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30 novembre 2019 6 30 /11 /novembre /2019 12:15

Nous apprenons que « le gouvernement enjoint aux préfets d’agir contre la radicalisation et le communautarisme » (le Figaro du 29/11/2019). Il s’avère ainsi que le gouvernement Macron-Philippe découvre les dangers de l’immigration… 40 ans après le Front National qui, par la voix de Jean-Marie Le Pen, n’a cessé de la dénoncer.

C’est le propre de la démocratie de traiter un problème non pas quand il apparaît – c’est pourtant là qu’il est le plus facile à résoudre – mais quand il a pris une telle ampleur que la masse des électeurs le voit, alors qu’il est beaucoup trop tard.

Quelle est cette politique que veut mener le gouvernement ? Cibler 15 quartiers sensibles, répartis dans 13 départements, en cachant au public la triste réalité : on dénombre en France 1500 zones de non droit, et non pas 15. C’est, encore une fois, semer de la poudre aux yeux des Français pour donner l’impression que le gouvernement traite le problème alors que ses maîtres de l’oligarchie mondialiste le lui interdisent.

Seul le combat spirituel peut être efficace

Voici ce que pourrait faire un gouvernement royal : développer des campagnes incessantes de prosélytisme chrétien. Installer des hauts parleurs dans les rues principales et diffuser des messages expliquant que seul le christianisme est dans la vérité. C’est ce que nous apprend Jésus : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14, 6).

Ce n’est d’ailleurs que répondre à un ordre du Christ : « Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit » (Matt. 28, 19).

Il faudrait aussi que des chrétiens viennent régulièrement parler avec des musulmans pour leur expliquer de vive voix qu’il est urgent pour eux de se convertir. Bien entendu, il faut pour cela qu’une force de police importante protège physiquement ces chrétiens.

Par ailleurs, des opérations « coup de poing » doivent être menées par l’armée pour récupérer tous les stocks d’armes lourdes qui se trouvent dans ces zones de non droit.

Inutile de dire que jamais la république n’entreprendra de telles actions puisqu’elle a été créée par la franc-maçonnerie pour détruire le christianisme.

Du temps de la guerre d’Algérie, le slogan du FLN était « la valise ou le cercueil ». Mais  c’est exactement ce que professent, en sourdine, les islamistes, avec sa variante : « la soumission à l’islam ou le cercueil ».

C’est pourquoi il est urgent d’agir. Il faut des rassemblements pacifiques devant toutes les préfectures chaque semaine pour manifester notre volonté de lutter efficacement contre l’invasion d’une religion qui est contraire aux traditions chrétiennes de la France.

Halte à l’immigration

Retour aux traditions chrétiennes de la France

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23 novembre 2019 6 23 /11 /novembre /2019 10:41

A l’approche de la manifestation annoncée du 5 décembre, quelques politiciens, tel Jean-Luc Mélanchon, se sont mis à rêver de « convergence des luttes ». Ils se croient déjà arrivés au « grand soir » où le pouvoir bascule et le pays plonge dans une nouvelle révolution.

Pour eux, la politique c’est de la magie : par on ne sait quel prodige, tout à coup, les revendications catégorielles des divers groupes sociaux en mouvement se transformeraient, comme par miracle, en une contestation globale du pouvoir en place.

Bien sûr, il faut souhaiter une convergence des luttes car elles ont toutes une même cause : la mondialisation. Mais cette convergence ne tombe pas du ciel. Il faut l’organiser.

La mondialisation enrichit les plus riches et appauvrit tous les autres

On ne peut plus continuer ainsi. Alors chaque parti y va de son programme-qui-va-résoudre-tous-les problèmes. Ne leur faisons pas confiance !

Seule une large mobilisation populaire peut imposer un changement de politique. Les Gilets jaunes ont essayé, mais ils n’ont pas réussi à s’unifier autour d’un même mot d’ordre, alors que c’est la condition nécessaire pour accroître encore le rapport de forces. De plus, le pouvoir s’est arrangé pour envoyer les Blacks Blocs et des gauchistes excités pour introduire la violence afin de dégrader l’image des Gilets jaunes auprès de la population. Et ils ont en partie réussi.

Maintenant il faut reprendre le combat en l’élargissant à toutes les couches de la population victimes de la mondialisation. Et il faudra retenir la leçon des événements passés, ce qui veut dire :

  • S’unir autour d’un même objectif
  • Mettre en place un service d’ordre qui empêchera les débordements

Quel peut être ce mot d’ordre unificateur ? La mondialisation, c’est l’ouverture des frontières aux marchandises, aux hommes et aux capitaux. C’est elle qui ruine les agriculteurs au point que, un jour sur deux, l’un d’entre eux se suicide. C’est aussi la mondialisation qui a ruiné notre industrie, alors que la richesse d’un pays c’est son industrie, pas les services. La plupart des services ne peuvent pas se développer s’il n’y a pas d’industrie. Et si celle-ci est à l’étranger, les profits sont aussi à l’étranger.

Ainsi que nous le rappelle le site Contrepoints : « La contribution du secteur industriel à la formation du PIB est passée, dans notre pays, de 25,0 % dans les années 1975 à 10,0 % aujourd’hui (hors BTP), alors que la norme en la matière se situe, au plan européen, à 20 %. Et les effectifs de ce secteur d’activité sont passés de 6,2 millions de personnes à la fin des Trente glorieuses à 2,7 millions à présent ».

Le recul de notre industrie explique notre fort taux de chômage

L’ouverture des frontières, c’est aussi l’invasion migratoire. C’est un immense danger, car elle conduit progressivement à remplacer la civilisation européenne, qui a deux mille ans d’existence, par une culture qui lui est étrangère. C’est le « grand remplacement » planifié par l’oligarchie mondialiste pour détruire l’Europe.

Voilà deux raisons pour nous unir autour du mot d’ordre :

PROTEGEONS NOS FRONTIERES

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15 novembre 2019 5 15 /11 /novembre /2019 22:06

Rappelons pour mémoire que le mot « aristocratie » veut dire, étymologiquement, le « gouvernement des meilleurs ». Dans le présent article, nous allons essayer de démontrer la nécessité, pour le roi, de s’entourer d’une noblesse qui, à l’instar des sénateurs romains, doit être constituée d’hommes intègres, « vertueux ». Pour que cela soit, il faudra faire comme du temps des romains : s’il est avéré qu’un noble a violé son engagement d’intégrité morale, le roi doit lui retirer son titre.

Revenons au temps présent. Alexandre Benalla vient de publier son livre : « Ce qu’ils ne veulent pas que je dise ». Il a eu raison de publier ce livre, ce qui permet de comprendre pourquoi il a été autant calomnié. La raison est très simple, et il s’en explique : « J’ai foncé tête baissée, sans chercher à me préserver, à me protéger, sans me soucier des conséquences, sans me rendre compte des lignes que je franchissais, obnubilé que j’étais par ma mission… »

Les « lignes qu’il franchissait » sont principalement au nombre de deux. La première est qu’il a voulu mettre en œuvre la recommandation de la Cour des Comptes, qui voulait unifier les deux services de sécurité du président, l’un piloté par des gendarmes et l’autre par des policiers. Cela revenait à faire disparaître l’un des deux. C’était intolérable et les personnes visées avaient tout intérêt à faire tomber Benalla pour empêcher que ce projet se réalise. C’est ce qui s’est produit.

L’autre clan qui lui en voulait, c’est ce qu’il appelle « les costumes gris », en fait « des personnes qui ont amené avec elles leurs habitudes de travail et de pensée, forgées dans les écoles de la haute administration ». Et Benalla explique : « Les mêmes, une fois dans leurs bureaux, se dispensent d’appliquer les consignes et de suivre les directives du Président. Ne rien faire. Le mot d’ordre du corps préfectoral est la garantie d’une carrière exemplaire. La trajectoire est tracée dès la sortie de l’ENA ».

D’ailleurs Emmanuel Macron s’en est rendu compte plus d’une foi. Il remarque : « J’en ai assez. Quand je demande qu’on aille tout droit, systématiquement, on m’envoie un peu à droite ou un peu à gauche, mais jamais là où je veux ».

Supposons alors que le roi revienne sur son trône. Comment surmonterait-il cette obstruction quasi systématique ? Dans l’état actuel des choses, il faut se rappeler que ces personnes – nous parlons des responsables de haut niveau – sont totalement inamovibles, tout simplement parce qu’ils monopolisent une compétence irremplaçable.

Cette question de compétence irremplaçable, c’est un problème que l’industrie connaît bien, ainsi que le moyen de le contourner : il suffit de mettre par écrit un maximum de procédures et, pour les cas les plus difficiles, s’arranger pour que la compétence soit détenue par au moins deux personnes. C’est une des exigences de la norme internationale de management ISO 9001. Alors, si on a su résoudre le problème avec un consensus de tous les managers au niveau planétaire, il doit être possible de le résoudre dans l’administration française.

Mais, pour cela, il faut des « superintendants », nommés directement par le roi et ayant sa pleine confiance. C’est l’aristocratie évoquée plus haut, constituée par un certain nombre de nobles. Pour être concrets, s’il y en avait seulement un millier, une vaste action de contrôle de la haute administration serait possible.

Son caractère incontournable est démontré par la négative : en son absence, même le président Macron ne peut rien faire !

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8 novembre 2019 5 08 /11 /novembre /2019 22:40

Un sondage réalisé pour le Journal du dimanche révèle l’état d’esprit d’une majorité de Français (Rivarol du 6/11/2019) : 61% des sondés pensent que « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française », 82% sont favorables à l’interdiction des prières de rue et 73% souhaitent interdire le port du voile aux accompagnants des sortie scolaires.

Quant aux policiers et aux pompiers qui se font quotidiennement attaquer, au risque d’y perdre la vie – songeons aux policiers qui, dans une ville de banlieue, ont failli griller à l’intérieur de leur voiture incendiée – il n’est pas besoin de sondage pour savoir qu’ils voudraient bien que les 1500 zones de non droit disparaissent complètement.

En clair, si la question était directement posée, on verrait qu’une grande majorité des Français ne supporte plus cette invasion migratoire. Et que répond le gouvernement ? Qu’il ne faut surtout pas toucher au regroupement familial ! C’est à en pleurer.

Malheureusement, 45% des catholiques votent pour Macron. Et toute la gauche soutient cette invasion migratoire, par un absurde calcul électoral pour beaucoup de ses électeurs. Sans se rendre compte qu’ils dressent un tapis rouge pour l’instauration de la charia.

Où est le bien commun dans tout cela ? Pour tout un chacun, vivre dans son environnement familial et culturel est la condition minimale du bonheur. L’émigration ne peut représenter qu’un pis aller. Mais les djihadistes raisonnent autrement : ils se considèrent en terre conquise et sont prêts à soumettre les Français de souche à leurs propres lois, en l’occurrence la charia.

Les aspirations à mieux vivre des autochtones et des immigrés sont incompatibles

Si nous en sommes arrivés là, c’est parce que tous nos dirigeants politiques ont accepté de se soumettre à la volonté de l’oligarchie mondialiste, laquelle veut détruire l’Europe, berceau du christianisme. Ce ne sont rien d’autre que des « collabos ». Et c’est pourquoi ils acceptent la logique du « grand remplacement », qui consiste à laisser une culture étrangère étouffer deux mille ans de civilisation chrétienne.

Alors, que faire ? Il y a trois populations différentes en France : les immigrés de longue date qui, pour la plupart, ont acquis la nationalité française, les immigrés bénéficiant du regroupement familial et les clandestins. A ces trois populations, il faut apporter trois réponses politiques.

Le regroupement familial doit être purement et simplement abrogé. Ce système officialise l’installation définitive d’immigrés en France, alors que leur séjour ne devrait être que provisoire.

En ce qui concerne les immigrés de longue date, il faut tout simplement leur donner le choix entre l’assimilation et le retour dans leur pays. Assimilation veut dire qu’ils doivent adopter le mode de vie français, la langue et la culture françaises.

Quant aux clandestins, il faut mettre en place, sur notre territoire ou à l’étranger, des centres de rétention dont ils ne pourront sortir que si leur pays accepte de les accueillir. Et la France arrêtera les échanges commerciaux avec les pays qui refusent d’accueillir leurs ressortissants.

En résumé, trois mesures :

Abrogation du regroupement familial

Assimilation des immigrés naturalisés

Centres de rétention pour tous les clandestins

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2 novembre 2019 6 02 /11 /novembre /2019 10:04

Un jour, quelqu’un me dit : « la mondialisation, c’est un phénomène irréversible ». Alors, je m’insurge et lui réponds : « non, puisque la mondialisation, c’est, par définition, la libre circulation des marchandises, des hommes et des capitaux, ce n’est qu’une décision politique, et on pourra, dans l’avenir, prendre la décision inverse ». Mais, à la réflexion, n’y avait-il pas du vrai dans ce que me disait cet interlocuteur ?

Tout le monde connaît « l’effet papillon » : un papillon bat des ailes à un bout du globe, et c’est la catastrophe à l’autre bout. Nous savons tous à quel point toutes les économies sont interconnectées. En ce sens, le monde est un système, puisque la définition d’un système est, selon Mélèze, « un ensemble d’éléments en interaction, distinct de son environnement avec lequel il peut être en relation ». Considérons donc, d’une part, le système économique planétaire et, d’autre part, les hommes qui interagissent avec celui-ci. Ne paraît-il pas normal que nous ayons un gouvernement mondial qui coordonne au mieux tout cela ?

C’est d’ailleurs ce qu’énonce le Compendium de la doctrine sociale de l’Eglise  (Libreria Editrice Vaticana, 2005) : « En somme, le défi est d’assurer une mondialisation dans la solidarité, une mondialisation sans marginalisation » (N°363). Mais il constate avec regret que « le processus de mondialisation finit par creuser, au lieu de les réduire, les inégalités entre les pays en termes de développement économique et social ». Comment sortir de cette contradiction ?

L’oligarchie mondialiste apporte une double réponse. D’une part il faut un ordre mondial (Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, article 28), ce qui est confirmé par des textes publiés par l’ONU disant ouvertement que la démocratie est un système dépassé. D’autre part, la doctrine officielle s’appuie sur cette même DUDH pour affirmer que chaque personne peut faire ce qu’elle veut dans les limites de ce que la loi autorise (article 29, alinéa 2).

C’est soit totalement incohérent, soit hypocrite !

Si l’on respecte la démocratie, c’est en contradiction avec la nécessité affirmée d’un ordre mondial. C’est pourquoi les peuples n’ont droit qu’à un simulacre de démocratie, et nous sommes donc en pleine hypocrisie. Une majorité de Français s’en rend d’ailleurs bien compte, puisque, selon un sondage paru dans Valeurs Actuelles, « 75% d’entre eux ne font plus confiance à l’Etat, ni à la république, et 88% rejettent catégoriquement les partis politiques ».

Il n’y a qu’une seule réponse cohérente à ce problème : un ordre mondial est nécessaire, mais le haut de la pyramide des pouvoirs doit être Dieu pour que cet ordre soit humain. Et cet ordre doit s’organiser en conformité avec le principe de subsidiarité. Ce principe doit, évidemment, respecter les identités nationales, ce qui implique que les Etats doivent être souverains. Ce n’est que sur cette base que doit s’établir la coopération entre Etats. Il faut donc dénoncer le Traité de Lisbonne.

Mais comment organiser une vie harmonieuse entre les citoyens d’un Etat ? La gestion de projet nous donne un élément de réponse : si, dans le cas d’un projet complexe, on utilise une approche cartésienne, c’est-à-dire analytique, au lieu d’une approche systémique, alors – c’est quasiment une règle – le prix à payer est une multiplication par 2, voire par 3, des coûts et des délais. C’est ce qui s’est passé, par exemple, pour le tunnel sous la Manche. Plus généralement, c’est l’énorme gaspillage humain auquel conduit la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948.

Une approche systémique, au niveau d’un Etat, nécessite d’identifier des finalités qui correspondent à autant de processus. En nous inspirant du tableau de dépenses de consommation des ménages publié chaque année par l’INSEE, nous arrivons à 10 branches économiques, chacune caractérisée par sa finalité : l’alimentation, l’habillement, le logement (y compris ses équipements), la santé, l’instruction, le transport, la communication, la culture, les loisirs et les services divers.

Cela correspond à autant de ministères, auxquels il faut ajouter les pouvoirs régaliens : l’économie, l’intérieur, la justice, la défense et les affaires extérieures. La démocratie peut alors être instaurée selon une pyramide à trois étages : les dix ministères économiques, les branches et les métiers.

Pour que cela fonctionne harmonieusement, il faut un roi, lieutenant de Dieu sur terre qui, avec l’Eglise, consacre un maximum de temps à élever la vertu du peuple. Et, au niveau international, il faut remplacer la DUDH par le Décalogue. Car sans Dieu, c’est la barbarie.

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26 octobre 2019 6 26 /10 /octobre /2019 10:50

Aristote a bien montré (dans l’Ethique à Nicomaque) que le rôle de l’autorité publique consiste à rendre les citoyens vertueux pour les responsabiliser et les faire participer au mieux au bien commun. Et Saint Thomas d’Aquin de confirmer :

« L’office de celui qui gouverne sera non seulement de conserver intacte la chose en elle-même, mais en plus la conduire à sa fin… Or la fin ultime d’une multitude rassemblée en société est de vivre selon la vertu. En effet les hommes s’assemblent pour mener ensemble une vie bonne, ce à quoi chacun vivant isolément ne pourrait parvenir ».

Ainsi un bon régime politique doit tendre à assurer la paix, donc l’unité du peuple. L’histoire nous montre que les chefs d’Etat de l’époque se sont progressivement convaincus que le moyen le plus efficace pour tendre vers cet objectif (jamais atteignable totalement, du fait de la nature humaine) est la conversion du peuple à la foi chrétienne. Ainsi, en 313, l’empereur Constantin accorde la liberté de culte aux chrétiens par l’édit de Milan. Plus tard, en 380, l’empereur Théodose déclare le christianisme religion d’État puis, en 392, il interdit les cultes païens et hérétiques.

Et pourtant, ce fut bientôt la chute de l’Empire romain d’occident (sa partie orientale survécut jusqu’en 1453, date de la victoire des Ottomans à Constantinople, sa capitale). En effet, l’Empire romain d’occident, bien que chrétien, était entré dans une période de décadence, qui ressemble beaucoup à ce que nous vivons aujourd’hui : désintérêt pour la chose publique (Rome et Constantinople sont des cités parasites dont les habitants sont oisifs, exempts d’impôts et entretenus par l’État), désertion dans la défense de la Cité (les armées romaines sont essentiellement composées de barbares), concubinage généralisé, dénatalité (55 à 60 millions d’âmes au début du IIe siècle, 35 millions au début du IVe siècle).

Plus tard, la conversion de Clovis marqua le début de l’instauration de la royauté, un régime politique qui dura treize siècles et qui permit à la France, non seulement de devenir un Etat protégé par des frontières naturelles, mais aussi de rayonner une riche culture dans le monde entier. Sans oublier que c’est encore la France qui envoya le plus grand nombre de missionnaires dans le monde, dont beaucoup furent assassinés.

Il convient de rappeler encore que cette institution politique a reçu à maintes reprises le soutien de Dieu : le baptême de Clovis, la mission de Sainte Jeanne d’Arc, les apparitions du sacré Cœur à Sainte Marguerite-Marie Alacoque pour transmettre un message à Louis XIV en sont quelques exemples.

Puis il y eut la révolution française, organisée par les francs-maçons avec l’objectif de détruire le christianisme. Au XXième siècle et jusqu’à aujourd’hui, apparaissent temporairement des partis politiques qui se disent chrétiens. Mais ils n’ont jamais duré bien longtemps, ce qui nous permet de faire trois constats…

  1. Il est impossible d’envisager une politique chrétienne durable dans le cadre démocratique, cela n’a jamais existé dans l’histoire. Continuer d’affirmer que c’est pourtant théoriquement possible relève de l’utopie car contraire aux faits.
  2. La démocratie chrétienne possède du point de vue naturel une légitimité très faible car son instabilité ne garantit pas la pérennité du bien commun, elle ne saurait donc constituer un idéal politique.
  3. La mise en place d’une institution politique ne s’improvise pas : nos pères ont chèrement payé par plus de 500 ans de tâtonnements et d’errances l’élaboration de cette magnifique institution qu’est la monarchie capétienne.

Trop de mouvements catholiques – comme la Cité Catholique et maintenant CIVITAS – proposent une formation portant sur des principes de politique chrétienne, mais se refusent toute réflexion sur les institutions à mettre en place pour les appliquer, ceci par peur des divisions.

Pour le libéralisme, la société trouve sa justification dans l’individu lui-même ; pour le socialisme c’est dans la classe prolétarienne ; pour le nationalisme, la nation a en elle-même sa propre finalité.

Mais aucun de ces régimes ne propose un projet de société visant à la paix sociale

La tutelle royale laissait aux communautés villageoises, selon l’expression même de l’historien Pierre Goubert, plus de liberté d’action (et parfois de parole) que les autorités préfectorales du XIXe et surtout du XXe siècle.

Au contraire, la république crée cette situation stupide qui donne au bourg de cinquante habitants les mêmes pouvoirs qu’à la cité de cent mille âmes, ce qui pousse à la multiplication des niveaux de décision. On trouve ainsi des communes, des communautés de communes, des syndicats de communes, des districts, des communautés urbaines, des départements, des régions et quelques autres.

En conclusion, un bon régime politique doit avoir à sa tête un roi, lieutenant de Dieu sur terre, arbitre au-dessus des partis politiques, et s’appuyer sur le principe de subsidiarité à l’encontre de ce que met en œuvre le Traité de Lisbonne.

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6 octobre 2019 7 06 /10 /octobre /2019 17:41

Depuis des décennies, l’oligarchie mondialiste fait l’éloge de la démocratie, présentée comme le critère principal d’une société civilisée, et dénonce les Etats qui en privent leur peuple. Selon la propagande mondialiste, la démocratie est considérée comme un valeur suprême sans laquelle le régime correspondant ne peut être qu’une dictature. Et de citer la Russie, la Chine et, hier, les chefs d’Etats arabes, Saddam Hussein et Kadhafi, considérés comme d’affreux dictateurs.

Or ce que les Français (et autres peuples) entendent par « démocratie », c’est la participation aux décisions. Mais la « démocratie » qu’on nous présente comme modèle est tout le contraire. Il suffit de se rappeler comment le régime politique de l’Union Européenne a été imposé à la France : 55% des électeurs ont voté, en 2005, contre le traité constitutionnel et pourtant, Sarkozy arrivant au pouvoir, le Traité de Lisbonne nous a bel et bien été imposé.

En fait toutes les grandes décisions qui ont engagé la France pour des années ont été adoptées sans aucune consultation des électeurs, ou avec une manipulation de ceux-ci : l’abandon de l’Algérie française, le regroupement familial, la loi Veil ouvrant la voie à la liberté de l’avortement, le Traité de Maastricht, l’abandon du service militaire obligatoire, le passage au quinquennat, l’adoption de l’euro, le Traité de Lisbonne, la loi Taubira, le bombardement de la Serbie, l’assassinat de Kadhafi, l’ouverture de nos frontières aux vagues migratoires et bien d’autres. D’ailleurs Chirac a joué un rôle déterminant dans beaucoup de ces décisions, en trahissant cyniquement la volonté des Français.

Que veut dire, d’ailleurs, la démocratie, quand un parti politique obtient 51% des voix aux élections ? On accepte ainsi de satisfaire une moitié de la France contre l’autre. Il y aussi des cas où la démocratie est complètement dans l’impasse : quand les élections font ressortir que trois partis ont chacun 33% des voix. C’est ce qu’ont connu l’Espagne et la Belgique, notamment, ces dernières années.

En fait, il faut clarifier la question de la participation aux décisions. Il y a des décisions auxquelles la population dans son ensemble ne peut pas prendre part : celles qui relèvent du pouvoir régalien. Il en est ainsi des questions sociétales, telle que l’avortement et le mariage homosexuel notamment. De même que les orientations stratégiques du pays en politique internationale. C’est au roi très chrétien de les prendre. Certes, c’est un homme et non Dieu. Il peut donc se tromper. Mais, éclairé par l’Evangile, il a davantage de chances de se conformer au bien commun.

Mais il y a aussi la question de la liberté de la presse. Selon Saint Thomas d’Aquin, la liberté, c’est « la faculté de choisir entre le bien et le mal ». Or, pour la plupart, les populations n’ont pas ce discernement. Accorder intégralement la liberté de la presse – ce qui, en réalité, est une utopie – voudrait dire qu’on laisse l’oligarchie mondialiste développer sa propagande subversive sans aucune censure. Poutine l’a très bien compris, et c’est pourquoi cette dernière n’a pas le droit de s’exprimer dans les médias russes.

En conclusion, dans une monarchie de droit divin, la participation de tous aux décisions est reconnue, dans la limite de ce qui concerne le bien commun.

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28 septembre 2019 6 28 /09 /septembre /2019 16:46

« Auditionnée lundi 9 septembre dans la soirée par la commission spéciale chargée de la loi de bioéthique avec Agnès Buzyn (santé) et Frédérique Vidal (recherche), la ministre de la justice, Nicole Belloubet, a précisé les nouveaux contours de l’un des points les plus discutés du texte : le mode d’établissement de la filiation prévu pour les enfants des couples de lesbiennes ayant eu recours à une procréation médicalement assistée (PMA) avec tiers donneur. Avec l’extension aux couples de femmes et aux femmes seules de l’accès à ces techniques, consacrée dans l’article premier du projet de loi, se pose en effet la question du lien qui unira juridiquement un enfant né dans ce cadre à ses deux mères » (Le Monde du 10 sept 2019)

« A ce jour, la PMA est légale, mais n’est réservée qu’aux couples hétérosexuels infertiles ou ceux susceptibles de pouvoir transmettre une maladie au nouveau-né. Si la loi est votée, toutes les femmes pourront recourir à cette technique de procréation » (gouvernement.fr)

On nage dans un monde de fous : alors que le mariage de deux femmes est une violation de la loi naturelle, le pouvoir a ouvert la boîte de Pandore : une fois le principe accepté, et malgré les déclarations déjà oubliées des responsables politiques affirmant que jamais de tels couples n’auront droit à l’adoption d’enfants, voilà que se pose aujourd’hui la question de savoir qui sera officiellement la mère de l’enfant médicalement procréé !

Comment en est-on arrivé là ? Très simple : par l’adoption de la loi Taubira. Il faut donc se battre non seulement contre l’extension de la PMA à toutes les femmes, mais aussi pour l’abrogation de la loi Taubira.

Et la question qui vient après, c’est : comment se fait-il qu’il y ait un tel consensus parmi les députés pour approuver ce processus infernal ? La réponse est simple :

Tous les gouvernements sont manipulés par les francs-maçons

La franc-maçonnerie a été créée en 1717 pour combattre et détruire le christianisme. Et c’est ainsi que la révolution française a été provoquée, en sous-main, par les loges franc-maçonnes.

C’est la franc-maçonnerie qui a inventé le slogan « liberté – égalité – fraternité » et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, en lieu et place du Décalogue.

C’est aussi au sein de la franc-maçonnerie française qu’a été conçue la loi Veil autorisant l’avortement.

Il s’agit d’une conspiration pour ôter toute valeur à la loi naturelle

Nous revenons toujours à l’enseignement du Christ : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Car, comme Jésus nous l’enseigne, le règle de l’Argent, c’est le règne de Satan. Nous y sommes.

Seule une société basée sur les principes chrétiens respecte la loi naturelle. Et pour cela , il faut un responsable ayant pour rôle d’élever la vertu du peuple. Ce responsable politique ne peut être que le roi, « lieutenant de Dieu sur terre ». En attendant, dans l’immédiat, exigeons

L’abrogation de la loi Taubira

L’abandon de toute extension de la PMA

Tous à la manifestation du 6 octobre !

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28 septembre 2019 6 28 /09 /septembre /2019 16:46

« Auditionnée lundi 9 septembre dans la soirée par la commission spéciale chargée de la loi de bioéthique avec Agnès Buzyn (santé) et Frédérique Vidal (recherche), la ministre de la justice, Nicole Belloubet, a précisé les nouveaux contours de l’un des points les plus discutés du texte : le mode d’établissement de la filiation prévu pour les enfants des couples de lesbiennes ayant eu recours à une procréation médicalement assistée (PMA) avec tiers donneur. Avec l’extension aux couples de femmes et aux femmes seules de l’accès à ces techniques, consacrée dans l’article premier du projet de loi, se pose en effet la question du lien qui unira juridiquement un enfant né dans ce cadre à ses deux mères » (Le Monde du 10 sept 2019)

« A ce jour, la PMA est légale, mais n’est réservée qu’aux couples hétérosexuels infertiles ou ceux susceptibles de pouvoir transmettre une maladie au nouveau-né. Si la loi est votée, toutes les femmes pourront recourir à cette technique de procréation » (gouvernement.fr)

On nage dans un monde de fous : alors que le mariage de deux femmes est une violation de la loi naturelle, le pouvoir a ouvert la boîte de Pandore : une fois le principe accepté, et malgré les déclarations déjà oubliées des responsables politiques affirmant que jamais de tels couples n’auront droit à l’adoption d’enfants, voilà que se pose aujourd’hui la question de savoir qui sera officiellement la mère de l’enfant médicalement procréé !

Comment en est-on arrivé là ? Très simple : par l’adoption de la loi Taubira. Il faut donc se battre non seulement contre l’extension de la PMA à toutes les femmes, mais aussi pour l’abrogation de la loi Taubira.

Et la question qui vient après, c’est : comment se fait-il qu’il y ait un tel consensus parmi les députés pour approuver ce processus infernal ? La réponse est simple :

Tous les gouvernements sont manipulés par les francs-maçons

La franc-maçonnerie a été créée en 1717 pour combattre et détruire le christianisme. Et c’est ainsi que la révolution française a été provoquée, en sous-main, par les loges franc-maçonnes.

C’est la franc-maçonnerie qui a inventé le slogan « liberté – égalité – fraternité » et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, en lieu et place du Décalogue.

C’est aussi au sein de la franc-maçonnerie française qu’a été conçue la loi Veil autorisant l’avortement.

Il s’agit d’une conspiration pour ôter toute valeur à la loi naturelle

Nous revenons toujours à l’enseignement du Christ : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Car, comme Jésus nous l’enseigne, le règle de l’Argent, c’est le règne de Satan. Nous y sommes.

Seule une société basée sur les principes chrétiens respecte la loi naturelle. Et pour cela , il faut un responsable ayant pour rôle d’élever la vertu du peuple. Ce responsable politique ne peut être que le roi, « lieutenant de Dieu sur terre ». En attendant, dans l’immédiat, exigeons

L’abrogation de la loi Taubira

L’abandon de toute extension de la PMA

Tous à la manifestation du 6 octobre !

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28 septembre 2019 6 28 /09 /septembre /2019 16:46

« Auditionnée lundi 9 septembre dans la soirée par la commission spéciale chargée de la loi de bioéthique avec Agnès Buzyn (santé) et Frédérique Vidal (recherche), la ministre de la justice, Nicole Belloubet, a précisé les nouveaux contours de l’un des points les plus discutés du texte : le mode d’établissement de la filiation prévu pour les enfants des couples de lesbiennes ayant eu recours à une procréation médicalement assistée (PMA) avec tiers donneur. Avec l’extension aux couples de femmes et aux femmes seules de l’accès à ces techniques, consacrée dans l’article premier du projet de loi, se pose en effet la question du lien qui unira juridiquement un enfant né dans ce cadre à ses deux mères » (Le Monde du 10 sept 2019)

« A ce jour, la PMA est légale, mais n’est réservée qu’aux couples hétérosexuels infertiles ou ceux susceptibles de pouvoir transmettre une maladie au nouveau-né. Si la loi est votée, toutes les femmes pourront recourir à cette technique de procréation » (gouvernement.fr)

On nage dans un monde de fous : alors que le mariage de deux femmes est une violation de la loi naturelle, le pouvoir a ouvert la boîte de Pandore : une fois le principe accepté, et malgré les déclarations déjà oubliées des responsables politiques affirmant que jamais de tels couples n’auront droit à l’adoption d’enfants, voilà que se pose aujourd’hui la question de savoir qui sera officiellement la mère de l’enfant médicalement procréé !

Comment en est-on arrivé là ? Très simple : par l’adoption de la loi Taubira. Il faut donc se battre non seulement contre l’extension de la PMA à toutes les femmes, mais aussi pour l’abrogation de la loi Taubira.

Et la question qui vient après, c’est : comment se fait-il qu’il y ait un tel consensus parmi les députés pour approuver ce processus infernal ? La réponse est simple :

Tous les gouvernements sont manipulés par les francs-maçons

La franc-maçonnerie a été créée en 1717 pour combattre et détruire le christianisme. Et c’est ainsi que la révolution française a été provoquée, en sous-main, par les loges franc-maçonnes.

C’est la franc-maçonnerie qui a inventé le slogan « liberté – égalité – fraternité » et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, en lieu et place du Décalogue.

C’est aussi au sein de la franc-maçonnerie française qu’a été conçue la loi Veil autorisant l’avortement.

Il s’agit d’une conspiration pour ôter toute valeur à la loi naturelle

Nous revenons toujours à l’enseignement du Christ : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Car, comme Jésus nous l’enseigne, le règle de l’Argent, c’est le règne de Satan. Nous y sommes.

Seule une société basée sur les principes chrétiens respecte la loi naturelle. Et pour cela , il faut un responsable ayant pour rôle d’élever la vertu du peuple. Ce responsable politique ne peut être que le roi, « lieutenant de Dieu sur terre ». En attendant, dans l’immédiat, exigeons

L’abrogation de la loi Taubira

L’abandon de toute extension de la PMA

Tous à la manifestation du 6 octobre !

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