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22 septembre 2018 6 22 /09 /septembre /2018 18:10

Dernièrement, les media nous ont appris que l’absentéisme en France représentait en 2017 en moyenne 17,2 jours d’absence par an et par salarié, soit une légère progression par rapport à 2016 (source : 10ème baromètre de l’absentéisme et de l’engagement Ayming-AG2R).

Certes, il peut y avoir de réelles maladies mais, dans ces proportions (4,72% des employés), cela dénote un réel mal être.

Entre 2008 et 2013, 45 millions de boîtes d’antidépresseurs par an ont été consommées (source : Neptune). Les spécialistes estiment que 10 à 20% des personnes sont concernées, soit de l’ordre d’une demie à une boîte par mois.

D’ailleurs, à Paris, il suffit de prendre les transports en commun pour voir à quel point les gens sont tristes. Y a-t-il une cause à cela ? Oui, bien entendu. Pensons aux années 30, pour ne pas remonter les siècles : les peintres en bâtiment chantaient en travaillant. A la même époque, il n’était pas rare qu’un outilleur (ouvrier professionnel qualifié) pense la nuit à son travail, non parce que celui-ci le traumatisait mais au contraire parce qu’il était passionné par ce qu’il faisait. Nous sommes loin de la morosité et de l’ennui au travail que vivent aujourd’hui une majorité de personnes.

En réalité, la transformation s’est fait progressivement d’une société où les mœurs étaient encore profondément marquées par la morale chrétienne, pourtant abolie en 1789, jusqu’à une date récente – le tournant étant probablement Mai 1968 – où la société sans Dieu commença à envahir tous les aspects de notre vie.

Pour comprendre cette évolution, il faut revenir aux sources. L’article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 énonce : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi ».

Ainsi cet article nie la condition naturelle de l’homme, qui est celle d’un être social. Car ce dont souffre la plupart des gens, c’est du manque de reconnaissance. Et celle-ci vient naturellement de la vie en société : je te rends tel service, pas du tout dans une optique intéressée et, naturellement, à un autre moment, c’est l’autre qui me rend un service.

L’homme livré à lui-même, complètement individualisé comme l’a voulu cet article 4, a une fâcheuse tendance à laisser grandir en lui le cerveau reptilien. C’est d’ailleurs voulu par les mondialistes, car il est ainsi plus manipulable. Pour qu’il en soit autrement, il faut qu’un pouvoir s’occupe d’élever la vertu du peuple. Ce ne peut être qu’un roi très chrétien, le « lieutenant de Dieu sur terre », qui a pour mission de respecter avant tout les deux commandements les plus importants : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit – Voilà le plus grand et le premier commandement, le second lui est semblable – Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Matt. 22, 37-39).

Concrètement, une des premières mesures que prendrait un gouvernement royal serait de lutter contre l’urbanisation croissante et de reconstituer la vie de village que l’on connaissait autrefois, avec la solidarité naturelle qui y était établie : on ne laissait pas quelqu’un mourir de faim. On peut ajouter : on ne laisse pas 200 000 SDF rester sans abri ; on leur donne de quoi vivre décemment.

Vive le roi Louis XX

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14 septembre 2018 5 14 /09 /septembre /2018 18:16

Nous avons choisi de reprendre exactement le titre publié en première page du Figaro du 10/09/2018. Le journal nous apprend que 1,2 million de comptes islamistes ont été ouverts sur la toile. Par ailleurs, si l’on additionne les cinq comptes Twitter d’obédience wahhabite (donc islamiste), cela représente 87,4 millions d’abonnés, soit mieux que la messagerie de Donald Trump (51,7 millions) et pas très loin des correspondants d’Obama (102,4 millions).

Nous avons regardé une vidéo sur Youtube, celle correspondant à l’un des cinq prédicateurs wahhabites les plus influents. L’homme parle en arabe, évidemment, mais il est sous-titré en français. C’est un peu difficile à suivre car il parle très vite.

C’est donc à une échelle mondiale, massivement,
que la propagande islamiste s’est mise en place !

Mais ce n’est qu’une des formes de la présence de l’islamisme en France. Toute aussi dangereuse est l’organisation de la vie communautaire. Il y a en France des quartiers entiers où l’on a la forte impression d’être à l’étranger. C’est en effet tout un tissu de commerces et de cafés qui s’adressent presque exclusivement à une population musulmane. Deux exemples parmi d’autres : Roubaix et Trappes. Ainsi les commerces de détail ne fournissent ni jambon ni alcool. Et si un Français de souche habite, pour son malheur, le quartier, c’est lui qui est considéré comme un étranger.

C’est le triste résultat du regroupement familial instauré par Giscard d’Estaing

Et cela remonte aux années 70, il y a donc près d’un demi-siècle ! Nous sommes bien dans un processus de « grand remplacement », celui d’une civilisation chrétienne bimillénaire par un civilisation totalement étrangère et incompatible.

Si même un quotidien à grand tirage comme le Figaro parle d’idéologie, c’est donc la reconnaissance d’une réalité, à savoir qu’il s’agit bien d’un organisme étranger qui vient envahir la France.

Que faire ? Deux mots viennent à l’esprit : expulsion et assimilation. Le gouvernement ne ferait qu’appliquer la loi s’il décidait d’expulser tous les clandestins, alors qu’on les laisse, entre autres, déféquer dans la mer et polluer ainsi les plages du débarquement. Et, le temps que se déroulent les formalités d’expulsion, ils doivent tous être retenus dans des centres de détention.

Autrefois, on parlait d’assimilation. Ce terme a quasiment disparu pour être remplacé par celui d’intégration. Où est la différence ? Dans l’industrie, quand on fabrique un système, un avion ou une voiture par exemple, on procède à l’intégration de ses composants. Ainsi chaque composant – moteur, sellerie, tableau de bord ou autre – garde son intégrité, mais fait, après intégration, partie d’un ensemble plus vaste. Traduit en termes politiques, l’intégration c’est le communautarisme ! Ce n’est qu’une manière voilée de le dire. Donc nos gouvernements acceptent le communautarisme… jusqu’à ce qu’il nous envahisse au point de nous dominer.

Vis-à-vis des immigrés, dont des millions ont déjà reçu la nationalité française, il n’y a qu’une seule voie : l’assimilation, ce qui veut dire que nous attendons d’eux qu’ils adoptent nos mœurs et notre manière de vivre. Cela implique un certain nombre de mesures énergiques…

Tout d’abord l’interdiction totale de l’abattage rituel et de l’exportation d’animaux vivants, au nom de la norme OIE sur l’abattage des animaux, qui interdit qu’on les fasse souffrir. Ce qui n’est d’ailleurs que l’obéissance à l’ordre divin (Gn 1, 26-30).

Mais l’assimilation suppose que l’identité française prévale totalement sur l’identité d’origine. Il faut donc interdire tout vêtement spécifique de cette ancienne identité et l’usage d’une autre langue que le français sur les lieux publics. Bien entendu, il faut aussi interdire tous les media qui diffusent de la propagande islamiste et abandonner cette idée subversive d’enseignement de l’arabe ou du turc dans les écoles primaires et secondaires. Et il faut interdire les enseignes évoquant la culture arabe ou turque sur les devantures des commerces.

Par ailleurs, il faut interdire les prières dans la rue et fermer les mosquées dont l’imam prêche dans une autre langue que le français. Enfin, il faut interdire aux collectivités territoriales de contribuer au financement de mosquées, même si celui-ci se cache derrière la subvention à des associations culturelles. Et il faut aussi interdire tout financement de mosquées de source étrangère.

Tout cela nécessite un pouvoir fort. On imagine mal qu’un gouvernement républicain puisse adopter un tel programme, alors que l’enjeu est la survie de notre civilisation. Seul un Roi très-chrétien sera en mesure de le mettre en œuvre.

Expulsion et assimilation, deux volets complémentaires
Vive le Roi Louis XX !

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7 septembre 2018 5 07 /09 /septembre /2018 18:32

Avec la rentrée des classes, il y a toujours quelqu’un pour s’interroger, une fois de plus, sur la laïcité. C’est ainsi que Frédéric Béghin intervient dans le Figaro du 3/09/2018 pour porter au public sa propre réflexion sur les conditions d’un bon fonctionnement de la laïcité. En fait, il n’y répond pas, mais met surtout l’accent sur le comportement de fuite du corps enseignant et des responsables de l’Education Nationale.

Les entorses à la laïcité sont fréquentes. On pourrait les résumer à six :

1) dans certaines cantines scolaires, des élèves refusent la viande si elle n’est pas halal ;

2) le port du voile étant interdit dans les établissements scolaires, certaines filles portent un bandeau le plus large possible, ce qui frise la provocation ;

3) lors des sorties scolaires, certaines jeunes musulmanes ne veulent pas être vues dans la rue nu-tête ;

4) on note un absentéisme massif lors des fêtes religieuses musulmanes et une abondance de certificats médicaux les jours de piscine ;

5) de jeunes musulmans adoptent une attitude de victime en prétextant que le pouvoir n’aime pas la religion (c’est-à-dire leur religion !) ;

6) certains enseignements sont contestés, par exemple la lecture de Madame Bovary, de Tartuffe, ou l’épisode de l’histoire de France où Charles Martel repousse les Sarrasins à Poitiers.

A l’époque où fut votée la loi de 1905 de séparation de l’Église et de l’État, le problème musulman n’existait pas en France et on sait bien que cette loi, typiquement franc-maçonne, avait pour but de supprimer le christianisme. Or il n’existait pas de parti politique chrétien susceptible de mener le combat contre la laïcité. Aujourd’hui la situation est différente. Il existe une intelligentsia musulmane, certes dispersée mais néanmoins efficace, qui impulse, en souterrain, la subversion islamique. Et cela marche très bien.

En résumé, la question politique qui se pose est de savoir si une république « bien dirigée » pourrait contrer cette subversion islamique. Reprenons les six entorses que nous avons évoquées :

1) dans les cantines scolaires, il suffirait de faire preuve de fermeté et de dire aux musulmans qu’ils n’ont qu’à se plier aux mœurs du pays qui les accueille ; mais il y a déjà un obstacle dont nous avons parlé dans un article antérieur : dans notre république, personne n’est responsable ;

2) le port du voile : là aussi, c’est une question de fermeté mais, comme dit Frédéric Béghin, « l’Education Nationale fait l’autruche » ; cela confirme notre diagnostic ;

3) les sorties scolaires : même raisonnement et même conclusion ;

4) l’absentéisme : des sanctions appropriées devraient pourvoir l’empêcher, mais encore faudrait-il avoir le courage de les mettre en œuvre ;

5) le comportement en victimes: là, nous sommes au niveau de la religion et il faut répondre à ce même niveau, ce que seul un Roi très chrétien peut faire ;

6) la contestation de certains enseignements : le principe de laïcité aboutit à une seule chose, au fait que les enseignants sont déboussolés ; et c’est bien le terme qu’il faut employer, car ils sont comme un navigateur qui essaie de conduire un bateau sans boussole ; traduction : la république est incapable de présenter au corps enseignant un référentiel ; seul un roi très chrétien peut le faire.

Notons cependant, sur cette question du référentiel, qu’il existe depuis 2015 un enseignement spécifique, l’EMC (éducation morale et civique) censée représenter ce référentiel. Mais, nous rapporte Frédéric Béghin, « beaucoup de professeurs y ont vu une incitation à l’athéisme ». L’Éducation Nationale est donc loin de professer des valeurs universelles. D’ailleurs, la preuve que les enseignants n’ont pas de référentiel, c’est leur incapacité à affronter l’islam. « Pour certains, nous dit encore Frédéric Béghin, il est devenu difficile de parler de l’islam sans paraître mal intentionné, voire islamophobe ».

La conclusion est que la laïcité est impraticable, parce que, sous le régime actuel, personne ne veut agir en responsable, et parce que seule une religion affirmée, en l’occurrence le christianisme qui est une des principales racines et un socle civilisationnel de la France, peut faire face à la subversion islamique.

Priorité aux racines chrétiennes de la France !

Vive le roi Louis XX !

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30 août 2018 4 30 /08 /août /2018 18:45

Ce lundi 27 août, Emmanuel Macron présidait la conférence annuelle des ambassadeurs. Ce fut une occasion pour lui de présenter sa vision de ce que doit être la diplomatie de la France. Il en ressort deux objectifs forts : « un cap, le renforcement de l’ordre mondial et une priorité, le renforcement de l’Europe » (Le Figaro du 28/08/2018).

Nous avons là, d’une manière on ne peut plus claire, la confirmation de son adhésion au projet mondialiste d’un gouvernement mondial. Et bien entendu son hostilité aux nationalismes, alors qu’il reconnaît lui-même que ceux-ci ne sont que la traduction des « identités profondes des peuples (qui) ont resurgi avec leur inconscient collectif ». Et si c’était tout au contraire une prise de conscience et une redécouverte par chaque peuple de ses racines ?

Derrière ces envolées lyriques il y a une réalité bien concrète : les Etats-Unis, par la voix de Donald Trump, refusent d’assurer durablement la sécurité de l’Europe, estimant qu’elle leur coûte bien cher. La voie de la facilité consiste alors, selon Macron, à faire payer le coût de cette défense par les 28 (ou 27 ?) Etats membres de l’Union Européenne.

Encore une fois, on confond la fin et les moyens

Emmanuel Macron raisonne « gros sous », sans se poser la question de la faisabilité d’une défense commune. Clausewitz, qui était un officier général et théoricien militaire prussien (Wikipédia), mort en 1831, donnait le conseil suivant : « La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens », ce qui peut aussi bien se lire à l’envers : on ne peut pas faire la guerre si on n’a pas défini auparavant vers quelle politique postérieure à la guerre on veut aller.

Voyons donc si une politique commune peut émerger des différentes opportunités de guerre qui se présentent à la France. Premier exemple : la politique à mener vis-à-vis des vagues migratoires qui envahissent l’Europe. Il s’agit bien d’une guerre, car c’est une véritable invasion effectuée par les ressortissants d’une autre civilisation. Pas besoin de longs discours pour constater qu’aucun accord ne s’établit, en tout cas pas à 28.

Autre exemple : la guerre que mène la France en Afrique : en Centrafrique il n’y a pas si longtemps et au Mali actuellement. L’armée française est bien seule et l’unique pays qui l’aide, en fournissant des avions pour l’acheminement des troupes, ce sont les Etats-Unis. Aucun membre de l’UE n’a accepté d’envoyer des militaires !

Cela ne va pas mieux au Moyen-Orient, où la politique agressive des Etats-Unis à l’égard de l’Iran amène les Etats Européens à évaluer jusqu’à quel degré de rupture avec les américains ils sont prêts à aller. C’est, là aussi, loin d’une démarche unitaire.

La morale de l’histoire est que, même si Macron peut se vanter d’avoir mis en chantier avec l’Allemagne le futur avion de combat et le futur char lourd, la défense de la France doit être conduite par la France. C’est bien du nationalisme et cela n’a rien de honteux !

On peut rêver d’une république qui fonctionnerait bien et qui conduirait une politique défendant les intérêts de la France. Mais les seuls exemples historiques que nous ayons sont ceux d’Hitler et de Mussolini. D’ailleurs, dans les deux cas, ce n’était plus des républiques mais des dictatures.

Il y a aussi les exemples de l’Espagne de Franco et du Portugal de Salazar qui ont su mener une politique basée sur des principes chrétiens. Mais ces deux exemples n’ont pu être pérennisés. Une cause essentielle à cela : l’absence d’un parti royaliste qui aurait mené une propagande expliquant qu’il ne peut s’agir que d’une situation transitoire car seul un roi très chrétien peut mener durablement une politique chrétienne avec une adhésion populaire de plus en plus grande.

Tous unis pour une défense nationale !

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24 août 2018 5 24 /08 /août /2018 18:32

Ainsi que nous le relate Le Monde du 27/06/2018, les députés ont voté pour la suppression du mot « race » de l’article 1er de la Constitution, lors de l’examen du projet de loi constitutionnelle en commission. Le mot « race » doit être retiré de l’article prévoyant que la République « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion ».

Mais aucun député n’a émis la moindre réserve sur le fait que ce vote ne sert à rien puisqu’il est en contradiction avec ce qu’énonce explicitement le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 dans son article 16 - « La France forme avec les peuples d'outre-mer une Union fondée sur l'égalité des droits et des devoirs, sans distinction de race ni de religion » - sachant que le Préambule de la Constitution du 4 octobre 1958 y fait clairement référence : « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu'aux droits et devoirs définis dans la Charte de l'environnement de 2004 ».

Rappelons au passage que la Constitution ne peut être modifiée que par le Parlement réuni en Congrès et que, tant que celui-ci ne s’est pas réuni, le vote n’a aucune valeur. Quant à la date de sa réunion, programmée pour le mois de juillet de cette année, nous savons comment, avec l’affaire Benalla, Emmanuel Macron a été obligé de la reporter…

Tout cela n’est qu’une question de forme et prête surtout à rire. Mais voyons maintenant le fond. Première remarque (à supposer que le texte prenne un caractère officiel) : si, demain, un citoyen agresse un africain sous prétexte qu’il est noir, il ne pourra pas être accusé de raciste puisque cette notion n’existe plus !

Deuxième remarque : nous sommes en présence d’une manipulation grossière. On confond la notion de race et le racisme. Le dictionnaire Larousse (édition de 2003) nous donne une définition de ce dernier terme : « idéologie fondée sur la croyance qu’il existe une hiérarchie entre les groupes humaine, les races ». Et il donne la définition de la race : « subdivision de l’espèce humaine en Jaunes, Noirs et Blancs selon le critère apparent de la couleur de la peau ».

De même, le Grand Robert donne la définition suivante du racisme : « Théorie de la hiérarchie des races qui conclut à la nécessité de préserver la race prétendue supérieure de tout croisement, et à son droit de dominer les autres ». Et le dictionnaire ajoute ce commentaire : « Le racisme n’a aucune base scientifique ». Notons aussi la définition qu’il donne de la race : « Groupe ethnique qui se différencie des autres par un ensemble de caractères physiques héréditaires (couleur de la peau, forme de la tête, proportion des groupes sanguins, etc) représentant des variations au sien de l’espèce ».

En conséquence, la race est un concept scientifique que l’on ne peut pas ignorer. Que des députés, à l’unanimité, aient décidé de supprimer le respect de l’égalité des citoyens, quelle que soit leur race, nous amène à nous interroger : ou bien ils ont tous perdu la mémoire sur une réalité banale de l’existence – ce qui parait invraisemblable – ou bien, ce qui est le plus sûr, ils subissent une telle dictature au sein de leur parti politique qu’il leur est interdit d’exprimer leur propre opinion. Voilà la démocratie dont on nous vante les mérites !

Le drame de la république est que la notion de bien commun est oubliée au profit de calculs politiques ayant pour enjeu le pouvoir. Déjà dans les années 30, la philosophe Simone Weil avait dénoncé la nuisance des partis politiques, qui ne représentaient qu’eux-mêmes mais pas la population. Plus tard, le Général De Gaulle essaya d’inscrire dans la constitution l’existence d’un pouvoir, celui du président de la république, censé être au-dessus des partis. Non seulement il a échoué mais la constitution de la Vème république est toujours là et les partis politiques se sont arrangés pour neutraliser ce qui n’était que le rêve d’un républicain.

Conclusion : un arbitre au-dessus des forces politiques, que ce soit des partis ou d’autres structures de pouvoir, ne peut exister dans le cadre de la république.

Vive le roi Louis XX !

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18 août 2018 6 18 /08 /août /2018 07:17

Trente-neuf morts à Gênes, du fait de l’effondrement du pont Morandi. C’est déjà en soi tragique. Mais les conséquences de l’effondrement du pont ne s’arrêtent pas là. C’est toute l’économie de la ville qui est en péril du fait de l’engorgement du trafic routier. On parle de 55 000 emplois menacés. Sans oublier les malheureuses personnes qui logent sous le pont, qui devront abandonner leur logement et, probablement, leur quartier. Voici un terrible bilan, et tous les commentateurs s’accordent pour dire qu’il n’y a pas là une fatalité et que ce drame aurait pu être évité. Voyons cela de plus près.

Enrico Colombatto, professeur d’économie à l’université de Turin, écrit dans le Figaro du 17/08/2018 : « Depuis des années, on savait que ce pont souffrait de maints problèmes structurels remarqués dès les annnées 60 (ndr : alors que le pont venait d’être construit). (…) Il y a une quinzaine d’années, on avait déjà recommandé la démolition du pont, sans résultat. Depuis 2012, on avait proposé de construire une deuxième autoroute périphérique (…) qui se serait chargée des poids lourds qui menaçaient la solidité du pont Morandi, jusqu’à 400 camions simultanément quand il y avait des embouteillages ».

Plus loin il écrit : « Une responsabilité d’ordre politique est donc évidente dans ce désastre ». En clair, les nombreux responsables politiques qui étaient au courant ont préféré fermer les yeux. Même si la société Atlantia chargée de l’entretien peut avoir une part de responsabilité, le grand responsable est l’Etat, qui se doit de contrôler le bon travail de cette société. Et Enrico Colombatto conclut : « La corruption et la gabegie qui caractérisent le secteur public en Italie sont proverbiales ».

Mais est-ce un problème spécifiquement italien ? En France, les media ont parlé d’un budget de l’ordre de 750 millions d’euros, puis le gouvernement a parlé d’un milliard… alors que, selon les spécialistes, il faudrait au minimum 1,3 milliard pour assurer l’entretien des ouvrages.

En fait, dans cette France républicaine, il n’y a pas de responsable. Ainsi, telle petite commune sur le territoire de laquelle se trouve un pont en très mauvais état, se voit « attribuer » un budget de 3 millions d’euros pour le réparer, l’Etat lui en versant 70% et la région 20%, charge à elle, petite commune de moins de 500 habitants, de financer les 10% restants, soit 300 000 euros, ce qui est hors de proportion avec son propre budget. Qui est responsable ? L’Etat, qui a versé 70% ? La région, qui en versé 20% ? Ou la commune, incapable d’assurer le financemenrt restant ?

Voilà comment fonctionne notre république, soi-disant démocratique. Si c’est une démocratie qui débouche sur un lot d’irresponsables, quel est l’intérêt ?

Qu’en conclure ? D’aucuns diront que le régime politique n’est pas en cause, qu’il s’agit simplement de dysfonctionnements qu’il faut corriger. C’est vrai en théorie. Mais, en pratique, nous constatons une fois de plus que « chassez le naturel, il revient au galop ». La république privilégie systématiquement le court terme au détriment du long terme, ne serait-ce que parce que les élus ont des comptes à rendre tous les cinq ans. Or, pour rester sur le cas pratique du pont Morandi, il faut bien que quelqu’un analyse les conséquences sur la solidité du pont de l’évolution qualitative et quantitative du trafic. Autrement dit, il faut bien que quelqu’un ait un regard sur plusieurs décennies et pas simplement sur quelques années. C’est le grand défaut de la république, non seulement, comme nous venons de le voir, par manque de vision à long terme mais aussi par simple démagogie.

Si la royauté est un régime meilleur, ce n’est pas principalement pour des causes sutructurelles. Il peut aussi y avoir des dysfonctionnements, car tout régime politique est constitué d’hommes, lesquels ont leurs défauts. C’est parce que tous les citoyens sont appelés à augmenter leur vertu. C’est d’ailleurs le rôle du roi. C’est comme dans le monde du travail : une entreprise sera plus efficace si tout le personnel se sent impliqué dans la réalisation d’un objectif commun. De même, dans la royauté, l’objectif est de réunir la population entière autour des valeurs chrétiennes. Si tel avait été le cas au niveau des personnes ayant une part de responsabilité dans la gestion du pont Morandi, la probabilité d’une telle catastrophe aurait été réduite.

Vive le roi Louis XX

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4 août 2018 6 04 /08 /août /2018 10:40

La multiplication des rodéos urbains (ces jeunes qui font des « roues arrière » avec leur moto ou leur quad) a conduit le parlement à voter une loi pour les interdire. Une histoire apparemment banale, mais pas si simple. En effet, qui dit loi dit sanction à l’égard des récalcitrants. Et c’est là que cela se complique. En effet, nous dit le Figaro du 3/08/2018, « Cagoulés ou casqués, les auteurs de rodéos urbains ne sont pas identifiables et leurs plaques d’immatriculation sont difficilement traçables ». Un syndicaliste de la police, interrogé, déclare : « Lorsqu’on veut intercepter les individus, ils s’enfuient, risquent de chuter, et nous redoutons des émeutes ou que ce soit les policiers qjui se retrouvent devant les tribunaux ».

Donc tout se passe comme si ce sont les jeunes des banlieues qui ont le pouvoir. La Russie a connu ce genre de situation après la révolution de février 1917 : le pouvoir officiel était entre les mains du chef de gouvernement, Kérenski, mais, parallèlement, existait le pouvoir des soviets. C’était une situation de double pouvoir. C’est ce que la France vit aujourd’hui.

Supposons maintenant qu’il se produise une étincelle qui « fâche » ces jeunes de banlieue, musulmans pour la plupart. Voyons quelle pourrait être la nature de cette étincelle qui mettrait le feu aux poudres. Elle pourrait être d’origine interne ou externe. Une étincelle d’origine interne, c’est un groupe politique qui prend une initiative qui déplait aux musulmans. N’allons pas plus loin dans ce scénario : un tel groupe n’existe pas. En effet, les seuls qui s’opposent politiquement à la présence de musulmans en France sont les nationalistes et quelques groupes chrétiens très minoritaires, tels l’Action Française ou CIVITAS. Mais les uns et les autres se réfugient derrière des slogans qui n’ont que peu de rapport avec la réalité. Donc aucune action ne peut provenir de là.

Reste l’étincelle d’origine externe. Celle-là peut tout à fait se produire. Il suffit, par exemple, que les Etats-Unis décident de passer à la vitesse supérieure dans leur intervention au Moyen-Orient. Ce pourrait être la décision d’attaquer l’Iran. Supposons aussi que les Etats-Unis entraînent la France. Nous avons déjà vécu une telle situation puisque Hollande était prêt à lancer l’armée française dans une grande guerre contre la Syrie de Bachar el Assad en septembre 2013, que les Etats-Unis ont décommandé au dernier moment.

Dans cette hypothèse, tout à fait plausible, des émeutes se produiront dans les banlieues, d’un niveau bien supérieur à ce qui s’est passé en 2005, et la police et la gendarmerie n’oseront pas s’y opposer. Où cela nous conduit-il ? A la prise du pouvoir par les musulmans et l’instauration d’une Fance musulmane !

Oui, demain le France peut devenir une république musulmane

Comment combattre ce nouveau pouvoir, qui bénéficiera d’un large consensus au sein des communautés musulmanes alors que les Français de souche sont incapables de s’unir ? Ces derniers auront le statut de « dhimmi », c’est-à-dire de citoyen de seconde zone.

Ce ne sera pas un combat temporel, car nous avons vu que les forces manquent. Reste le combat spirituel. Il sera victorieux mais produira beaucoup de martyrs, comme nous l’annonce l’Apocalypse : « L’un des Anciens prit alors la parole et me dit : « Ces gens vêtus de robes blanches, qui sont-ils, et d’où viennent-ils ? ». Je lui répondis : « Mon seigneur, toi, tu le sais. » Il me dit : « Ceux-là viennent de la grande épreuve ; ils ont lavé leurs robes, ils les ont blanchies par le sang de l’Agneau ». (Ap. 7, 13-14)

Le Christ vaincra

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29 juillet 2018 7 29 /07 /juillet /2018 08:28

Un récent reportage paru sur une chaîne de télévision fait apparaître qu’il y a aujourd’hui, dans le monde, un déficit de deux cents millions de femmes. Cela concerne notamment la Chine et l’Inde, mais pas seulement. Comment en est-on arrivé là ?

Dans les années cinquante, des politiciens américains ont commencé à avoir peur de la démographie galopante dans le Tiers-Monde, ce qui pouvait à terme, pensaient-ils, remettre en cause la suprématie américaine. C’est ainsi qu’ont été mises en œuvre diverses campagnes de planification des naissances, qui allaient de l’encouragement à l’avortement aux pratiques de stérilisation forcée, tantôt des femmes, tantôt des hommes. Le financement était principalement assuré par les fondations Ford et Rockefeller et, aujourd’hui, s’y est jointe la fondation de Billes Gates. Le fait que, dans un pays comme l’Inde, toutes les religions ont enseigné à la population que l’avortement est interdit car contraire à la loi naturelle n’a pas suffi devant le pouvoir financier qui a permis ces campagnes.

De plus il existe dans toute l’Asie et également en Afrique, une tradition valorisant le sexe masculin au détriment du sexe féminin. Cela a conduit, dans des temps anciens, à l’élimination physique de nombreuses filles à leur naissance. Cette pratique a été malheureusement remise à l’ordre du jour par les politiques gouvernementales, en Inde et en Chine notamment, avec, pour cette dernière, une loi interdisant aux familles de procréer plus d’un enfant. Et elle est aujourd’hui accélérée avec la découverte de l’échographie. Certes, en Inde par exemple, il est interdit au médecin qui pratique l’échographie de dire à la femme enceinte quel est le sexe de l’enfant à naître, mais, moyennant argent, bien des médecins contournent cette loi. Qui plus est, la société américaine General Electric a mis au point un instrument miniaturisé mettant l’échographie à la portée de tous, avec des profits substantiels pour cette société.

Le résultat de toutes ces politiques mises en œuvre depuis plus de cinquante ans est catastrophique : en 2018, on recense 19 pays dans le monde qui connaissent un fort déficit du nombre de femmes par rapport au nombre d’hommes. Globalement, cela représente un déficit de 200 millions de femmes. Cela signifie que 200 millions d’hommes ne peuvent pas trouver une femme avec laquelle fonder une famille. Il en résulte toutes sortes de délinquances, la femme étant transformée en marchandise à vendre, avec une multiplication des vols de fillettes.

Nous pouvons tirer deux conclusions de ce triste phénomène. Premièrement, voici où conduisent des décisions technocratiques, effectuées par-dessus la tête des populations et des gouvernements. Deuxièmement, le mécanisme de la dot nous amène à nous interroger : pourquoi une fille vaut-elle si cher ? La réponse qui nous vient à l’esprit est la suivante : en l’absence de protection sociale, la protection des vieux ne peut être assurée que par une famille nombreuse, puisque ce sont les jeunes qui vont secourir leurs aïeux. On en revient, indirectement, à la question du développement économique. D’ailleurs, et nous le savons bien, les pays développés ont justement tendance à avoir un taux de natalité réduit, au point que le taux de renouvellement de 2,1 enfants par femme n’est souvent pas atteint.

Certains esprits alarmistes qui, sur le fond, n’ont pas tout à fait tort, considèrent que l’invasion du Nord par le Sud est inéluctable, surtout que l’Afrique, pour prendre cet exemple, a déjà atteint une population de 1,2 milliard d’habitants en 2016 et se situera, selon les projections démographiques, entre 2 et 3 milliards dans les années 2050, puis 4,4 milliards en 2100 (source Wikipédia).

Accepter ces transferts de populations est tout simplement suicidaire, tant pour les populations accueillantes que pour les immigrants. En effet, si l’on voit les choses du côté occidental, c’est tout simplement la disparition de notre civilisation bi- et même tri-millénaire. Inversement ce n’est pas un avantage pour les migrants car ils n’ont pas la culture nécessaire pour faire fonctionner nos sociétés complexes. Nous sommes en effet obligés de constater que, parmi toutes les anciennes colonnies françaises, par un seul pays n’a retrouvé le niveau de PIB qu’il avait au moment du départ de la France. Une gouvernance organisée par les migrants ne pourrait conduire nos pays développés qu’à la ruine.

La seule solution, qu’il est urgent de mettre en œuvre, ne peut être trouvée que dans l’affectation d’une partie significative de notre PIB au développement du Tiers-Monde et, pour ce qui concerne l’Europe, un soutien à l’Afrique. Ne serait-ce que 1% du PIB peut produire des résultats importants, à condition de ne pas permettre le développement de la corruption et aussi de mettre en place une force militaire qui assure la paix.

Toutes ces mesures peuvent, théoriquement, être mises en œuvre dans le cadre républicain. Mais, en pratique, c’est impossible pour plusieurs raisons. La principale est que l’hyper classe mondialiste mène une politique de chaos, notamment en aggravant les flux migratoires en direction des pays développés, l’Europe notamment, afin de les désorganiser et les conduire à la ruine.

La deuxième raison, qui se conjugue à la première, est la volonté de cette même hyper classe de détruire le christianisme et, en conséquence de déstabiliser les pays dont les racines sont chrétiennes.

La troisième raison, qui se conjugue avec les deux précédentes, est le refus de l’hyper classe mondialiste de favoriser le développement de pays autonomes, qui ne seraient donc pas sous sa dépendance.

Il faut donc changer de régime politique et prendre en compte l’enseignement de Jésus : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Car l’hyper classe mondialiste appuie son pouvoir sur le dieu-argent. La seule alternative est la monarchie, avec à sa tête un roi très chrétien. C’est ce retour à nos racines chrétiennes qu’il nous faut pour toute l’Europe.

Retour aux racines chrétiennes de l’Europe

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21 juillet 2018 6 21 /07 /juillet /2018 06:30

Donald Trump, ayant promis à ses électeurs de relancer l’emploi, a décidé de mettre en œuvre une politique protectionniste. Mais les Américains sont loin de vivre ce que vivaient les Allemands après la première guerre mondiale : une telle chute du niveau de vie que toute relance de l’économie représentait pour eux un mieux.

L’économie américaine est dans une tout autre situation. Ainsi que l’analyse la tribune financière AGORA, « les taxes douanières vont représenter un effort supplémentaire de près de 100 milliards de dollars pour les consommateurs américains. Mais ce n'est pas tout. Les contre-mesures prises par la Chine auront un coût pour les producteurs américains, également, notamment les agriculteurs qui exportent chaque année en Chine quelque 13 milliards de dollars de soja… ».

Selon le New York Times : « Pékin a fixé un droit de douane de 25% sur le soja américain, la semaine dernière, en riposte aux taxes infligées aux produits chinois par le gouvernement Trump. L'an dernier, les producteurs de soja des Etats-Unis ont vendu près d'un tiers de leur récolte à la Chine. En dollar, seuls les avions américains vendus à la Chine, deuxième économie mondiale, représentent un chiffre supérieur à l'exportation. »

Et AGORA ajoute : « déjà, les prix augmentent aux Etats-Unis. Les chiffres de juin indiquent que les prix à la consommation augmentent au rythme de 2,9% d'une année sur l'autre, alors que les prix de gros augmentent de 3,4% » et conclut : « Des deux, c'est l'économie chinoise, probablement, qui court davantage le risque de s'effondrer. Mais comme c'est également le plus grand acheteur de matières premières dans le monde, ce risque est partagé par tous ses partenaires commerciaux, y compris les Etats-Unis. Autrement dit, si la Chine devait entrer dans une dépression, les Etats-Unis ne tarderaient pas à lui emboîter le pas ».

C’est donc l’économie mondiale qui risque d’entrer en récession

Est-ce à dire que seul le libre échange apporte le progrès ? Nous ne le pensons pas. Ne serait-ce que parce que l’on reste ainsi dans une logique des échanges pilotée par le dieu-argent. Nous préconisons une autre voie, que nous avons baptisée « économie triale », ce qui est un néologisme inspiré de l’expression « économie duale ». Il s’agit en effet de concevoir un développement économique selon trois logiques, correspondant à trois secteurs d’activité.

Commençons par définir la proportion du PIB qui doit être consacrée à notre défense. Si l’on y inclut l’industrie militaire et les recherches avancées nécessaires à nous doter des armements d’avant-garde, cela peut représenter – soyons larges – 20% du PIB. C’est incontournable pour deux raisons : il faut avoir une armée forte pour ne pas se faire envahir, ou coloniser  - comme c’est actuellement le cas de la France et de la majorité des Etats européens dans leurs rapports avec les Etats-Unis – et, par ailleurs, un Etat n’est considéré dans le concert des relations internationales que s’il est suffisamment puissant. C’est ce que nous appelons le « secteur régalien »

Viennent ensuite les activités relatives à la grande industrie, nécessairement en compétition avec des activités équivalentes à l’étranger, telles que le nucléaire, l’aéronautique et l’automobile. C’est le « secteur concurrentiel » et il correspond actuellement en France à moins de 10% du PIB.

Restent toutes les autres activités de production de biens et de services, qui représentent de l’ordre de 70% du PIB. Rien ne nous oblige à être compétitifs pour ce qui concerne la satisfaction des besoins de consommation des ménages. Si nous sommes amenés à payer plus cher une production nationale, globalement nous aurons des appareils électroménagers moins performants, des vêtements qu’on pourra renouveler moins souvent et moins d’équipements électroniques. En échange, nous aurons une industrie pérenne, sans risque de fermeture d’usines, donc la garantie d’un emploi pour tous, et ce dans des zones rurales qui retrouveront une nouvelle vitalité. N’est-ce pas un mieux du point de vue de la qualité de vie ? Nous appelons ce secteur le « secteur protégé » car il est, par choix politique, à l’abri de la concurrence étrangère et ne cherche pas, lui-même, à exporter.

Nous pensons que nous pouvons ainsi maintenir la France dans le peloton des grandes puissances tout en garantissant l’emploi pour la majeure partie de la population, certes en acceptant de vivre modestement, mais avec une plus grande qualité de vie. De plus, si un chômage apparaît dans le secteur concurrentiel, celui-ci peut être absorbé par le secteur protégé.

Pour cela, il faut que la population en soit informée et adhère à ce nouveau modèle de développement. Ce n’est pas le cas aux Etats-Unis, ce qui fait que Trump risque de connaître une forte vague de mécontentement, voire pire.

Théoriquement, ce changement de paradigme pourrait passer dans la réalité sans changer de régime politique. Mais quelqu’un a dit « la démocratie, c’est la ploutocratie ». En effet, tous nos dirigeants sont, consciemment ou inconsciemment, les marionnettes de l’hyper classe mondialiste. Donc seul un changement de régime mettant Dieu au premier plan peut sortir la France du marasme économique que nous vivons, sans parler des risques d’écroulement économique mondial.

Vive le roi Louis XX

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15 juillet 2018 7 15 /07 /juillet /2018 07:24

Dans la page « Opinions » du Figaro du 13/07, Ivan Rioufol présente un article intitulé « Le réveil des nations, un défi pour Macron ». Jusqu’à présent, nous avions déjà une expression patriotique en Pologne, en Hongrie, en République tchèque et en Autriche. S’ajoute dernièrement à la liste l’Italie, dont les dernières élections ont permis la mise en place d’un gouvernement ouvertement eurosceptique. Voilà qui ne peut que déplaire à Macron, d’où le titre de l’article.

Et en France, où en est-on ? Dans une situation bien pire que celle dont hérita le roi Henri IV à son arrivée sur le trône. A l’époque, la France était divisée en deux camps, la majorité catholique et une forte minorité protestante. Le roi signa en 1598 « l’édit de Nantes », qui instaura la paix civile en reconnaissant aux protestants le droit d’exercer leur culte et en leur attribuant quatre places fortes : La Rochelle, Cognac, Montauban et La Charité-sur-Loire.

C’est justement à Nantes que s’est produite la dernière confrontation entre les forces de l’ordre et la subversion islamique. Une situation quasi insurrectionnelle a été vécue par la ville pendant cinq nuits, avec plusieurs dizaines de voitures brûlées, un engin de chantier brûlé, plusieurs buralistes dévalisés, un PMU-brasserie brûlé dans un centre commercial du quartier Doulon, le centre d'entraînement du FC Nantes cambriolé et vandalisé. De plus, dans la nuit de vendredi à samedi, des individus se sont introduits par effraction à l’intérieur de la cathédrale Saint-Pierre de Nantes, pour y perpétrer des actes de vandalisme et de profanation. Le choeur a été principalement visé, et les autels, le sol, et les objets de culte y ont été outrageusement dégradés.

Voilà des années qu’une telle violence urbaine se manifeste périodiquement. Mais c’est l’année 2005 qui a connu des émeutes particulièrement violentes. Démarrées à Clichy-sous-Bois à la suite de la mort de deux adolescents, elles se sont étendues à plusieurs banlieues françaises. Au total on compta 2 921 personnes interpellées et 4 morts parmi la population, ainsi que d’importantes dégradations d'infrastructures et de matériel, en particulier des voitures brûlées.

Comme on lit dans Wikipédia, « ces trois semaines se démarquent des autres émeutes urbaines en France par leur longueur, leur extension à des nombreuses banlieues, l'ampleur des destructions matérielles et l'ampleur de leur couverture médiatique. Elles sont les plus importantes en France depuis Mai 68, et sans équivalent en Europe avant les émeutes de 2011 en Angleterre ».

« Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine » (Mat. 12, 25). Notre pays est divisé en deux : d’une part  la majorité de la population qui préfère une France souveraine ; c’est celle qui a voté à 53% le rejet de ce qui deviendra le traité de Lisbonne ; d’autre part une alliance objective entre la subversion islamiste et ceux qui veulent promouvoir la « diversité ».

Cela nous ramène à l’Edit de Nantes. Celui-ci reconnut quatre places fortes attribuées aux protestants, alors que la France connaît aujourd’hui de l’ordre de 1500 zones de non droit, où les musulmans, aidés par la maffia locale, font la loi. Nous sommes dans une situation infiniment pire, non seulement du point de vue du nombre de zones que l’Etat ne contrôle pas mais aussi du fait du soutien de plusieurs pays étrangers, arabes en l’occurrence, ce qui n’existait pas du temps d’Henri IV.

Les premières mesures à prendre sont d’ordre financier : interdire le financement des mosquées par des sources étrangères ; interdire l’abattage halal, à la fois parce que c’est une souffrance des animaux interdite par les normes internationales et aussi parce qu’un système de taxe rapporte 60 millions d’euros par an à la communauté musulmane ; et enfin interdire aux collectivités territoriales de subventionner le culte. Restent les zones de non droit. Il faut faire intervenir l’armée, car il s’y trouve de nombreuses caches d’armes, et pas de simples kalachnikovs mais des armes de guerre.

Mais l’arme la plus importante est d’ordre spirituel : il faut qu’une chaîne de télévision et de radio nationale prenne en charge un véritable prosélytisme chrétien, sous forme de films, de témoignages, de reportages afin de montrer que la seule religion basée sur l’amour est la religion chrétienne.

Jamais la république ne mettra en œuvre toutes ces mesures, tout simplement parce qu’elle a été créée justement pour détruire le christianisme. Seul un roi peut sauver la France !

Vive le roi Louis XX

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  • : Le groupe POUR UN ROI TRES CHRETIEN est un mouvement royaliste. Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la royauté. Tout en reconnaissant la validité des Lois fondamentales du royaume, il considère que le futur roi n'est pas identifié à ce jour. Ou bien il émergera du combat antimondialiste, et ce sera le début d'une nouvelle dynastie, ou bien ce sera le descendant du jeune roi Louis XVII qui, comme on le sait aujourd'hui, a été "exfiltré" de la prison du Temple.
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