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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 21:46

Nous subissons depuis quelques années un véritable matraquage des esprits tendant à nous inculquer l’idée que toute discrimination est nécessairement mauvaise. C’est une idéologie qui avance cachée !

Cette idéologie porte un nom : le mondialisme. Elle a pour objectif d’instaurer un gouvernement mondial et, pour cela, de favoriser la mise en place d’Etats multiculturels, multiethniques et pluriconfessionnels. Il va sans dire que c’est la meilleure façon de détruire progressivement tous les Etats.

C’est ce qui se passe en particulier dans notre pays où, entre autres moyens de suppression de notre identité nationale, l’enseignement de l’histoire de France est saboté, au point qu’on ne parle plus ni de Louis XIV, ni de Clovis, ni de Louis XI, ni de François Ier, ni de Jeanne d’Arc, ni de Charles Martel, ni de Richelieu. Et la liste n’est pas exhaustive !

Au Moyen-Orient, d’autres moyens sont employés pour interdire toute autonomie à défaut de supprimer l’identité nationale. Ainsi ce qui était avant reproché à l’Irak, à la Libye, au Soudan, à l’Iran, à la Corée du Nord et aujourd’hui à la Syrie, c’est de disposer d’une banque centrale directement lié au pouvoir politique. La première mesure qui a été imposée dans les pays soi-disant libérés de leur dictature fut la mise en place d’une banque centrale prétendument indépendante du pouvoir, en fait au service du pouvoir financier international. C’est d’ailleurs, comme nous le savons bien, le modèle qui a été imposé en Europe où la BCE et les banques centrales sont des organismes « privés », indépendants du pouvoir politique.

Pour revenir à la France, toute l’astuce des mondialistes consiste à se présenter en donneurs de leçon de morale. A première vue, comment pourrait-on s’opposer à une loi qui dénonce la discrimination ? Et la propagande de citer – un message martelé sans cesse sur les ondes – la discrimination nazie à l’égard des juifs. Mais pourquoi ne pas citer aussi le génocide vendéen qui fit près d’un million de morts après la révolution française ? Pourquoi ne pas citer aussi l’anéantissement d’une grande partie de la paysannerie ukrainienne (six millions de personnes) par Staline qui les fit mourir de faim en 1936 ? Et la liste n’est malheureusement pas close.

Un appel à la non-discrimination empreint d’hypocrisie

Il est curieux de constater que cet appel sans cesse renouvelé à la non-discrimination occulte totalement la réalité de la profanation des lieux sacrés en France. La presse s’émeut quand il s’agit d’une tombe juive ou musulmane, mais elle ne dit pas que 90% des profanations sont dirigées contre des tombes ou des églises chrétiennes.

La dénonciation de la discrimination fait même l’objet d’un article spécifique dans la Charte des Droits Fondamentaux présentée en préambule du Traité de Lisbonne et qui fait donc office de loi suprême. Les cinq lignes de l’article sont globalement acceptables : on y dénonce la discrimination à l’égard du sexe, de la couleur de la peau, etc. Mais la liste se termine par l’orientation sexuelle. Cela signifie que toute personne qui, en référence à sa foi chrétienne, déclarerait que la mariage hétérosexuel est moralement supérieur au mariage homosexuel est passible de la loi. C’est donc, objectivement, une discrimination à l’encontre des chrétiens.

La neutralité n’existe pas

Nous avons là un bel exemple qui prouve que la neutralité n’existe pas. L’appel à la non-discrimination fait écho à un autre appel, souvent évoqué par quasiment tous nos politiciens : celui qui concerne la laïcité. les exemples sont nombreux de collectivités territoriales qui co-financent la construction d’une mosquée. Il y a pourtant depuis 1905 la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat qui interdit ce genre de pratique. Mais cette loi, comme chacun sait, est opposée à toute demande d’aide en faveur d’une église chrétienne, mais pas pour une mosquée. N’est-ce pas une forme de discrimination ? Encore un exemple qui prouve que la neutralité est un leurre.

Et les valeurs républicaines ?

Tout cet édifice moral tire sa force des soi-disant valeurs républicaines auxquelles nos politiciens aiment à se référer. La base en est le triptyque « liberté – égalité – fraternité ». Or le couple liberté-égalité est ce qu’on appelle un oxymore, c’est-à-dire une expression qui dit une chose et son contraire.

En effet, si un gouvernement a pour objectif l’égalité en général, donc l’égalité des revenus en particulier, il est obligé d’user de la force pour l’imposer. Il n’y a alors plus de liberté. Inversement, un gouvernement soucieux de liberté devrait, comme aux Etats-Unis, accorder à chaque citoyen la liberté de porter une arme. Ce serait, bien entendu, aller à l’encontre de l’égalité car, comme chacun sait, cela aboutirait, encore plus qu’aujourd’hui, le règne de la loi du plus fort. Quant à la fraternité, comment ose-t-on l’évoquer dans une situation fort discriminante, comme nous venons de le voir ?

En conclusion, il est inutile de « réinventer la poudre ». Il suffit de se référer au dixième commandement du décalogue (« Tu ne jalouseras pas la maison de ton voisin »). Seul peut le faire un Etat se référant aux enseignements chrétiens tout en respectant la distinction entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel :

VIVE LE ROI, ARBITRE DES PASSIONS HUMAINES

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 04:44

 La violence s’installe dans les lycées et collèges. L’Education Nationale dénombrait 82.000 actes de violence grave en 2006. Effaré par une vérité dérangeante, le gouvernement a cessé de publier cette statistique. Pourquoi alarmer les familles ? Le ministre propose-t-il de dépénaliser le cannabis ? Ce serait un moyen de calmer les agresseurs, mais il est médicalement et moralement inacceptable. Avec 140.000 jeunes sortant chaque année du « système scolaire » sans diplôme ni formation, l’Education Nationale est « échec et mat ».

 

Le recrutement d’enseignants pose problème : les postes scientifiques ne peuvent être pourvus, faute de candidats en nombre suffisant. Et un nouveau titulaire sur deux démissionne au cours de sa première année d’enseignement. Recruter 60.000 personnes supplémentaires ne sera qu’un cataplasme sur une jambe de bois : 92.000 enseignants… n’enseignent pas ! Ils fuient le pire employeur de France, et les familles font la queue devant les écoles privées. Plus de 4.000 demandes d’inscription ne peuvent être satisfaites, faute de place. Beaucoup d’enseignants du public et de membres du gouvernement mettent leurs enfants dans les écoles privées, même hors-contrat. C’est un signe.

 

Comment en est-on arrivé là ? Les rapports de l‘UNESCO (branche éducation-jeunesse de l’ONU) sont clairs : l’instruction doit être réservée à une élite de futurs dirigeants. Pour les masses, une éducation citoyenne suffit, car les jeunes sans instruction sont plus débrouillards que les autres. Voltaire disait : « Il faut retirer immédiatement les fils de paysans et d’artisans des écoles ; ils n’ont rien à y faire ». Voilà la philosophie des Lumières !

 

De fait, seuls quatre Lycées parisiens du quartier des ministères assurent l’instruction classique des enfants de dirigeants. Pour les autres, on développe le collectivisme par le travail en groupe, qui permet aux moins motivés de bénéficier de la note méritée par la tête du groupe. Le contrôle continu aidant, tous peuvent décrocher un Brevet ou un Baccalauréat dévalués. Aujourd’hui, ce ne sont plus les correcteurs qui décident des reçus au Bac, mais le ministre, d’avance, pendant que l’Armée constate que la proportion d’illettrés (40%) n’a jamais varié, quelles que soient les méthodes et les moyens financiers employés par l’Education Nationale.

 

Tout ceci repose sur le mythe du « Bon sauvage ». Encore les Lumières. Quand vos enfants vous demandent du pain, leur donnez-vous des cailloux à manger ? De même, le devoir des parents est de favoriser le meilleur départ dans la vie aux jeunes dont ils sont responsables. Mais pour cela, il faut leur rendre la liberté du choix de l’école. C’est facilement réalisable avec le chèque-éducation. L’Etat finance les études de chaque élève dans l’école de son choix, plutôt que d’imposer un système uniforme aboutissant au nivellement par le bas. Ainsi, « l’égalité des chances » ne sera plus réservée à une élite de Parisiens. Parents, enseignants et étudiants, mobilisez-vous !

 

Pour des écoles libres dans un pays libre, exigez le chèque-éducation !

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 18:45

La Banque Centrale Européenne vient de décider d’accorder des crédits illimités aux gouvernements qui en font la demande. Bien sûr, c’est encore une mesure prise sur le dos  des contribuables, puisque l’argent est créé en faisant marcher la planche à billets. C’est une énorme augmentation des prix qui va en résulter.

Cette Europe-là, les français n’en veulent pas. Ils l’ont déjà exprimé en 2005, lors du référendum sur le projet de traité constitutionnel, mais Nicolas Sarkozy a trouvé une astuce pour contourner ce vote négatif et faire adopter ce qui est devenu le Traité de Lisbonne. Un sondage récent montre que les français n’ont pas changé d’avis : 76% d’entre eux jugent que « l’Union Européenne n’agit pas de façon efficace pour limiter les effets de la crise économique actuelle ».

Pourquoi ne tient-on pas compte de l’avis d’une majorité de français ?

Parce que les Français sont divisés. 39% des inscrits ont voté en faveur de François Hollande, dont il faut retirer les 11% de Jean-Luc Mélenchon opposé au projet de traité budgétaire européen qui ne sera voté le 2 octobre que grâce au soutien de l’UMP.

Mais le Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon ne représente pas une véritable opposition à l’Europe de Maastricht puisqu’il a appelé à voter pour François Hollande, totalement acquis à cette vision de l’Europe.

En fait, aucun parti républicain ne présente une opposition radicale à l ‘Europe des technocrates de Bruxelles.

Pour l’Europe des patries

Nous sommes confrontés à une idéologie, le mondialisme, qui a pour objet d’instaurer un gouvernement mondial. Cette idéologie promeut la mise en place d’Etats pluriethniques, pluriconfessionnels et pluriculturels. En ce sens, elle s’oppose totalement à la vision d’une Europe chrétienne. Ceci se vérifie notamment sur le plan économique, puisque la doctrine sociale de l’Eglise se réfère au principe de subsidiarité, qui est le contraire de la centralisation du pouvoir officialisée par le Traité de Lisbonne.

Le principe de subsidiarité appliqué au niveau des échanges économiques mondiaux conduit, comme l’a très bien démontré Maurice Allais, prix Nobel français d’économie, à la mise en place d’espaces naturels régionaux regroupant des pays selon une double proximité, géographique et en niveaux de revenus, chaque espace étant protégé par la « préférence communautaire ». Ceci nous conduirait à un retour à l’Europe des 15. De plus, ce même principe conduit à respecter la souveraineté de chaque Etat, ce que ne fait ni le Traité de Lisbonne ni le futur Traité budgétaire.

Comment s’en sortir ?

La menace la plus importante qui pèse sur nous est la mise en place d’une politique d’austérité. Ce que ne nous dit pas François Hollande, c’est que celle-ci est la conséquence même du pacte budgétaire. De plus, les milliards d’euros que celui-ci attend de la BCE ne seront accordés à la France qu’en échange d’un engagement du gouvernement à mener une politique d’austérité renforcée.

Il n’est pas normal de nous imposer une telle politique, ce qui est d’ailleurs déjà en marche du fait de l’inflation. C’est vouloir faire payer aux français les prêts inconsidérés des banques à des gouvernements incapables de les rembourser. C’est, au-delà même de ces prêts, cautionner la politique mondialiste de l’UMP et du PS qui, depuis trente ans, a permis la désindustrialisation de la France, cause profonde de la dette publique.

C’est pourquoi nous devons exiger :

UN MORATOIRE DE LA DETTE PUBLIQUE

L’ABANDON DE L’EURO ET LE RETOUR AU FRANC

LA PROTECTION DE NOTRE AGRICULTURE ET DE NOTRE INDUSTRIE

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 18:43

L’école républicaine n’instruit plus. Elle éduque. Les pédagogistes, comme Philippe Meirieu, s’inspirant des utopies de Jean-Jacques Rousseau, refusent d’instruire vos enfants, sous prétexte que ce sont désormais des adultes en miniature, capables de s’instruire par eux-mêmes sur Internet. De fait, vous l’aurez remarqué, les manuels scolaires actuels ne comportent plus que des exercices ; ils sont vides de toute instruction structurée. Vos enfants perdent trop de temps dans une école qui fait fausse route. Seuls 4 Lycées d’élite Parisiens bénéficient encore du privilège d’une instruction classique. Egalité ? Voire !

A quoi sert l’école ?

L’école de la République est aujourd’hui un lieu de vie communautaire. Les enfants doivent y vivre selon le mode collectiviste, travaillant surtout en groupe, dans la spontanéité et la liberté d’expression et de comportement. Les handicapés, même autistes, sont invités à s’intégrer à cet univers concentrationnaire, même si cela leur cause des souffrances atroces. Pour Philippe Meirieu, ceux qui se montrent rétifs à la vie collective n’ont rien à faire dans l’école ; ils doivent en être exclus. Vous avez entendu parler de l’égalité des chances, et vous l’avez cru, mais  cette expression est à interpréter tout autrement : il s’agit plutôt de chances partagées égalitairement. Ainsi, les moins doués, bénéficiant de l’effet de groupe, pourront obtenir des notes passables grâce aux bons élèves du groupe et même décrocher le Baccalauréat. Mais après ? On parle de supprimer les notes, ce qui empêche toute distinction entre les élèves, entre ceux qui progressent parce qu’ils bénéficient de cours particuliers gratuits de la part de leurs parents enseignants, et ceux qui stagnent parce que leur milieu familial ne leur apporte ni la culture ni les méthodes nécessaires à tout travail personnel fructueux. De fait, les meilleurs élèves et ceux qui réussissent aux concours de recrutement sont les enfants de professeurs. Pas les vôtres. L’école est donc une machine servant à la promotion sociale de la classe enseignante, au détriment des autres classes sociales qui sont sacrifiées : des dizaines de milliers d’élèves quittent chaque année le « système » éducatif sans diplôme ni métier.

Libérer les Professeurs.

Le personnel enseignant souffre d’une hiérarchie écrasante, qui sait seulement lui dire ce qu’il ne faut pas faire. Mais quant à assumer les risques inhérents aux méthodes nouvelles, c’est une autre affaire : « Pas de vagues, surtout pas de vagues !» Le libéralisme comportemental rousseauiste transforme l’école en champ de bataille, où les agressions, de plus en plus fréquentes et graves, se multiplient entre les élèves d’une part, mais aussi contre les enseignants d’autre part. Bientôt, une cotte de mailles sera nécessaire pour pénétrer dans l’école ! Nous n’exagérons rien : le ministère a de lui-même supprimé les statistiques sur la violence scolaire, afin de vous cacher une situation catastrophique, qui empire chaque année. Les Professeurs ont besoin de consignes claires ou bien de pas de consignes du tout. Ils sont tout à fait capables d’enseigner leur matière sans que toute une bureaucratie vienne leur mettre des bâtons dans les roues, les accusant en outre de tout ce qui ne va pas, alors que ce n’est tout de même pas leur faute si les méthodes nouvelles qu’on leur impose relèvent d’une idéologie inapplicable : le mythe du « bon Sauvage », du « bon Cannibale » qui vous offre le choix de la sauce avant de vous manger…

Comment faire ?

Au point où en sont les choses, il n’est plus possible de réformer l’Education Nationale. Même un ministre de gauche comme Claude Allègre s’y est cassé les dents. La première chose à faire est de séparer l’école de l’Etat. Il appartient à chaque famille avec enfants scolarisés de s’intégrer dans les associations de parents d’élèves et les associations luttant pour la libération de l’école, et d’y militer en ce sens. Quand toutes les écoles seront privées et en concurrence directe, les enseignants adopteront librement des méthodes réalistes et efficaces, anciennes ou toutes nouvelles, sous peine de voir leur classe se vider et de perdre leur poste. Une saine émulation s’opérera entre enseignants d’une part, et entre élèves d’autre part, avec ce nouveau slogan : Chacun peut devenir meilleur dans sa matière, dans sa branche, dans son métier ! Techniquement, ce changement est très simple à opérer : il suffit d’adopter le chèque-scolaire, comme d’autre pays l’ont fait avec profit. Au lieu de financer l’école publique à grands frais (un élève dans le public coûte un tiers de plus que dans le privé, à résultats équivalents), l’Etat finance la scolarité de chaque élève dans l’école choisie par ses parents. En outre, l’Etat ne se mêle plus des orientations, ni des méthodes, ni des programmes, qui sont établis par chaque école, selon des normes internationales. Nous aurons rapidement un nouveau réseau d’écoles toutes hors-contrat, soumises à une obligation de résultat et non plus de moyens comme aujourd’hui. Le niveau général remontera en flèche, et l’offre éducative se diversifiera en permettant à chaque élève de réussir la scolarité de son choix. Le devoir des parents n’est-il pas d’offrir le meilleur départ dans la vie à leurs enfants ?

 

LIBERTE POUR L’ECOLE !

REUSSITE POUR CHACUN !

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 18:41

Pourquoi travailler ?

Travailler est une contrainte pénible dont on aimerait pouvoir s’en passer. Chacun aspire à la vie de rentier ou tout au moins à une vie dans laquelle chacun produit pour soi et non pour un système anonyme. Mais tant qu’on ne pourra pas vivre sans consommer au moins de la nourriture, il faut bien la produire ou produire l’équivalent en biens et services vendables. Le choix est entre l’auto-production en autarcie et l‘économie de marché. Celui qui produit plus qu’il ne consomme s’enrichit, celui qui consomme plus qu’il ne produit se retrouve bientôt dans la misère. Travailler à la production est donc une nécessité vitale. Mais pour qui travailler ?

Soi.

Charité bien ordonnée commence par soi-même, on travaille d’abord pour soi. Pour se nourrir, se vêtir, se distraire, se déplacer. Mais pas seulement. La société de consommation a donné du travail à beaucoup de gens en développant des besoins diversifiés pour toutes sortes de biens et services jusque-là inexistants. Aujourd’hui, on se demande comment nos ancêtres ont pu s’en passer… On produit pour consommer. Pas seulement par nécessité, mais aussi pour se faire plaisir. Pour qui d’autre ?

La famille.

L’individu ne naît pas par génération spontanée. Chacun a un père et une mère, et est invité à se reproduire en ayant des enfants, à son tour. Ni les enfants scolarisés ni les parents retraités ne travaillent. La solidarité s’exerce d’abord au sein de la famille. Quand les caisses de retraites auront fait faillite, les individus sans enfants souffriront plus que les autres. On travaille donc pour soi et pour sa famille, dans une relation de proximité et de solidarité.

Le Pays.

Mais on ne vit plus en autarcie avec sa famille sur un lopin de terre à cultiver soi-même. La Société réclame son dû, afin de nous protéger (justice, police, armée), d’entretenir les routes, les écoles, les hôpitaux, etc… la liste s’allonge sans limite avec la mode électoraliste de l’assistanat généralisé. Un organisme indépendant a calculé qu’un Smicard subissait un prélèvement de 72% sur son travail, avant impôt ! On travaille donc pour les autres, et surtout pour l’Etat. Il faut moins d’Etat, ce qui implique de revenir à des circuits courts de production et de distribution. L’essentiel de la vie économique et sociale doit se passer au niveau des « pays », ce découpage des départements qui correspond approximativement aux arrondissements, c’est-à-dire à un quart de département.

La mondialisation.

Le développement des moyens de transport a aboli les distances. Le monde est devenu un village. Tant que la croissance à crédit le permettait, les continents pouvaient se spécialiser et développer une production mondiale. Mais avec la crise permanente due à l’endettement colossal des Etats démocratiques, nous entrons dans une ère nouvelle où il faudrait tout rembourser, ce qui prendrait plusieurs générations. Les régions du monde où la main-d’oeuvre est moins chère raflent les productions industrielles. Or c’est l’industrie et non l’activité de services qui produit la richesse d’un pays. C’est pourquoi le chômage augmente en France et l’Etat-Providence est en passe de disparaître faute d’industrie pour le financer. Nous sommes dans l’impasse.

Les remèdes.

Pour remédier au chômage, il faut réindustrianliser la France, ce qui consiste à rétablir des barrières douanières. L’Etat doit ensuite recouvrer sa souveraineté monétaire et cesser de tricher avec des mesures inflationnistes qui se traduisent toujours par une nouvelle baisse du niveau de vie de la population. Le seul moyen de l’y obliger, c’est de revenir à l’étalon-or. L’Etat doit aussi se désengager de la tutelle des banques en instaurant un MORATOIRE sur la DETTE (suspension des rembour-sements et rééchelonnement La question est donc la suivante : « Voulons-nous travailler au Pays, ou nous retrouver chômeurs en fin de droits, avec des allocations ridiculement basses ? ». Si nous ne voulons pas d’une vie de misère, il faut alors retrousser nos manches, après avoir adopté les remèdes nécessaires.

Exigeons :

UN MORATOIRE SUR LA DETTE

LA PROTECTION DE NOTRE AGRICULTURE ET DE NOTRE INDUSTRIE POUR TRAVAILLER AU PAYS

LA SOUVERAINETE MONETAIRE ET LE RETOUR A L’ETALON-OR

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  • : Le blog du groupe POUR UN ROI TRES CHRETIEN
  • : Le groupe POUR UN ROI TRES CHRETIEN est un mouvement royaliste. Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la royauté. Tout en reconnaissant la validité des Lois fondamentales du royaume, il considère que le futur roi n'est pas identifié à ce jour. Ou bien il émergera du combat antimondialiste, et ce sera le début d'une nouvelle dynastie, ou bien ce sera le descendant du jeune roi Louis XVII qui, comme on le sait aujourd'hui, a été "exfiltré" de la prison du Temple.
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