques 60 milliards d’euros par an. Et pendant ce temps, le président Hollande essaie de faire des économies en récupérant un milliard par ci, un milliard par là. C’est de la pure hypocrisie. Rien n’est sérieusement envisagé. Il y a à cela deux raisons.

La première raison tient dans le fait que nos politiciens ne veulent pas se désavouer en prônant un combat contre l’immigration qu’ils ont voulu ignorer pendant tant d’années. La deuxième raison, qui est la plus profonde, est qu’ils sont soumis – y compris Marine Le Pen – aux diktats de la franc-maçonnerie qui a pour objectif de détruire les quatre piliers de notre identité : la race, la religion, la nation et la famille.

On cherche à détruire la race en culpabilisant les européens pour leur politique coloniale, alors que nous avons apporté aux Africains des hôpitaux, des écoles, des routes et des voies de chemin de fer. La conséquence de cette culpabilisation occidentale est que se développe un racisme anti-blanc qui risque, un jour prochain, de devenir violent comme ce qui se passe aux Etats-Unis actuellement.

On cherche à détruire la religion. C’est quotidiennement que nous subissons des dégradations dans les cimetières catholiques et dans les églises. Sans parler de la propagande athée qui se développe dans les écoles, pour pervertir nos enfants, avec la « théorie » du genre notamment.

On cherche à détruire la nation par cette immigration de masse, avec la volonté affichée de métisser les populations occidentales. Or la nation, dans laquelle se reconnaissent les personnes qui habitent le même pays, parlent la même langue, ont la même culture et la même histoire, c’est ce qui fonde notre identité de Français. « Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine » (Matt. 12, 25), disait le Christ. C’est clair que si les Français ne savent plus s’unir, d’autres prendront leur place.

On cherche à détruire la famille. La loi Taubira a imposé le « mariage pour tous ». Restons vigilants afin que, dès ce ministre parti - ce qui ne saurait tarder quand on voit la chute de popularité de François Hollande – il faudra que le successeur abroge cette loi inique. La famille, c’est la cellule de base d’un pays. C’est avant tout là que les enfants peuvent trouver l’amour et la sécurité. C’est la dernière sphère d’autonomie, puisque le système cherche à détruire toute autonomie.

Cette bataille que mène la franc-maçonnerie contre les quatre piliers de notre identité humaine s’appuie sur une propagande sournoise qui parle de « diversité », de « multiculturalisme », du « féminisme », de la pornographie, de la « libération sexuelle » et des « droits des homosexuels ». Ce sont là des instruments au service d’un même but.

Une véritable politique d’arrêt de l’immigration doit s’appuyer sur deux types de mesure : 1) l’arrêt de cette politique d’aides sociales dont peut bénéficier tout individu qui pose le pied sur notre sol ; 2) une réelle politique d’aide au développement, ce qui passe notamment par un renforcement de notre armée car – il faut être réaliste – des investissements industriels ne pourront se faire que si la sécurité des habitants est assurée. Cela nécessite donc que le budget de la Défense passe de 1,5 à 3% du PIB. C’est facilement finançable si l’on réduit l’aide aux immigrés.

Tout cela nécessite, bien entendu, que la France retrouve sa souveraineté et, en particulier, le pouvoir régalien de battre monnaie.

Sortie de l’euro et retour au franc !

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 11:51

Si l’on observe le déclenchement des conflits depuis vingt ans – pour ne prendre que cette tranche d’histoire – force est de constater le rôle moteur des Etats-Unis. Il en est ainsi de l’invasion de l’Irak par les puissances occidentales (hormis la France, pour une fois), de l’Afghanistan, de la Libye, de la Syrie aujourd’hui. Si maintenant on se penche sur les grands événements du vingtième siècle, nous savons que les deux guerres mondiales ainsi que la grande crise économique de 1929 ont été déclenchées par le cartel des grandes banques internationales. Où est donc le pouvoir ? C’est une question très importante en politique car, si l’on ne sait pas le désigner, on peut difficilement le combattre.

C’est là qu’il faut faire la distinction entre le pouvoir visible et le pouvoir occulte. Mayer Amschel Rothschild disait « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font les lois ». Et c’est lui, sa famille et quelques uns de ses proches qui ont pris la main sur la Banque d’Angleterre puis sur la Réserve Fédérale américaine (la FED) qui n’est qu’en apparence la banque centrale des Etats-Unis et en réalité un cartel des grandes banques internationales.

Donc pour répondre à la question « où est le pouvoir ? », il apparaît au premier regard que le gouvernement des Etats-Unis est soumis à la FED. Comme, par ailleurs, l’influence d’Israël sur la politique américaine est déterminante, nous dirons que nous avons un pouvoir à deux étages, le dirigeant étant le cartel des banques internationales et l’exécutant l’axe USA-Israël. Nous en tirons donc une première conclusion : pour des raisons d’efficacité, nous dirons que le pouvoir est exercé par le cartel des banques internationales quand nous sommes sur le terrain économique et qu’il est exercé par l’axe USA-Israël quand nous sommes sur le terrain diplomatique et militaire.

Tout ceci concerne le pouvoir visible. Mais, derrière celui-ci, il y a un pouvoir occulte. Si les pharisiens juifs ont fait le procès de Jésus-Christ et l’ont condamné à mort, leurs descendants - non pas l’ensemble du peuple juif mais certains de ses éléments - continuent leur œuvre de destruction du christianisme jusqu’à aujourd’hui. Pour cela, ils ont continué dans la voie des rabbins qui les ont précédés en développant le Talmud, qui est devenu progressivement la première référence avant la Torah. Ils ont aussi entretenu les rites juifs au fil des siècles, ce qui fait que le peuple juif est aujourd’hui le seul exemple au monde d’un peuple qui, ayant vécu la dispersion, ne s’est pas assimilé. Ils ont ensuite infiltré la franc-maçonnerie jusqu’à en faire un outil privilégié de manipulation des masses. En 1776, ils ont transformé le noyau de la franc-maçonnerie en créant les Illuminati qui, depuis, dirigent le monde.

Au sommet des Illuminati (Henry Makow, « Illuminati, le culte qui a détourné le monde », Silas Green 2009), il y a le « Conseil du Grand Druide », composé de 13 membres représentants les 13 familles qui se répartissent la gouvernance du monde. En-dessous se trouve le conseil des 33, qui regroupe les 33 plus hauts francs-maçons dans le monde. Ainsi les Illuminati contrôlent tout ce qui se passe dans le monde et les francs-maçons en sont les principaux exécutants.

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2 mai 2015 6 02 /05 /mai /2015 08:10

Le premier mot de la devise de la république est « liberté ». Mais sommes-nous vraiment libres ? Pire, en considérant cette devise comme un idéal à atteindre, pouvons-nous dire que la France se bat pour instaurer la liberté ? Même pas. Bien sûr, en apparence, le peuple français est libre dans la mesure où il ne subit aucune occupation étrangère comme ce fut le cas en 1940. Mais sommes-nous libres pour autant ?

La réponse est NON. Car il existe une domination bien plus subtile que celle des hommes en armes. C’est la domination de la pensée. Jésus disait (de mémoire) : « il y a pire que d’être dominés physiquement : c’est d’être dominés par l’esprit ». Nous y sommes. Cette domination utilise deux vecteurs : les médias et l’école.

En ce qui concerne les médias, rappelons qui en sont les propriétaires. Le Groupe LAGARDERE possède Europe 1, Le Monde, Paris-Match, Marie-Claire, en tout 20 magazines et 8 chaînes TV ; le Groupe Dassault possède l’Express, le Figaro ; le Groupe Rothschild possède Libération ; le Groupe Bouygues possède TF1 ; le Groupe LVMH possède Radio Classique ; le Groupe Bolloré possède Direct Matin (journal gratuit) ; le Groupe PPR possède Le Point et le Groupe Bayard possède La Croix. La méthode de diffusion des idées mondialistes est le plus souvent l’omission. Par exemple, il y a quelque temps, il y a eu une manifestation monstre aux Etats-Unis contre la liberté de l’avortement. La presse française n’en a tout simplement pas parlé. Et le même phénomène se produit pour bien d’autres événements dans le monde, qui non pas l’heur de plaire au pouvoir mondialiste. De plus, si d’aventure un média voulait faire du zèle et publier une information « non politiquement correcte », il verrait tout de suite son volume de publicités diminuer…

Voyons maintenant l’école. L’objectif est à plus long terme, mais bien plus efficace. Il s’agit de formater l’esprit de nos enfants et de nos jeunes pour que, devenus adultes, ils se comportent comme des moutons, tout esprit critique ayant disparu de leurs têtes. Cela commence par la maîtrise du français, notre langue maternelle. Un seul ministre, sur les quarante dernières années, a essayé de faire passer un loi interdisant l’apprentissage de la lecture par la méthode globale. C’était Henri de Robien. Il a échoué, les syndicats enseignants réussissant à déformer le texte pour qu’il perde toute consistance. Or cette méthode – qui consiste à mémoriser l’image d’un mot plutôt que les lettres qui le composent – empêche l’enfant de découvrir des mots qu’il ne connaît pas et, par conséquent, le prive d’autonomie et de faculté d’analyse. Le rattrapage, une fois adulte, est extrêmement difficile, ce qui conduit à faire de l’enfant un handicapé à vie. A titre d’exemple, un père de famille ayant des jumeaux, raconte qu’avec sa femme ils ont décidé de scolariser leurs deux fils selon des parcours différents. Quand ceux-ci ont atteint 14 ans, les parents ont constaté avec stupeur que celui qui avait subi la méthode globale peinait dans les études, alors que son frère jumeau, qui a eu la chance d’apprendre à lire par la méthode syllabique, réussissait très bien.

Mais la méthode globale n’est qu’une des formes de l’abêtissement des enfants. Toujours en ce qui concerne le français, le nombre d’heures qui y sont consacrés est tombé, dans le secondaire, de 9 heures à 5 heures par semaine. Dans le primaire, on est passé de 15 heures par semaine en CP à la fin des années 1960 à moins de 10 heures aujourd’hui. Ainsi, à la fin du collège, un élève a reçu 800 heures de cours de français en moins que la génération de ses parents (source SOS-Education). Inutile de dire que, dans ces conditions, la maîtrise de la grammaire est impossible. Encore une manière d’empêcher les futurs adultes de lire et comprendre des textes un peu compliqués. Sans parler de la capacité à s’exprimer par écrit…

L’idéologie de l’égalitarisme conduit à utiliser, pour apprendre à lire, des notices d’appareils ménagers plutôt que fables de La Fontaine, sous prétexte d’homogénéité culturelle. L’histoire de France n’est plus enseignée, puisqu’elle est remplacée par une approche thématique. Ceci afin de gommer toute identité nationale.

Enfin – la cerise sur le gâteau ! – on explique à longueur d’année aux futurs enseignants qui se forment dans les IUFM qu’ils doivent absolument effacer de leur pensée toute idée de transmission de connaissances. Ils ne sont pas là pour transmettre mais pour encourager la découverte autonome des connaissances par les élèves ! Bien sûr, la raison en est que le professeur ne doit pas établir des rapports de dominant à dominé avec ses élèves, toute notion d’autorité devant être bannie.

En résumé, le but recherché est de fabriquer des adultes que l’on pourra facilement manipuler. Tous les parents ne se rendent pas compte de tout cela. Mais beaucoup comprennent que l’école de la république est peu efficace pour apporter à leurs enfants les notions élémentaires de connaissance du français, du calcul, de l’histoire – entre autres – et de la capacité à développer un raisonnement autonome.

C’est pourquoi de plus en plus de parents se tournent vers l’enseignement privé. Ceux qui ont les moyens financiers et comprennent les enjeux inscrivent leurs enfants dans les écoles chrétiennes hors contrat. Les autres les dirigent vers l’enseignement sous contrat, ce qui rend le changement illusoire – même dans les quartiers favorisés – car ces écoles sont soumises aux mêmes programmes scolaires et ne maîtrisent pas le recrutement des enseignants.

La seule solution est de se battre pour L’ECOLE LIBRE. La solution technique s’appelle le « chèque scolaire », qui consiste à distribuer à tous les parents une somme d’argent prise sur le budget de l’Education Nationale afin que ceux-ci puissent inscrire leurs enfants dans les écoles de leur choix.

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25 avril 2015 6 25 /04 /avril /2015 07:36

« Près de deux lieux de culte ou de sépulture chrétiens profanés chaque jour en France », explique le Figaro du 20/04/205, qui précise que, « sur les 216 atteintes à des cimetières, 206 concernaient des sites chrétiens (soit 95%). Sur les 591 atteintes à des lieux de culte, 467 concernaient des sites chrétiens (soit 79%) ».

S’il n’y avait pas les assassinats de chrétiens au Moyen-Orient au nom de l’islam, on pourrait penser qu’il s’agit là d’actes exécutés par des athées. L’arrestation récente d’un étudiant algérien en électronique, qui projetait un attentat contre un église à Villejuif, dans la région parisienne, vient encore confirmer le caractère islamique de la plupart de ces actions. Jusqu’à présent, on avait affaire à des revendications portant sur la reconnaissance du voile et de la burka, l’exigence d’horaires séparés pour les hommes et les femmes dans les piscines, la nourriture hallal dans les cantines scolaires, le refus des hommes musulmans de faire ausculter leur femme par des médecins-hommes dans les hôpitaux, etc. Maintenant, la guérilla est montée d’un cran. La prochaine étape sera l’insurrection armée. Rappelons que les services de police reconnaissent qu’il y a 30 000 armes de guerre cachées et prêtes à servir…

Ceci démontre l’inefficacité des appels à la laïcité

La république a elle-même été fondée sur la haine du christianisme. Elle le manifeste par une sympathie exprimée pour les religions qui s’opposent à nos racines chrétiennes. Elle le manifeste encore par sa politique de destruction de la famille, ce qu’on a vu notamment avec la loi Taubira, et aussi par la propagande dans nos écoles en faveur de la théorie du genre et de l’homosexualité.

Demain une France musulmane ?

En fermant les yeux sur la guérilla islamique, aujourd’hui pacifique, sans doute violente demain, les républicains ne voient pas qu’ils creusent ainsi leur propre tombe. « Ce sont des actes isolés », diront-ils. Mais quand un pays est en guerre, c’est son armée qui va au combat. Elle est pourtant numériquement minoritaire. Bien sûr, la masse des musulmans ne soutient pas ces actes d’hostilité, mais tout le monde sait bien que ce sont les minorités qui font l’histoire. Et ces minorités-là sont principalement les islamistes. Le pire, c’est que, en cas de manifestations violentes de la part de minorités musulmanes, qui sauront entraîner leurs coreligionnaires, une grande partie de la gauche française, et sans doute même une partie de la droite, seront à leurs côtés. C’est ni plus ni moins le risque d’une guerre civile.

Alors, que faire ? On voit bien que ce n’est pas par les élections que nous changerons cette situation. D’ailleurs un sondage publié récemment par Valeurs Actuelles révèle que 75% des Français ne font plus confiance ni à l’Etat, ni à la république, que 88% d’entre eux rejettent catégoriquement les partis politiques, et que, de plus, 50% parmi eux ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays « un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du parlement ni des élections ».

Le moins que l’on puisse dire est que – pour employer le langage des économistes – l’offre politique est largement en retrait par rapport à la demande. Traduction : il n’y a malheureusement aucune organisation politique conséquente qui fournisse une réponse à la hauteur de l’attente des Français. Cette organisation ne peut être que royaliste, car seuls les rois de France ont toujours cherché à défendre le peuple contre les oligarchies, alors que, depuis 1789, les Français sont sous la domination d’oligarchies financières. Venez la construire avec nous, en écrivant à georges.tartaret@sfr.fr.

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  • : Le groupe POUR UN ROI TRES CHRETIEN est un mouvement royaliste. Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la royauté. Tout en reconnaissant la validité des Lois fondamentales du royaume, il considère que le futur roi n'est pas identifié à ce jour. Ou bien il émergera du combat antimondialiste, et ce sera le début d'une nouvelle dynastie, ou bien ce sera le descendant du jeune roi Louis XVII qui, comme on le sait aujourd'hui, a été "exfiltré" de la prison du Temple.
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